Romuald (07/18)

Je l’avais invitée chez moi et nous avons fait l’amour magnifiquement toute la nuit. Évidemment, le confinement et la période qui a suivi ne portait pas à renouer les contacts que nous avions précédemment. Après plusieurs jours consécutifs de travail en présentiel, nous avions tous l’impression que la vie reprenait doucement ses droits. C’est donc moi qui l’ai appelée la première, cette fois-ci, pour l’inviter chez moi le vendredi soir. Je lui promettais une surprise. Elle arriva à l’heure prévue, ce soir-là, vêtue d’une minijupe légère et d’un top à bretelles sans soutif. Ses seins se baladaient librement sous le tissu. Elle se jeta immédiatement sur ma bouche et tenta de me mettre nue dès son arrivée. Je la tenais légèrement à distance, avec beaucoup de difficulté, en lui disant que nous sortions, que c’était ça, la surprise. Un peu déçue, elle rajusta sa minijupe qui s’était relevée et nous sommes arrivées quelques minutes plus tard devant le portail de la maison d’Agathe. Je l’avais évidemment prévenue de ma venue et que je venais avec une amie, exclusivement portée sur les femmes. Il n’était pas question pour son mari de tenter quoi que ce soit avec elle.

Agathe l’avait parfaitement compris et Fernand aussi, puisqu’il avait décidé de passer la soirée chez ses amis, Inès et Luis. Dès que nous eûmes passé la porte, Agathe se jeta sur moi comme Louise venait de le faire en arrivant chez moi et elle ne mit que quelques secondes à me déshabiller complètement. Elle prit ensuite la main de Louise pour la poser sur ma poitrine tandis qu’elle m’embrassait toujours sauvagement. Un peu surprise au début, Louise accepta finalement de jouer avec nous et c’est sa bouche qui est venue rejoindre les nôtres. Agathe s’intéressa beaucoup plus à elle et réussit à la mettre nue également. Elle nous guida ensuite dans le salon et nous laissa nous cajoler tandis qu’elle se déshabillait à son tour. Louise et moi l’avons attirée sur le canapé entre nous deux pour profiter de ses charmes et de ses formes. Elle a fini par jouir sous nos caresses conjuguées et c’est Louise qui s’est retrouvée au centre de nos attentions. Elle ronronnait comme une jeune chatte sous les caresses subies par les deux femmes. Quand l’orgasme l’a prise par surprise, elle est restée comme suspendue dans les airs. C’était vraiment magnifique de la voir jouir et de l’entendre en redemander encore, et encore. Évidemment, une fois bien remise, ce fut mon tour de subir leurs caresses et de jouir à mon tour.

Nous étions encore à nous cajoler les unes les autres quand trois personnes sont entrées dans le salon. Entièrement nues. Il s’agissait de Fernand, accompagné de Luis et Inès. Celle-ci vint se joindre immédiatement à nous et s’intéressa principalement à Louise qu’elle ne connaissait pas. Je me levais pour accueillir les deux mâles et, en passant près de Louise, je lui confirmais qu’elle n’avait rien à craindre avec les deux hommes. Ils étaient parfaitement au courant qu’ils ne devaient surtout pas te toucher. Inès entre ses cuisses et Agathe qui s’occupait de sa poitrine, elle comprit ce que j’avais dit et se laissa porter par le plaisir de succomber de nouveau à un orgasme fantastique. Je me plaçais entre les deux hommes, tenant une queue dans chaque main, les entraînant vers l’un des fauteuils. Une fois assise, j’étais exactement à la bonne hauteur pour les prendre en bouche. Ils n’étaient pas en reste car ils en profitaient pour peloter mes seins, Luis, et pour me doigter, Fernand. C’est d’ailleurs lui qui le premier se plaça entre mes cuisses largement ouvertes et m’embrocha d’un coup. J’étais tellement secouée que j’avais du mal à garder la queue de Luis en bouche. Qu’à ne cela ne tienne, il se plaça derrière son ami et l’encula d’une seule traite. J’ai vu le regard de Louise, surprise de voir les deux hommes ensemble, se donner un plaisir incommensurable. Moi aussi, j’étais à la fête avec la grosse queue de Fernand qui avait doublé de volume.

Ils voulurent changer de position et je me retrouvais dos à eux. C’est Luis qui cette fois-ci pointa son dard sur mon petit trou du cul et m’enfila d’un coup. Fernand dut attendre quelques minutes pour, à son tour, enculer son meilleur ami. Luis martyrisait mes seins tout en m’enculant profondément, aidé en cela par les coups puissants que Fernand lui infligeait. C’est d’ailleurs lui qui a éjaculé le premier dans les entrailles de son pote, qui lui aussi m’a tapissé les intestins. Moi, j’avais depuis longtemps perdu le compte de mes jouissances à répétition. C’est ensuite Agathe, en maîtresse de maison, qui est venue redonner vie aux deux sexes devenus flasques.

Je rejoignis Louise sur son canapé et je plongeais entre ses cuisses, tandis que, debout, Inès lui offrait sa chatte à lécher. Toutes à notre plaisir, nous ne nous occupions plus du tout de l’autre trio. Je fus donc un peu surprise lorsqu’une queue vint se présenter entre mes cuisses. Je n’étais pas contre, bien sûr, mais j’aurais aimé que les hommes restent loin de Louise, de peur de la faire fuir. Cette « queue » était bien différente de celles qui venaient de plonger en moi. Et c’est sans vraiment de surprise que je voyais le visage d’Agathe, souriant. Je m’écroulais dans un délire orgasmique et laissais donc la place libre pour Agathe qui s’introduisit très lentement dans la chatte de Louise. Inès avait joui elle aussi et vint s’occuper de moi, laissant Agathe et Louise profiter pleinement de leur moment de tendresse. Les deux hommes observaient tout en se caressant mutuellement. Ils se mirent en 69 pour se redonner vigueur et consistance. Agathe avait relevé très haut les jambes de Louise et s’intéressait à son petit cul. Je savais que ce serait une vraie première fois pour Louise qui n’avait, jusqu’alors, accepté que des godes de petite taille. Agathe s’employa patiemment à pénétrer ce cul accueillant et, une fois bien au fond, commença ses va et vient. Inès d’un côté, moi de l’autre, nous jouions avec ses seins tandis qu’Agathe l’enculait vivement.