VÉRONIQUE (03/05)

Il ôta sa chemise et releva Monique. Il la colla contre un mur et s’immisça entre ses cuisses. Il frotta son gland contre sa fente dégoulinante. Elle était prête à la saillie. Elle la voulait, l’attendait depuis si longtemps. Il s’engouffra d’une seule poussée en elle, lui coupant la respiration. Monique releva ses jambes pour les croiser dans le dos de son amant maintenant. Il ne pouvait plus reculer, plus s’enfuir. Il était à elle. Et en elle. Éric, quant à lui, ne bougeait plus, appréciant ce moment unique où enfin vous possédez la femme de vos rêves. Et elle l’avait accepté en croisant ses jambes dans son dos. Il posa les mains sous ses fesses pour pouvoir la soulever, et la laisser retomber sur son vit. Le nez enfoui entre ses seins voluptueux, il la baisait à fond maintenant, la faisant hurler de plaisir. Il s’en foutait si son collègue l’entendait. Il était bien au chaud, dans la chatte de sa dulcinée. Son collègue arriva, attiré par le bruit.

« Ben, je vois qu’on ne s’ennuie pas, ici. Faudrait partager, un peu. Elle a l’air bonne ».

 » Vianney, tu es mon chef, OK. Mais elle, c’est ma gonzesse maintenant. Pas touche ».

Monique lui lança un regard courroucé et fit signe au collègue de s’approcher. Elle ouvrit sa braguette pour sortir son chibre et le déguster aussitôt.

« Oh putain, qu’elle est bonne. Une suceuse de première. Hummmm ».

Finalement, Éric était honoré des compliments et se dit que maintenant, elle pourrait venir le rejoindre pendant son service. Avec la complicité de Vianney. De bonnes soirées de garde en perspective. Il tenta de s’écarter de la bouche qui le pompait ardemment au moment d’éjaculer mais Monique s’accrocha à ses fesses pour le garder en bouche. Elle avala toute sa semence et semblait en redemander, l’aspirant jusqu’à la dernière goutte.

 » Je vous laisse finir tranquillement. Je vais faire ma ronde ».

« À très bientôt, toi ». Ajouta-t-il à l’adresse de Monique.

Éric s’éjecta de la chatte accueillante pour arroser le dos et les reins de sa belle. Elle se remit à genou devant lui pour en extraire les dernières gouttes. Elle le nettoyait avec application. Elle s’installa ensuite sur un fauteuil libre, entièrement nue, et attendit que son homme termine son service. Elle le suivit chez lui où il lui refit l’amour plusieurs fois avant de sombrer tous les deux dans un sommeil réparateur. Elle a fait savoir à son logeur qu’elle quittait son appartement, où personne ne l’attendait, et elle vit maintenant avec Éric.

Mélanie avait bien travaillé et méritait sa récompense. Pour des raisons de compatibilité d’horaires, nous devions attendre vendredi soir. Nous sommes arrivées, Odile et moi, juste au moment de l’échange des produits contre l’argent de Véronique. Elle resta hébétée de s’être fait prendre. Odile devait partir, un rendez-vous médical. Elle me laissa avec les deux jeunes femmes. Je leur fis un discours sur les vols qui coûtaient cher à notre société, que si tout le monde faisait pareil, on ferait faillite. Puis, je leur demandais de se changer avant d’aller remplir le rapport. Mélanie ôta sa blouse et changea de chaussures. Elle était prête. Véronique rangea sa blouse et se baissa pour prendre ses chaussures, m’exposant ainsi son joli cul.

« Mademoiselle Véronique D., c’est bien cela ? J’ai lu un rapport sur vous nous signalant que vous étiez exhibitionniste. Je vois cela de mes yeux ».

 » Mais non, je ne suis pas … »

« Ça suffit. Tiens-toi bien droite. Voilà. Défais ton soutif. Tout de suite ».

Elle s’exécuta et resta les bras ballants.

 » Mademoiselle, Mélanie, c’est bien ça ? Placez-vous derrière elle et caressez-lui les seins. Je suis certaine qu’elle va adorer ».

Le visage de Mélanie s’illumina, trop heureuse d’obéir à cet ordre qui lui met en mains l’objet de ses désirs. Oui, elle la désire. Elle le sait maintenant et elle peut empaumer enfin cette majestueuse poitrine. Elle malaxe avec plaisir, triture les bouts très durs déjà. Elle est au paradis. Enfin presque. Véronique commença à réagir en gémissant tendrement. Puis, elle pencha la tête en arrière et offrit ses lèvres à Mélanie qui n’en demandait pas tant. J’aperçus, sur le devant de sa culotte, une petite tâche d’humilité qui ne cessait de grandir. Je lui baissais sa culotte, elle me laissa faire, docile déjà. Je la doigtais un peu puis ce furent mes lèvres qui se collèrent à ce bel abricot bien mûr. Pris dans un torrent de nouvelles sensations, Véronique ne tarda pas à jouir sous nos caresses.

Je la fis asseoir sur un banc, Mélanie lui remit son soutif et sa robe, et on sortit, bras dessus, bras dessous jusqu’à ma voiture. Déclenchement automatique des portières à mon approche. Mélanie ouvrit la porte côté passager tandis que je dénudais les fesses de Véro avant qu’elle ne prenne place. Ceinture attachée. Mélanie s’installa derrière elle et recommença direct à lui peloter les seins. Je pris place au volant, direction l’appart de Mélanie. Tout en roulant, j’avais relevé la robe très haut et pouvait, quand cela était possible, la doigter à loisirs. Mélanie me guida jusqu’au parking souterrain de son immeuble. Je me garais et allais ouvrir la porte de la passagère pour profiter du spectacle. Une fois debout, je demandais à Véro de relever sa robe au-dessus de ses fesses.

« Mais, vous allez voir … »

« Oui, ton cul. Pendant que tu marches, normalement ».

Elle obéit et suivit Mélanie jusqu’à l’ascenseur. Installée près d’elle, je caressais son délicieux postérieur.

 » Mélanie. À genoux. À ton tour de la goûter. Au fait, quel étage ?  »

J’appuyais sur le bouton du 5 tandis que Mélanie s’engouffrait sous la robe. L’ascenseur s’ébranla, mais s’arrêta au premier étage. Un vieil homme entra, regarda le spectacle proposé avant d’appuyer sur le bouton du parking. Il resta donc à regarder Véro qui jouissait sous nos caresses. Il tendit les deux mains vers la poitrine, mais n’osa pas la toucher. Il sortit sa queue et se branla doucement. Dommage pour lui, il n’avait pas vu le geste de Véro, s’avançant vers lui pour lui offrir ses seins à caresser. À ce moment précis, elle aurait tout accepté. Mais on arriva au cinquième. Mélanie se leva, rougit un peu devant cet homme qu’elle avait déjà croisé plusieurs fois. Au moment de sortir, il osa enfin.

« Vous permettez ? »

Mais, sans attendre la réponse de l’intéressée, il lécha sur le visage de Mélanie les traces laissées par la jouissance de Véro. Il put admirer le joli fessier avant que les portes ne se referment. Nous entrons enfin chez Mélanie. Je relève la robe pour l’ôter entièrement, puis son soutif. Véro est nue de nouveau.

« À ton tour de dévêtir Mélanie. Tendrement ».

Elle lui ôta son top, l’enlaça pour dégrafer le soutif. La tête sur son épaule, elle fit glisser le zip de la jupe qu’elle accompagna au sol, lui souleva les pieds pour dégager le tissu, lui ôta ses ballerines. Le visage fixé sur sa culotte rose, elle hésita, puis la descendit également.

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