Hortense (15/18)

C’était la première fois que j’entrais dans un sexshop. La vendeuse, derrière sa caisse, fit un signe à Dominique, qui affirma que j’étais là sous sa protection. Carole était aussi éberluée que moi et ne savait où poser ses yeux. Nous n’étions pas très nombreux dans le magasin, mis à part la caissière, seuls deux hommes déambulaient dans les rayons. Dominique gardait un visage fermé, une main sur mon épaule signifiait qu’il ne fallait pas toucher. Ils commencèrent à s’intéresser à Carole qui rougissait devant ce qu’elle voyait. C’est Dominique qui prit la parole en premier.

« Cette coquine adore les caresses ».

Et moi, j’ajoutais.

« Et elle n’a pas de culotte ».

Aussitôt, ils voulurent vérifier mais restaient prudents. Ils ne voulaient surtout pas être accusés d’agression sexuelle. C’est donc moi-même qui relevais sa minijupe pour la vérification. Après cela, ils osèrent enfin la toucher, la peloter, la doigter. C’est Dominique qui ajouta, pour finir.

« Vous pouvez la baiser, si vous la voulez, mais ce serait bien si vous lui offriez un petit cadeau, quelque chose d’utile. Un plug anal, un gode vibrant ou bien un gode ceinture. Nous avons encore beaucoup à lui apprendre pour être une excellente soumise ».

Les deux hommes se sont regardés, ils étaient d’accord. L’un d’eux attrapa le premier gode ceinture qu’il trouva, régla son achat et revint près de Carole. Le second acheta un lot de plugs de différentes taille et diamètre. Nous avons continué à visiter les rayons tandis que Carole subissait leurs assauts. J’ai pu apercevoir son visage, avant de changer de rayon, et elle était resplendissante de bonheur d’avoir ainsi été offerte à deux inconnus. Elle était à genou devant l’un d’eux lorsque l’on repassa. L’un des hommes ayant aperçu une tenue sexy d’infirmière, il l’acheta et demanda à Carole de la mettre sur elle immédiatement. Pour cela, elle devait se déshabiller complètement. C’était plutôt facile, elle ne portait presque rien sur elle. Une minijupe et un tee-shirt qui était déjà remonté, dévoilant ses seins merveilleux.

Elle commença par enfiler les bas blancs et remit ses chaussures à talons compensés. Elle mit ensuite une blouse très courte qui ne cachait même pas sa poitrine. La micro jupe, elle, ne cachait pratiquement rien. Au final, c’était pire que si elle était nue, désirable à souhait. En passant près de l’un des hommes, je lui chuchotais qu’elle adorait se faire enculer. Carole aussi avait entendu et elle rougit en baissant les yeux, admettant ainsi que j’avais raison. Elle a eu droit à sa première double pénétration, devant et derrière, tandis que Dominique et moi passions vite fait dans le rayon DVD et bandes dessinées adulte.

Nous avions fini notre tour, Carole avait bien joui et avait même sucé les deux hommes pour les remercier. J’étais à la caisse avec Dominique qui souriait à la jeune vendeuse. Elle lui laissa sa carte de visite, l’invitant à la rappeler si elle avait envie de revoir Carole, ou moi. Je n’en croyais pas mes oreilles, la Maîtresse qui sommeillait en elle venait de se réveiller et elle était prête à m’offrir à une autre femme. Carole et Dominique sont rentrées chez elles, moi, je rentrais aussi mais à l’opposé. Je n’en avais encore pas parlé mais, évidemment, Carole avait bien reconnu Dominique qui travaillait dans la même enseigne.

Elles ne s’étaient jamais parlé auparavant, tout juste bonjour bonsoir en se croisant dans les escaliers. La surprise que j’avais promise à Dominique dut attendre le samedi suivant. J’avais réussi à attirer Alysson avec moi, en lui promettant une après-midi inoubliable. Pensa-t-elle à la visite d’un chenil ? Je l’ignore. Je sonnais donc chez Dominique et je poussais ma jeune amie devant moi. J’avais concocté un plan diabolique. À peine entrée, je filais aux toilettes, simulant une envie très pressante, les invitant à se présenter elles-mêmes. Je repassais près du salon en catimini et descendais deux étages plus bas. Je remontais avec une Carole toute disposée à s’offrir de nouveau à nos caprices.

J’entrais sans sonner, cette fois, je mettais Carole complètement nue et nous sommes entrées dans le salon. Je ne fus pas trop surprise de trouver Alysson entre les cuisses de Dominique qui ronronnait de plaisir. Toutes les deux furent surprises par mon arrivée, surtout Alysson qui ne connaissait pas encore Carole mais la voyait totalement offerte. Elle était trop drôle, avec son visage badigeonné par le plaisir de Dominique. Carole s’agenouilla pour se présenter à son tour mais, au lieu de la bise habituelle, elle commença à lécher la mouille qui inondait son joli visage. Belle entrée en matière pour une après-midi de rêve. Tout le monde fut heureux de cette surprise. Dominique, évidemment, qui découvrait Alysson, Carole était toujours prête pour de nouvelles expériences. Même mon amie avait apprécié, elle est même revenue une fois ou deux. Mais c’était les chiens qui l’intéressaient le plus.

Alysson, justement, avait une nouvelle amie qui, comme par hasard, avait un gros chien, un malinois, je crois. Cette jeune fille était dans notre classe et elles se voyaient de plus en plus souvent. Je n’étais nullement jalouse. Au contraire, j’aimais agrandir mon cercle d’amies. Elle a bien évidemment été invitée chez Alysson, avec son gros chien. C’est Alysson elle-même qui m’a raconté ce qui s’est passé un jour. Elles sont entrées dans la maison toutes les deux, accompagnées du malinois. La maman d’Alysson a eu très peur en voyant le monstre. Elle a poussé un cri strident avant de se coller au mur.

Le chien s’est approché d’elle et a glissé son museau sous la jupe courte, trouvant immédiatement ce qu’il cherchait. Un parfum envoûtant émanait de son entrecuisse. Elle voulut se dégager mais elle était bloquée par le mur derrière elle. Mais quand elle voulut repousser l’agresseur, ce fut un grognement qui lui répondit. Plus question de bouger. Elle se laissa donc lécher la vulve par cet animal qui s’imposait en Maître dans cette maison. Sous les yeux de sa fille et de sa nouvelle amie. Elle avait terriblement honte de prendre du plaisir devant témoins mais ce que lui faisait l’animal était trop bon. Sa lingerie était trempée de mouille quand le chien recula enfin, satisfait. Sa jeune maitresse tira sur la laisse et il l’a suivie à l’étage, sachant qu’une autre chienne attendait son intervention. Clarisse s’excusa auprès d’Alysson pour ce que venait de faire son chien.

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