Barbara (03/08)

Très vite, il ouvrit son zip pour glisser ma main sur son boxer. Je pouvais à loisir masser cette queue qui ne cessait de grossir. Amélie sortit enfin et il remonta son zip, tout content de ce massage. Nous avons retrouvé Barbara dans le vestiaire. J’ai choisi un placard libre à côté du sien pour me changer. Une fois prêtes, nous avons rejoint notre lieu de travail. Nous avions cette fois chacune une rangée définie et donc difficile de discuter. Le travail était payé au poids que chacune ramassait. Barbara, plus habituée que nous, finit son rang bien avant nous. Elle se rapprocha d’Amélie qui avait beaucoup de retard. Côte à côte, elles cueillaient gaiement les fruits mûrs. Parfois, leurs mains se touchaient, involontairement au début, puis par jeu. Puis, je vis la main de Barbara s’introduire dans le jogging d’Amélie, qui la laissa faire. Elle continuait la cueillette, comme elle le pouvait. Elle écarta les jambes quand la caresse se fit plus précise.

Enfin, je la vis s’accrocher des deux mains aux bords de la table, jouissant en silence. Barbara porta ses doigts à ses lèvres pour goûter au plaisir de mon amie, puis lui fit lécher pour qu’elle y goûte aussi. Les filles continuèrent leur cueillette. Je les voyais de dos qui pouffaient. Michaël passa me voir et se serra tout contre mes fesses. La bosse que je sentais durcir en disait long sur son état d’excitation. Je lui demandais s’il avait apprécié notre prestation, dans le vestiaire. Il rougit, un peu confus d’avoir été surpris à mater, mais souffla qu’il avait adoré. Il s’était même endormi avec cette image dans la tête. Je n’ose même pas imaginer les rêves que cela a pu lui apporter. Il tenta de poser ses mains sur mes hanches, mais je me retournais violemment en lui disant :

–« Pas de ça avec moi. Je n’aime que les femmes ».

Il n’insista pas mais partit, dépité. Amélie se tourna vers moi au moment où il partait. Le regard qu’elle porta sur lui en disait long sur ses envies, de le consoler, le cajoler peut-être. Et pourquoi pas un peu plus ? On se retrouva toutes les trois pour le repas, Francis toujours à côté de moi. Il me parlait de son chantier ici qui avançait bien. Il demanda à sa fille si tout se passait bien pour elle. Il constata qu’elle était devenue très amie avec Barbara, elle qui pourtant avait toujours eu très peu d’amies. Depuis qu’elle m’avait rencontrée, elle avait pris en assurance, en maturité aussi un peu. Mais de voir Michaël juste à côté d’elle lui donna l’espoir de la voir se marier un jour. Car son plus grand rêve était de mener sa fille, ses filles, à l’autel. Il me semblait que ce jeune homme la serrait de bien près mais ce n’était pour lui déplaire à cette coquine. Et la main sous la table non plus.

Après le repas, direction la serre la plus éloignée donc voyage dans la remorque. Je trouvais une place tout près de Barbara mais Amélie qui avait trop tardé dut accepter la place dans la cabine. Michaël l’aida à monter avant de la placer comme il le souhaitait, sur ses genoux. Ses mains restèrent plus que de raison sur sa taille mais vu qu’elle ne disait rien, il s’enhardit et prit ses seins. Il la pelota un peu avant de reprendre le volant. Sans le voir, je savais qu’il bandait comme un âne de la sentir sur ses genoux, sur son membre qui devait grossir encore. Et les bonnes fesses devaient le masser divinement. Il lui chuchota quelque chose à l’oreille. Elle le regarda, ébahie, en faisant signe « Oui » de la tête. Elle posa alors ses mains sur le volant, près des siennes. Quand il lâcha le volant, c’est Amélie qui conduisait. Ses mains à lui disparurent sous le maillot. Il eut ainsi tout le loisir de caresser ses beaux seins. Arrivés à bon port, il reprit le volant pour se garer. Amélie descendit de la cabine, resplendissante. Quelle expérience pour elle ! Elle venait de conduire un tracteur tandis qu’un beau jeune homme lui caressait la poitrine, et la chatte aussi m’avoua-t-elle ensuite. Elle reprit sa cueillette avec beaucoup d’entrain et arrivait à suivre le rythme maintenant. J’en conclus qu’il lui fallait un rencard avec ce mec.

Deux heures après, à l’heure de la pause, je lui demandais ce qui la rendait si joyeuse. Elle ne savait pas où n’osait pas me répondre. J’insistais en lui demandant si ce garçon en était la cause. Elle baissa les yeux en m’avouant qu’elle avait un faible pour lui. Francis, qui avait amené les boissons, me ramena ensuite en voiture. Une fois dans son bureau, je pris place sur la chaise. Mon doigt pointé vers le sol lui indiquait sa place. Il se mit à genoux, docile. Je me tournais vers lui et posais ma main sur sa tête. Agrippant ses cheveux, je l’attirais dans le compas de mes cuisses, me servant de son nez pour me caresser la fente. Il continua quand je lâchais ma prise. Au bout de quelques minutes, n’y tenant plus, je baissais mon jogging aux chevilles et sa langue entra en action, enfin. Il me léchait divinement bien, comme un bon petit chien qu’il était. Je m’abandonnais à sa caresse buccale, jusqu’à l’extase. Il n’arrêta pas pour autant, tout au plaisir de me boire. La pointe de sa langue titillait mon clito, puis tournait autour, avant de descendre le long de ma fente, puis revenir. Divin supplice qui m’amena une seconde fois au paradis.

Une récompense, oui, il en méritait une. Je lui ordonnais de délacer mes chaussures. Avec le dessus de mon pied, je massais doucement son entrejambe. La bosse grandissait vite. Je lui demandais de sortir sa queue, bien bandée, et la pris entre mes deux pieds. Il haletait de plaisir. La branlette ne dura que quelques minutes, il éjacula très vite sur mes pieds. Il me lécha ensuite mes pieds, afin d’ôter toute trace. Puis il me rechaussa, remonta mon jogging. Juste un petit bisou sur mon minou avant de le voir disparaitre.

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