Barbara me fixa droit dans les yeux et je pus y lire l’immense plaisir qu’elle avait ressenti à dominer cet homme-chien. Elle pourra devenir une bonne maîtresse si je la forme bien. Je lui laissais le plaisir de me rhabiller et la remerciais d’un bisou sur le front. Déjà l’heure de partir, ou presque. Nous devions aller chercher le salaire de la semaine. Chacun sa petite enveloppe avec un papier récapitulatif de notre cueillette, multipliée par le prix du kilo. Pour Barbara, c’était son dernier jour. Elle avait perdu une semaine de cours mais devait retourner au lycée. Nous avons bien sûr échangé nos coordonnées, mail et téléphone, afin de toujours rester en contact. Je pourrais l’aider dans ses devoirs et elle me remercierait avec son corps.
De retour à la maison, je téléphonais à Geneviève pour lui demander de me rendre un service. Elle me donna rendez-vous pour le lendemain, à 10 heures précises. Je pourrais y aller sans Amélie qui dormira sûrement encore. Ce soir-là, Francis revint très content de son rendez-vous avec son comptable. Celui-ci l’avait félicité pour la bonne tenue de ses livres et pour avoir préparé son bilan mensuel. Évidemment, il ne précisa pas qu’il avait été aidé, mais il me remercia pour mon aide devant sa famille.
Samedi 06 Septembre 2014
Le lendemain, toujours levée de bonne heure, je ne risquais pas d’être en retard à mon rendez-vous. Cinq minutes avant l’heure dite, je sonnais à la porte. Geneviève me fit entrer et me poussa vers le salon. Elle me servit un jus d’orange pressée, bien frais et s’installa face à moi. La sonnette retentit encore une fois à peine fut-elle assise. Elle alla ouvrir et fit entrer une jeune femme brune, celle-là même que j’avais vue sortir de chez elle il y a peu de temps.
–« Deborah, je te présente Stéphanie, une amie. » dit Geneviève avant de s’asseoir sur le canapé.
La jeune femme, qui savait très bien pourquoi elle était là, ne comprenait pas ma présence. Je pris un ton autoritaire pour lui dire :
–« Eh bien, déshabille-toi entièrement. Tu es là pour ça, non ? »
Désarçonnée, elle jeta un œil à Geneviève qui, ne réagissant pas, semblait attendre simplement qu’elle s’exécute. Doucement, comme une séquence au ralenti, elle défit la fermeture de sa robe dans le dos avant de la passer par-dessus sa tête. Elle leva un pied puis l’autre pour défaire les lanières de ses chaussures avant de les ôter. Elle marqua une légère pause et, vu qu’aucun ordre ne venait, elle ôta son soutif qui rejoignit sa robe. Les bras ballants, elle restait là, dans l’attente de consigne.
–« Je crois avoir dit entièrement, non ? »
Elle sursauta un peu, puis baissa les yeux avant de laisser glisser sa culotte à ses pieds.
Elle était nue, et belle Deborah. Brune, cheveux courts, petite poitrine plantée bien haut et chatte lisse comme à sa naissance. Et un p’tit cul à faire pâlir tous les saints. Je lui fis signe de s’approcher de Geneviève, qui la prit sur ses genoux, face à elle. Elle posa ses mains sur les cuisses, remontant le long des fesses puis sur les hanches, la taille pour enfin atteindre la petite poitrine. Leurs lèvres se fondirent en un tendre baiser.
Je passais derrière le canapé pour entrer dans la danse. J’attrapais les mains de Geneviève que je posais sur le haut du canapé et que je les maintenais là, bien fermement.
–« C’est à toi, Deborah. Maintenant, occupe-toi bien d’elle. »
–« Pour commencer, relève-toi un peu et donne-lui ta poitrine à téter, elle adore ça. »
Elle se redressa pour offrir ses tétons à la bouche gourmande, tandis que ses mains malaxaient celle de Geneviève.
Puis elle dégrafa le corsage, entièrement, le soutif ensuite et elle put profiter pleinement des deux globes laiteux. Elle agaçait le téton de l’un, pinçait l’autre. Sa bouche prit la place de ses mains et je vis Geneviève soupirer de bonheur. Elle qui aimait tout diriger, se laissait peloter sans pouvoir participer. Je déposais un tendre baiser sur sa bouche puis je lâchais ses mains en lui demandant de les laisser là.
Je repassais derrière Deborah dont les mains avaient commencé à relever la jupe de Geneviève. La bouche suivit le même chemin, déposant des baisers sur le ventre offert. Les deux mains agrippèrent la culotte pour l’ôter. Geneviève se souleva légèrement et sa culotte se retrouva sur ses chevilles. Deborah plongea alors sur la chatte humide. Elle était très désirable ainsi, nue, à genoux sur le sol, entre les cuisses de sa proprio. Je me collais à ses fesses pour l’exciter encore plus. Mes mains happèrent sa poitrine que je sentais pointer sous mes caresses. D’elle-même, elle écarta les cuisses quand ma main s’approcha de son minou. Très excitée, la belle.
Mon sac à malices était à portée de ma main et j’en sortis un vibro que je commençais à promener sur la fente humide de la belle. Elle ondulait au rythme que je lui imposais. Le vibro la pénétra d’un coup et elle se cabra, comme un cheval sauvage, puis reprit le léchage. Je mis en marche sur la première position et elle commença à ronronner de plaisir.
