Julie, ma voisine adorée (05/05)

Elle avait envie. Je le voyais dans ses yeux. Elle voulait que je la prenne, enfin. Julie était prête pour moi. Je la fis languir un peu, jouant avec ses nerfs. Puis j’approchais le bout du gode de sa chatte encore humide. Caressant son bouton d’amour, tournant tout autour, puis revenant vers sa chatte qui n’attendait que le moment où je la pénétrerais enfin. Le gode juste à l’entrée, je ne bougeais plus. C’est elle qui se démenait pour s’empaler, centimètre par centimètre. Elle releva les jambes, les passa dans mon dos pour refermer l’étau, et finalement réussit à le faire entrer en elle. J’étais plutôt limitée dans mes mouvements mais je parvenais tout de même à faire de petits allers-retours dans son con grand ouvert. Entre les deux femmes qui lui suçaient les tétons et moi qui la baisait tendrement, elle jouissait, Julie, un râle discontinu sortait de sa bouche ouverte. Et ses yeux ! Ils exprimaient un bonheur immense. Incommensurable. Elle semblait au bord de l’apoplexie.

Je la laissais reprendre ses esprits, Amélie m’ôta le gode ceinture et je pris place près de Julie. Amélie se mit à la nettoyer, léchant toute trace de cyprine. Angélique se mit à genoux entre mes cuisses pour me donner du plaisir à son tour. Elle était douce, et tendre. Amélie, toujours aussi coquine, lui introduit deux doigts dans le cul. Et elle allait et venait dans l’anus distendu. Une idée me traversa l’esprit. Plus que ça, une envie. Je me relevais, entraînant ma tante que je fis assoir sur le bras du canapé, avant de la basculer sur le canapé. Seules les jambes dépassaient. Écartées. Je caressais son clito, puis rentrais un doigt, deux doigts, trois. Sa chatte s’ouvrait encore et encore. Forçant encore un peu, je pus rentrer le quatrième doigt. J’allais et venais dans sa chatte, l’élargissant plus encore. Quand je présentais mon pouce à l’entrée de sa grotte, elle comprit ce que je voulais, et elle savait que rien ne m’empêcherait de la fister comme je le voulais. Elle s’ouvrit encore plus, si c’était possible, et s’abandonna aux plaisirs que lui procurait ma main. Ça y est, j’étais dedans. Ma main entièrement dans son vagin. Mes doigts caressaient ses parois vaginales. C’était chaud, et humide, et doux. Vraiment trop bon.

Puis, serrant le poing, je commençais à aller et venir en elle. Le poing fermé, je ne pouvais pas sortir de son vagin, bien sûr, mais rien que le fait d’essayer lui procurait de très bonnes sensations. Et à moi aussi. C’était énorme. Et son orgasme, lui aussi, fut énorme. Je crois même qu’elle s’évanouit de bonheur. La laissant reprendre ses esprits, je me tournais vers Amélie. Elle commença par pomper la queue du jeune homme, devenue molle, puis s’empala dessus. Elle montait et descendait sur la queue dure comme l’acier. Je proposais à Julie de lui défoncer le cul, encore une fois. Et, contre toute attente, elle accepta. Je l’aidais à remettre son gode ceinture et je pris le tube de lubrifiant pour en badigeonner le gode. Puis je la plaçais à l’entrée du cul offert. Bien huilée, elle entra d’un coup, arrachant un cri de plaisir à ma soumise. Je pris place sur le canapé pour les regarder. Je caressais les seins de ma tante qui reprenait des couleurs, petit à petit. Julie s’en donnait à cœur joie. Elle lui martelait le cul à grands coups de reins. Jamais satisfaite. Amélie, prise des deux côtés, ne tarda pas à jouir, hurlant son plaisir sans retenue. Elle s’écroula sur le garçon, vaincue enfin. Elle se releva après quelques minutes et prit ma place sur le canapé. J’aidais Julie ôter son gode ceinture. M’adressant à elle :

« Enzo n’attend que toi pour éjaculer et honorer sa Maîtresse comme il se doit. »

Elle prit la place qu’occupait Amélie et s’empala doucement, profitant de chaque centimètre qui la pénétrait. Discrètement, je m’équipais de son gode ceinture. Quand elle fut bien au fond, je m’approchais derrière elle, je caressais ses hanches, ses cuisses, remontais vers son minou et titillais son clito. Elle était hyper réactive, se tortillant dans tous les sens. Sa mouille commença à inonder mes doigts. Je léchais mes doigts avec délices, retournant chaque fois à la source. Un peu de cette bonne mouille servit à bien huiler le gode. Quand je le plaçais contre sa rondelle, elle tourna la tête vers moi, me sourit et écarta elle-même ses fesses. Autorisation implicite. Je m’agrippais à ses hanches pour la pénétrer lentement, très lentement. Elle put apprécier chaque millimètre de la pénétration. Bien calée au fond de son cul, je ne bougeais plus. Enzo seul bougeait et la baisait méthodiquement. De petits à-coups faisaient suite à de grands et longs coups de queue. Mes mains remontèrent sur sa poitrine que je malaxais avec grand plaisir. Puis je calquais mes mouvements sur ceux d’Enzo, mais à contretemps, ce qui la faisait danser sur nos queues respectives.

Bien accrochée à ses seins, je m’en donnais à cœur joie. Je la baisais à mort, et Enzo de même. Sa mouille coulait comme d’une source intarissable sur les cuisses de son soumis. Elle hurla sa jouissance comme jamais, puis son cri se perdit dans un râle discontinu. Tout son corps était pris de soubresauts, sa tête bougeait de droite à gauche. Enzo, qui n’en pouvait plus, lâcha la sauce à son tour et Julie partit dans un second orgasme qui la laissa sans voix. Elle s’écroula sur le torse du jeune homme, toujours secouée de spasmes. Je sortais le gode de son cul qui resta grand ouvert. Béant. Heureuse. J’étais comblée. Enfin, j’avais pu la baiser, Julie. Depuis longtemps, j’en avais envie. Je savais que cela restera exceptionnel mais cela me suffisait. Il faisait déjà nuit dehors, la lumière des lampadaires éclairait la rue, vide à cette heure-là. Je dis aux filles de ramasser nos vêtements, sans les remettre, et nous avons quitté l’appartement de Julie, toujours enlacée et enfichée sur la queue du jeune homme.

Nues toutes les trois, juste le palier à traverser, nous rentrons chez moi. Amélie demanda si elle pouvait aller se coucher. J’acceptais, évidemment, et je restais seule avec Angélique devant la télé. Une émission de variété, mais juste une raison de rester serrées l’une contre l’autre. Elle me jetait des regards qui ne cessaient de me dire merci. Puis, elle s’allongea à demi en m’attirant sur elle. Elle m’offrait sa poitrine, encore une fois. Je ne me fis pas prier pour la téter goulûment. D’une main experte, je lui caressais son bouton d’amour. Je dis bien experte car je ne fus pas longue à la faire jouir. Pour me remercier, et profiter encore un peu de moi, elle se mit à quatre pattes sur le canapé, sa tête entre mes cuisses grandes ouvertes. Sa grosse poitrine se balançait sous elle, un appel à la caresser. Quel plaisir immense d’avoir une telle soumise douce et obéissante. Avec Amélie en plus, que nous rejoignirent dans le grand lit, j’étais une femme comblée. Le lendemain, Dimanche, fut plus calme, même si nous sommes restées entièrement nues toute la journée. Ma tante Angélique repartit vers Nantes, promettant de revenir souvent. Et ce fut le cas, mais c’est une autre histoire.

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