Je soulevais sa jupe avec d’infinies précautions. Elle était rendue à la taille et j’avais ma réponse. C’était bien un ensemble coordonné qu’elle portait, soutien-gorge et culotte. Elle avait ouvert bien grand le compas de ses cuisses. Se livrant totalement à ma gourmandise. Et j’avais un appétit d’ogre en voyant cette beauté. Je prenais le temps de caresser l’intérieur de ses cuisses, remontant lentement vers mon but. Elle était entièrement à ma merci et j’adorais cette sensation de puissance, quand on est maître du plaisir de l’autre. Son corps était à moi, tout pour moi. Elle avait abandonné toute velléité de défense. Mais je sentais parfaitement que, même si je jouais actuellement le rôle de la Maîtresse, elle restait encore libre de ses actes. Elle se livrait volontairement à moi, pour connaître de nouveaux horizons. C’était, elle me l’avoua plus tard, sa première véritable expérience avec une femme, une jeune fille.
Lorsque j’ai tiré légèrement sur sa culotte, elle a soulevé ses fesses pour que je puisse la descendre jusqu’aux chevilles. La voilà totalement offerte à ma bouche, à mes mains. J’ai plongé entre ses cuisses magnifiques pour boire à la source de son plaisir. Elle secrétait énormément de cyprine et j’avais un peu de mal à tout avaler. Elle a joui en silence une première fois, je l’ai su car elle a simplement posé ses mains sur ma tête, la gardant au contact de son intimité. Cela m’a conforté dans mes intentions de continuer et je voulais lui offrir un orgasme, un vrai, car j’imaginais qu’elle n’y avait pas goûté depuis un moment. Je me suis donc accrochée à ses fesses, continuant à lécher cette fente délicieusement parfumée. Elle essayait de me repousser mais j’étais déterminée comme jamais à lui offrir l’orgasme de sa vie. Quand elle a compris qu’il était inutile de se rebeller contre moi, elle s’est immobilisée, portée uniquement par le plaisir qui l’envahissait méthodiquement, étape après étape.
Elle n’était plus qu’une poupée de chiffon lorsque, tout à coup, elle s’est soulevée littéralement du canapé. Seuls ses pieds touchaient le sol, tandis que son cou restait appuyé sur le dossier du canapé. Arque boutée, elle se mit à râler très fort. Je n’avais pas cessé de lécher sa fente qui m’arrosa divinement. J’étais aux anges de la voir si heureuse, si détendue. Une fois sa chatte bien nettoyée, je repris place près d’elle pour sucer ses tétons gorgés de plaisir. Elle revenait à elle doucement, me remerciant de ses yeux doux du bonheur que je venais de lui procurer. À peine remise de ses émotions, elle s’est levée pour m’entrainer dans sa chambre. Devant son lit, elle a quitté sa jupe qui a glissé doucement au sol. Elle se livrait une nouvelle fois, entièrement nue, face à moi. Je m’approchais d’elle, je posais mon genou droit très loin sur le lit et, en la poussant légèrement, elle s’allongea, moi au-dessus d’elle. J’avais entamé un long baiser langoureux qui dura jusqu’à ce que j’aie de nouveau envie de ses seins merveilleux. Je glissais sur son corps pour atteindre mon objectif et, dans le mouvement, ma jupe s’était relevée. Seul le tissu de ma culotte séparait nos deux intimités.
Je me frottais à elle, elle répondait en se tortillant sous moi. Puis, s’enhardissant, elle posa ses deux mains sur mes fesses pour bien me maintenir collée à sa propre intimité. C’était uniquement elle maintenant qui se frottait à moi. Pour notre plaisir à toutes les deux. Je tétais ses seins, amoureusement, j’étais bien et j’ai lentement glissé vers un orgasme venant du fond de mon ventre. J’étais mouillée autant qu’elle l’était. J’étais toujours au-dessus d’elle et j’ai fait volte-face pour me retrouver de nouveau devant son intimité frétillante. Je replongeais avec délices entre ses cuisses pour récolter les fruits de notre plaisir. Elle-même prenant de l’assurance, écarta le tissu trempé de ma petite culotte pour goûter enfin à mon nectar.
Ses deux mains se sont saisies de mes fesses et elle a commencé à me dévorer. Elle semblait énormément apprécier de lécher une autre femme, une jeune fille qui venait de la faire jouir plusieurs fois d’affilée. J’étais à deux doigts de repartir dans un nouveau délire orgasmique mais je voulais de nouveau l’entrainer avec moi. J’ai posé mon doigt tout près de son petit trou et je l’ai pénétrée d’un coup. Surprise, elle a joui juste avant que je ne me déverse à nouveau dans sa bouche gourmande. Nous sommes restées longtemps allongées l’une près de l’autre, à nous cajoler gentiment. Enfin, surtout moi. Je l’écoutais me parler d’elle, de sa vie sans but véritable avant de m’apercevoir dans l’embrasure de la porte de Carole.
Cela avait été un déclic dans son esprit. Un flot de souvenirs remontant à la surface, oubliés depuis si longtemps. Sa jeunesse, son adolescence. Sa meilleure amie, Martine, qui, par jeu, l’avait embrassée sur la bouche. Baiser innocent mais reproduit souvent ensuite. Un jour, elle avait forcé ses lèvres et Dominique s’était laissée emportée par le plaisir que son amie faisait naître en elle. Elle dormait parfois chez son amie et, une nuit, celle-ci osa l’embrasser entre ses cuisses. Dominique refusait de s’admettre lesbienne, elle voulait simplement être normale, comme tout le monde. Mais avec sa meilleure amie, elle était sans force devant les envies qui montaient crescendo. Chez l’une comme chez l’autre.
Jusqu’au moment où elle devait passer une semaine entière, en camping, seule avec elle. Elle a eu peur de se révéler à elle-même et a préféré ne pas partir avec elle. Tout avait changé entre elles après cela, elles étaient toujours amies, mais comme des camarades, pas plus. Un jour, Martine a trouvé une remplaçante pour les jeux pervers et, vu qu’elle n’était pas très attentive, elles se sont fait surprendre par un groupe de garçons de leur école. Les deux filles étaient désormais pointées du doigt, traitées de lesbienne, de goudou. Certains se sont rappelé qu’elles avaient été très proches, très longtemps, mais Dominique à refuser d’avouer avoir eu des relations d’ordre sexuel avec sa meilleure amie. Ex-meilleure amie, désormais.
Dominique me racontait qu’elle avait très mal vécu cette période de son adolescence. Mais elle se tut, prise par un nouveau spasme de plaisir. Je n’avais pas cessé de la doigter et elle a de nouveau joui entre mes doigts. Je lui ai fait lécher mes doigts, trempés de sa propre mouille et, après une brève résistance, elle a accepté de nettoyer mes doigts souillés.