Je passais ma robe par-dessus ma tête pour me retrouver juste en string, et j’enfilais mon gode-ceinture. Je retirais le vibro pour aussitôt promener le gode sur sa fente, afin de bien l’humidifier. Puis, me mettant en position, je rentrais en elle, doucement, mais sans m’arrêter avant d’être entièrement entrée. Un long râle de satisfaction sortit de sa gorge quand je touchais enfin sa matrice. Je profitais de ce moment magique, bien plantée en elle. Je remontais mes mains jusque sur ses tétons que j’agaçais du bout des doigts. Elle pointait dur, Deborah, et j’adorais ça. Puis, m’accrochant à ses hanches, je commençais de lents va et vient en elle, accélérant parfois, redevenant douce à d’autres. Ma main glissait alors devant pour titiller son clito qui était sorti de sa cache. Elle se tordait de plaisir et, quand je la pris plus fort encore, elle poussa un cri de jouissance avant de s’effondrer.
Geneviève m’aida à l’allonger sur le canapé et elle se mit à la lécher amoureusement. Elle voulait la boire jusqu’à la dernière goutte. Le gode-ceinture toujours sur moi, je profitais de sa position pour la pénétrer à son tour. Elle semblait aimer ça, la coquine. Il ne lui fallut pas longtemps pour jouir à son tour, tout excitée qu’elle était. Je fis lécher le gode par Deborah qui se remettait doucement de tant de plaisirs.
Je l’ôtais avant de le ranger, laissant les deux complices récupérer. Deborah, assise, entièrement nue, jambes écartées face à moi, et Geneviève, jupe relevée et corsage grand ouvert sur sa voluptueuse poitrine. Je pris place à genoux entre les deux femmes et chacune prit un de mes tétons en bouche. L’une comme l’autre léchait très bien.
Je retournais ensuite sur mon fauteuil, satisfaite de cette caresse. Ainsi vêtues (ou dévêtues), on parla de longues minutes afin de mieux se connaitre. Et s’apprécier.
Il était temps pour moi de rentrer. On prit congé de Geneviève. Deborah m’accompagna un bout de chemin et elle finit par m’avouer que, si au début, elle venait par nécessité, ce n’était plus le cas, elle venait maintenant pour le plaisir. Ma présence lui avait fait craindre de ne pas avoir sa dose, mais au final, cela l’a décuplée.
Je suis allée faire les boutiques au centre commercial voisin avec mon amie Amélie et sa petite sœur, Charlène, car elles devaient acheter un cadeau pour leur grand-mère. Celle-ci les recevait dans deux semaines pour le weekend afin de fêter son anniversaire. J’en ai profité pour saluer mon amie Dany dans sa boutique. Trop de monde pour simplement discuter avec elle, donc nous sommes rentrées, non sans lui avoir jeté un dernier clin d’œil. Il faisait très chaud ce samedi, et en rentrant, je suis montée prendre une douche pour me rafraîchir.
En sortant de la douche, j’eus la surprise de voir Corinne, la maman de mon amie qui était montée, soi-disant pour redescendre le linge à laver. Elle me regardait, sans bouger. Je l’ai laissée me mater de longues minutes avant de lui passer la serviette pour qu’elle me sèche. Pas une seconde, elle n’a baissé les yeux, puis elle a pris la serviette pour m’essuyer le dos. Elle me frottait énergiquement, puis je me suis retournée. Ses mains sur ma poitrine continuaient de me frotter plus doucement, puis j’ai tiré sur la serviette afin de sentir ses mains sur moi, enfin. Ce n’est qu’à ce moment qu’elle a baissé les yeux, tout en continuant ses caresses, frôlant mes aréoles, titillant mes tétons. J’ai appuyé sur ses épaules doucement afin que sa bouche remplace ses doigts. Docile, elle s’est laissée faire et elle m’a léché divinement jusqu’à ce qu’un bruit, venant d’en bas la « réveille » et elle s’est enfuie. Mais je suis sûre qu’elle reviendra d’elle-même, quand elle sera prête à me donner plus, et à recevoir aussi.
La soirée s’est passée normalement. Le repas, soirée télé tranquille. Moi assise près d’elle, j’attendais un signe, un geste, mais rien. Pas encore soumise totalement.
La semaine suivante s’est déroulée de la même façon, avec Barbara en moins. Cueillette et bureau l’après-midi avec Francis. Amélie et Michaël se retrouvaient dès qu’ils le pouvaient dans les toilettes. Toujours sous protection. Elle me r41
acontait ce qu’il lui avait fait, le soir.
Vendredi 12 Septembre 2014
Dernier jour de travail pour Amélie et moi. Elle, toujours en retard le matin. Ce matin-là, Corinne sortit pour nous prévenir qu’elle arrivait mais quand elle vit ce que je tenais en main, et son mari tout congestionné, elle rentra aussitôt, sans dire un mot. Ce n’est que le midi que je prévins Francis que ce serait la dernière fois. Ce qu’il me fit ce jour-là est au-delà des mots. Sa langue était magique et lui-même a joui plusieurs fois sur le sol.
La suite, je l’ai racontée dans une histoire nommée :
« Corinne, enfin !!! »