De ce fait, je ne trouvais pas mon bonheur et je décidais d’entrer dans la supérette, au bout de la place. Pour me rappeler au bon souvenir de Caro. Un tour rapide du magasin et je ne la trouvais pas. Son collègue, du rayon traiteur, était occupé avec une cliente mais il me fit un signe pour que j’attende qu’il soit disponible. Il s’approcha de moi tout sourire en me disant.
« Je vais vous conduire à Caro, elle est partie dehors pour sa pause ».
Il me fit passer devant lui et posa sa main sur ma hanche, puis elle glissa très vite sur mes fesses. Vu que je ne disais rien, il laissa sa main bien à plat sur mon p’tit cul. Il me guida ainsi dans la réserve jusqu’à l’endroit où Caro fumait sa cigarette. Elle fut évidemment très excitée de me revoir. Cela faisait plusieurs mois que l’on s’était vues. Quand je dis « vues », je parle évidemment de rapport intime entre elle et moi. Puis avec son mari quand il arrivait à son tour. Cela faisait vraiment trop longtemps et des larmes de joie venaient obscurcir son joli visage.
Son collègue ne m’avait toujours pas lâchée et il me pelotait les fesses presqu’impunément. Après la séance de frotti-frotta avec mon directeur, j’étais très demandeuse. Je soulevais donc ma minijupe et sa main atterrit directement sur ma peau. Plus de chichis entre nous, il utilisa ses deux mains pour me faire fondre. Il tenta une main sur mes seins, ce que je lui interdis. Mais je replaçais sa main devant, sur mon string. Je lui abandonnais le bas de mon corps, réservant le haut pour Caro. Elle me comprit immédiatement et s’attaqua directement à mes tétons. Sa bouche s’écrasa sur la mienne pour un délicieux baiser parfumé. Elle ne voulait pas s’approcher trop près de moi, pour ne pas tenter son collègue de travail et surtout, sentir ses mains à lui, sur ses formes. Ça, elle le refusait.
« Lèche-moi le cul ».
Et il s’agenouilla immédiatement derrière moi. Sa langue agile parcourut ma raie culière, s’attardant sur mon petit trou. Ses mains, sur mes genoux, remontèrent lentement sur mes cuisses. Il baissa enfin mon string pour avoir un accès illimité à mon intimité. Sa bouche d’un côté, ses doigts de l’autre, j’étais heureuse de m’offrir à sa fougue. Il me savait prête à l’accueillir, aussi il se leva en baissant son pantalon. Il était à deux doigts de me pénétrer lorsque qu’un appel au micro le demandait à son poste, au rayon traiteur. Il semblait très déçu mais se doutait que ce n’était que partie remise. Je restais donc seule quelques instants avec Caro pour profiter de ses formes voluptueusement attirantes. Tandis que j’explorais de nouveau son corps, elle me parlait de son couple qui n’avait jamais été aussi soudé depuis que je faisais partie de leur vie.
Juste avant de jouir à nouveau sous ma langue, elle me demandait justement quand aurait lieu la prochaine soirée chez la Comtesse. Je l’assurais que je ne les avais pas oubliés mais, avec cette satanée pandémie, j’avais jugé bon de m’éloigner un peu pour les protéger, elle et sa famille. Je l’embrassais ensuite à pleine bouche pour lui faire goûter de nouveau à son nectar. Quand je m’écartais au bout d’un moment, elle avait des larmes aux yeux, tellement elle était heureuse de me revoir. Elle avait surtout la certitude que nous étions toujours amies, plus que jamais, et que cela n’était pas près de s’arrêter. Notre amitié, notre complicité même, était faite pour durer très longtemps. Avant de rentrer chez moi, je repassais voir son collègue au rayon traiteur pour lui demander quand il était disponible pour finir ce qu’il avait si bien commencé.
J’ai vu dans ses yeux qu’il était prêt à me sauter, là, au milieu du magasin pratiquement désert. Il me donna rendez-vous à la fin de son travail, vers 16 heures. Je revenais donc à l’heure prévue et il m’emmena dans le parking souterrain tout proche, le Marengo, tout près de la gare. Très peu de passage dans la journée. Beaucoup d’utilisateurs des transports en commun venaient se garer ici le matin, prenaient ensuite leur train, ou bien le tramway, pour aller à leur travail et ne revenaient sur le soir reprendre leur véhicule. L’endroit était sombre mais bien entretenu, pas de mauvaises odeurs, ni de saletés à traîner. Dès l’entrée dans ce parking, il avait posé sa main sur mes fesses et il avait déposé ma propre main sur le devant de son pantalon. Il était donc tout à fait prêt à me baiser lorsqu’il me plaqua contre une grosse berline.
Je savais parfaitement pourquoi j’étais là et je m’étais habillée en conséquence. Minijupe et top à bretelles, absolument rien dessous. Cela l’excita d’autant plus que j’osais me balader dans les rues aussi peu vêtue. J’étais prête à le recevoir et heureusement car il ne prit pas de gants, il me pénétra d’une seule poussée et ne s’arrêta que lorsqu’il fut bien au fond de moi. Lentement, il débuta ses allers et venues en moi, accélérant progressivement. Il devint encore un peu plus fou lorsque je me retournais pour lui offrir le côté pile. Il avait le choix entre ma chatte et mon cul. Il choisit la première option mais il se déchaina vraiment quand je lui demandais, l’implorais même, de prendre mon cul. Il positionna son gland contre mon anus et investit mon cul, après m’avoir bien faite jouir par devant. Il ne tarda pas à venir lui aussi dans mes entrailles, trop de plaisirs d’un coup.
Avant de le quitter, je notais son numéro de téléphone dans mon portable, même si je savais toujours où le trouver. Il en profita pour me rappeler la promesse d’une nuit entière avec lui, s’il cessait d’embêter Caro. C’est vrai qu’avec le confinement, j’avais un peu oublié cette promesse. J’appelais ensuite Clothilde pour savoir si je pouvais passer la voir. Elle non plus, je ne l’avais plus revue depuis le début du confinement. Elle fut ravie de mon appel et m’invita à venir de suite.