Romuald (17/18)

Les couilles de mon frère venaient parfois battre les fesses de sa femme et je sortais ma langue pour pouvoir y goûter moi aussi. Nous étions pratiquement en transes, sans avoir pris une quelconque substance hallucinogène. Ingrid poussa un grand râle de satisfaction au moment suprême et s’effondra sur le lit. Jérôme vint nous rejoindre, entre nous deux. Il était toujours bien raide. C’est Ingrid qui, la première, s’en aperçut et elle se redressa pour s’empaler directement sur la queue de son mari. Jérôme m’attira au-dessus de lui pour me bouffer la chatte à son tour. J’étais face à Ingrid et à ses gros seins que j’ai peloté et embrassé. Pour finir, ce sont ses lèvres que j’ai pris et elle m’a rendu mon baiser. Jusqu’à ce que nous jouissions ensemble. C’est plus tard, en me levant pour aller prendre une douche bien méritée que j’ai aperçu Céliane qui regagnait sa chambre. Elle avait donc tout vu. Ingrid ne le sut jamais et elle vint me rejoindre sous la douche. Caresses et baisers en continu, on se lava tout de même, sous les yeux ébahis de Jérôme qui ne reconnaissait plus sa tendre et chère épouse.

Mais il en était ravi, bien évidemment. Cette infidélité qu’il avait eu avec moi n’en était plus une puisque nous faisions l’amour à trois, désormais. Il avait tellement donné qu’il dut aller se coucher. Il m’embrassa tendrement, puis sa femme et nous laissa toutes les deux finir. J’avoue que, moi aussi, je découvrais Ingrid sous un nouveau jour, et c’était plutôt plaisant. Je rentrais chez moi très tard et je n’eus aucun problème pour m’endormir cette nuit-là. C’est Marie-Laure, ma collègue, qui, voyant mes yeux fatigués se rendit compte la première que j’avais dû passer un week-end extraordinaire. Et elle voulut en avoir tous les détails. Je lui parlais de mon cousin, et de sa mère, avec qui j’avais passé des moments délicieux. Elle ne comprenait pas vraiment comment une mère pouvait en arriver à coucher avec son propre fils. Sa vision de la famille était occultée par sa propre expérience. Son père qui l’avait exclue de sa vie, et sa mère qui avait tout accepté sans essayer de la défendre. Elle se vit, elle, à la place de Romuald, étreignant enfin sa chère maman qu’elle n’avait plus revue depuis longtemps.

Mon récit l’avait excitée au plus haut point et d’un clin d’œil, elle m’a demandée de la suivre dans les toilettes. Une grande cabine était réservée pour les handicapés en fauteuil et c’est celle-ci que nous avons choisie. Elle s’est accroupie devant moi pour glisser sa tête sous ma minijupe. Elle avait elle-même les cuisses largement écartées et elle se caressait tout en me faisant énormément de bien. Je commençais à gémir doucement lorsque quelqu’un entra dans la cabine voisine. Nous ne voulions surtout pas être découvertes et avons cessé toute caresse le temps que la femme qui était à côté se soulage bruyamment. Cela nous fit sourire toutes les deux. Elle est repartie et Marie-Laure a repris son léchage. J’ai joui intensément sous sa divine caresse et j’aurais vraiment voulu lui rendre la pareille mais nous ne pouvions pas rester toute la matinée dans ces toilettes. Nous sommes sorties l’une après l’autre, mon amie la première. Quand je sortais à mon tour, Pascale, la secrétaire de direction qui ne m’appréciait pas du tout, était à l’accueil et elle nous a vues sortir, se doutant certainement de ce que nous faisions ensemble. Elle me lança un regard noir qui en disait long sur ces intentions à mon égard. Je me moquais intérieurement de ce qu’elle pouvait me faire. Dans quelques mois, je ne serais plus là. De plus, je me sentais protégée par Francis, mon directeur, et par Christiane, ma cheffe.

Une fois que tout le monde fut parti manger, le midi, nous nous sommes retrouvées, Marie-Laure et moi, dans mon bureau. Pas un bruit à l’étage. Nous étions comme isolées du monde extérieur. Elle se jeta sur ma poitrine dès son entrée et, malgré l’envie que j’avais d’elle, je me laissais encore une fois caresser par cette experte. Poitrine mise à nu, et jupe relevée, elle ne vit pas la porte s’ouvrir brusquement sur … Pascale. Un sourire mauvais au coin de ses lèvres, elle pensait m’avoir piégée.

« Ah bien, c’est du propre ! Je vais devoir faire un rapport sur vos agissements ».

Marie-Laure releva la tête et je vis Pascale qui semblait désolée pour son amie. Je savais qu’elle l’appréciait beaucoup plus qu’elle ne m’appréciait. Marie-Laure se releva et s’approcha tout près de Pascale, la toisant presque. Je voyais bien qu’elle était de plus en plus mal à l’aise et je remarquais qu’elle ne pouvait pas soutenir le regard de Marie-Laure. Quand elle baissa finalement les yeux, je sus immédiatement que mon amie avait gagné. Le visage encore souillé par la cyprine, elle murmura à l’oreille de la secrétaire.

« Tu crois vraiment que tu peux me faire ça ? À moi ? »

Son esprit chancelait et elle était beaucoup moins sûre d’elle-même que lorsqu’elle est entrée. Je me levais de mon fauteuil, voyant que Marie-Laure allait la forcer à s’y installer. Avant cela, elle lui colla un petit baiser au coin de ses lèvres et Pascale s’effondra presque dans mon fauteuil. Marie-Laure avait un ascendant indubitable sur la secrétaire de direction. Quand elle commença à dégrafer les boutons de son corsage, elle resta inerte, sans aucune réaction. Comme si elle attendait cet instant depuis des années. Une fois que le corsage fut entièrement ouvert, elle lui imposa de défaire elle-même l’attache du soutien-gorge, dans son dos. Pascale était totalement à la merci de mon amie et elle écarta les cuisses quand on le lui demanda. Marie-Laure s’agenouilla immédiatement entre pour relever sa jupe plutôt courte. Mon téléphone vibra, me signalant un SMS. C’était un message court de Francis. Je l’invitais à venir me rejoindre immédiatement dans mon bureau. Cinq minutes après, il ouvrait la porte, sans frapper puisque je l’avais invité à venir. Il resta bouche bée devant le spectacle que nous lui offrions. Marie-Laure, qu’il ne pouvait reconnaitre, était plongée entre les cuisses largement écartées de Pascale, tandis que je m’occupais de sa merveilleuse poitrine.

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