Vacances en famille (01/15)

J’étais excessivement fébrile, ce dernier vendredi avant ma semaine de vacances. Il faut dire, pour ma défense, que j’allais revoir mon grand frère, et Céliane, sa fille de 13 ans maintenant. Je n’étais pourtant pas en manque de câlins depuis une semaine entre Christiane, ma responsable hiérarchique, et Francis, mon cher directeur. J’avais même imaginé être prise par eux deux, ensemble. Francis ignorait totalement ce qui pouvait se passer entre Christiane et moi. Quant à elle, je pense qu’elle devait se douter de quelque chose mais j’étais libre de mes choix de partenaire, du moment que je restais à sa disposition lorsqu’elle en avait besoin. Elle est mariée, et surtout fidèle, ce qui n’est sans doute pas aussi vrai avec son mari.

Si j’avais voulu mettre leur couple en danger, j’aurais depuis longtemps accepté ses avances à lui, bien avant notre trio surprise, dans leur lit conjugal. Depuis ce jour-là, on s’est revu mais toujours avec sa femme. J’ai su, par Christiane, qu’il aurait beaucoup aimé me revoir avant de partir un mois complet en vacances mais c’était compliqué, pour les uns comme pour les autres. Je pense sincèrement qu’on se reverra dès leur retour, soit fin Août. Francis, lui, avait parfaitement profité de mon corps et des préservatifs que je lui avais fourni. D’ailleurs, il avait lui-même acheté une boite pour pallier à tout manquement. Quant à Jean-Jacques, mon amant régulier, il lui arrivait de plus en plus souvent de passer des nuits entières avec moi. Il faut dire que ses filles étaient grandes maintenant et qu’il avait moins peur de les laisser seules.

Mon frère et Céliane n’arrivèrent que vers 18 heures, un problème de circulation urbaine. Ingrid, sa femme, était prévenue du retard occasionné par cet accident et c’est elle-même qui conseilla à son mari de rester dormir chez moi, s’il se sentait trop fatigué pour rentrer sans prendre de risques. Céliane se jeta dans mes bras dès qu’elle entra dans mon appartement. Puis, elle alla poser son sac de voyage dans ma chambre, sachant que c’est avec moi qu’elle dormirait toute la semaine, comme lors de son dernier passage, en février. Elle alluma la télévision pour nous laisser seuls, dans notre bulle.

Il m’est impossible de décrire ce sentiment de béatitude lorsque Jérôme, enfin, me serra entre ses bras musclés. J’aurais pu rester accrochée à lui des heures durant. Je sentais sa chaleur, ses muscles saillants, et sa queue qui, doucement, prenait de l’ampleur à ce contact. J’émergeais de cet instant de pur bonheur lorsqu’il me précisa qu’il avait l’ordre de sa femme de rester dormir chez moi. Je le regardais, un peu étonnée. Elle savait très bien ce que nous avions fait tous les trois et laisser son époux seul avec celle qui avait été son amante, quelques jours auparavant, me paraissait un peu déraisonnable. Mais je n’y trouvais rien à redire, bien au contraire. Au fond, elle devait savoir que je n’étais pas un danger pour leur couple et que, au contraire, j’avais rajouté un peu de piment à leur vie qui devenait terne et tellement raisonnable.

Nous sommes passés dans ma chambre où il m’a déshabillée totalement. Il voulait me revoir entièrement nue, comme lorsque nous prenions notre bain ensemble, il y a plusieurs années. Ma mère avait cessé de nous laver ensemble lorsqu’elle s’est aperçue des effets « indésirables » sur le sexe de son fils. Je dois vous avouer que je n’en avais jamais rien su. Je réussis à lui faire admettre qu’il avait toujours eu une pensée pour moi, pour mon corps juvénile. Sans être amoureux de moi, il avait envie de me serrer dans ses bras, et plus encore. Il nous avait fallu bien du temps pour réaliser son vœu le plus cher. Il m’a rappelé que, comme par hasard, tous mes petits copains de l’époque lui ressemblaient étrangement, jusqu’à Stéphane, que j’ai quitté il y a un peu plus d’un an. Sans regret aucun.

Je vivais désormais pour moi, pour mon plaisir et celui que je pouvais donner à d’autres. Des femmes et quelques hommes. Mais le plus important à mes yeux, c’était de m’être rapprochée de mon grand frère et de pouvoir enfin le combler. Nous avions tout notre temps, la nuit entière, et il m’offrit un strip-tease digne de « 9 semaines et demi ». Puis il m’allongea sur mon lit pour me caresser tendrement. Je lui laissais un total accès à mon corps. Il m’a rejointe sur le lit et c’est moi qui ai commencé à le caresser à mon tour. J’avais déjà sa queue dans ma bouche lorsque Céliane pénétra dans la chambre.

« Je m’ennuie, il n’y a rien d’intéressant à la télé ».

Je lui fis signe de venir nous rejoindre, ce n’était pas la première fois. Elle m’observait pendant que je continuais à sucer la queue de son papa. Elle était curieuse et voulait apprendre, en regardant les autres le faire. J’ai bien vu, et senti, qu’elle attirait la main de son père pour la poser sur son ventre à elle. Il se raidissait, refusant ce contact incestueux avec sa propre fille. Puis, au bout d’un long moment, il s’est totalement relâché et j’ai pu voir Céliane qui glissait la main de son papa sous le tissu de sa petite culotte. Elle avait gagné et elle maintint cette main pour se caresser avec les doigts de son père. Jérôme avait fermé les yeux mais son visage resplendissait de béatitude. D’ailleurs, il ne tarda pas à jouir au plus profond de ma gorge.

Elle me repoussa gentiment pour venir prendre ma place et nettoyer cette queue souillée. Elle ne fit que de la sentir, tout d’abord. Puis, elle risqua un petit coup de langue. Jérôme avait compris et il murmurait sans fin. « Pas ça, pas ça, … » Mais il était incapable de repousser le visage qui se penchait au-dessus de sa virilité, qui d’ailleurs, n’avait toujours pas débandé. Même sa main, qui n’était plus maintenue  » contre son gré  » dans la culotte de sa fille, continuait la caresse que la jeune fille avait initiée.

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