Il était une fois dans l’Est (10/11)

Je n’aurais jamais cru être autant réceptive qu’à ce moment précis. Je débute un cunni sur Lauryn qui appuie sur ma tête pour me faire savoir qu’elle aime cela et ses soupirs emplissent la chambre. Alors, elle s’étend sur moi et, elle aussi, me lèche la chatte. Merveilleux 69 qui redonne une nouvelle vigueur à la queue de l’homme qui nous observe attentivement. Je ne le vois plus vraiment mais c’est bien sa queue qui revient investir mon intimité jusqu’à la garde, tandis que Lauryn continue à butiner mon abricot juteux. J’apprécie la plénitude d’être léchée et remplie en même temps. Je sens soudain mon corps lâcher de petits jets de cyprine qui doivent éclabousser le visage de ma cousine et qui aident cette queue à mieux coulisser en moi. Le « ramonage » n’en finit pas de m’embarquer vers un pays rose, vers des cieux d’une couleur indescriptible, vers un naufrage de tout mon être. Un naufrage inévitable, mais que je désire plus que tout au monde.

Le temps semblait n’avoir aucune prise sur le trio infernal que nous formions. Elle et moi, à tour de rôle, nous sommes servies par cette belle bite qui nous laboure le ventre, qui nous enfile de si belle manière. Comment peut-il résister aussi longtemps aux deux furies que nous sommes, affamées de cette queue que nous nous partageons sans nous entredéchirer ? Quand elle pousse des cris qui me confirment bien qu’elle aussi prend du plaisir avec cette chose qui entre et qui ressort d’elle sous mes yeux, je suis presque jalouse que ce ne soit pas moi qui l’ai dans le ventre. La voilà repue, pour un temps, de ce sexe qui ne veut plus se vider. Et c’est à mon tour de l’accepter encore en moi.

Ils m’ont fait mettre à quatre pattes et Jérôme est derrière moi, prêt à m’enfiler. Je me prépare à cet assaut quand je sens que le chemin emprunté par le dard est différent. Je me trémousse pour essayer de le faire dévier de sa trajectoire, mais c’est elle qui le maintient dans la direction optionnelle qu’il a choisie. Et je frissonne de le sentir flirter avec l’œillet sombre que mon cher papa avait défloré il y a bien longtemps. L’effet est immédiat, dès qu’il commence à forcer un peu, le muscle se distend, d’abord légèrement, puis, sous la pression constante, il cède totalement, laissant le sexe me pénétrer à moitié. Il est entré et continue sa progression, lentement mais inexorablement. Je commence à ressentir les prémices d’un plaisir qui s’annonce plus violent que précédemment.

Lauryn s’est allongée sous mon ventre et a glissé sa tête entre mes cuisses jusqu’à mon clito, ce qui aide à faire passer la douleur toute passagère. Je sens maintenant que les couilles touchent mes fesses à chaque pénétration alors que je commence à mouiller de nouveau sous la langue bienfaitrice de ma cousine. Je me sens ouverte de partout. Pendant que mon cousin me baise bien profondément, tout en douceur, je ne peux m’empêcher de penser que je suis une belle « enculée ». Mais j’adore cette idée. Il explose finalement en moi et nous nous retrouvons blottis les uns contre les autres. C’est ainsi que je m’endors en repensant à cette folle nuit de baise intense.

Je me réveille plus tard, il fait encore nuit. Lauryn chevauche de nouveau son étalon qui a repris des forces. Elle a posé ses mains sur son torse, tandis que lui malaxe sa poitrine. Je ne bouge pas, les observant les yeux mi-clos. Ils sont beaux, on voit qu’ils s’aiment véritablement. Au-delà de leur lien de parenté. Je me rendors sereinement. J’émergeais quelques heures plus tard sous la délicieuse sensation d’une bouche gourmande qui aspirait mes tétons. Je tournais la tête vers Lauryn qui me souriait. Je m’aperçus alors que c’était Céliane qui s’était allongée sur moi et qui pompait mon sein comme un bébé affamé. J’appréciais cette caresse mais je ne pouvais l’accepter. Que dirait son père, s’il savait ?

Je tournais alors la tête vers lui et, surprise, lui aussi me souriait. Malgré mes réticences, je laissais la jeune fille continuer sa merveilleuse caresse buccale. Jérôme ferma les yeux, comme pris d’un plaisir intense. La petite main de sa fille emprisonnait sa queue et le branlait doucement. Je retournais la tête vers Lauryn pour tenter de lui expliquer ce qui se passait mais elle aussi semblait prise par le plaisir. L’autre main de la jeune fille était bien calée entre ses cuisses grandes ouvertes. Quelle famille ! Nous étions tous autant attirés par le sexe. Je me laissais porter par le doux plaisir de l’orgasme qui montait en moi. Céliane s’était légèrement déplacée et se frottait maintenant contre ma chatte. Ses mouvements, ses caresses sur ma poitrine, la situation elle-même, tout cela me dit chavirer vers un nouvel orgasme fulgurant.

Jérôme est allé prendre sa douche, aussitôt suivi par Lauryn. Je suis restée allongée, pour les laisser profiter d’un peu d’intimité. Et puis, j’étais si bien avec la jeune fille qui caressait toujours ma poitrine. J’aurais aimé que cela dure encore plus longtemps. Mais il fallait se lever, se laver et s’habiller pour le mariage. Pour gagner du temps, la douche, je l’ai prise avec Céliane. C’était la première fois que je caressais une fille plus jeune que moi, et qu’elle aussi me caressait. C’était troublant mais il y avait bien d’autres choses à penser ce matin-là.

*************

Notre arrivée chez la mariée ne passa pas inaperçue. Céliane faisait l’unanimité dans sa robe de princesse. Presque aussi jolie que la mariée elle-même. Comme la jeune fille qui devait ouvrir le cortège à l’entrée dans l’église ne pouvait pas venir, c’est donc Céliane qui fut désignée pour former le tapis de pétales de roses juste devant la mariée. Elle en fut toute émue, puis très vite se redressa, bien consciente de la tâche primordiale qui lui était attribuée. Je vous passe les épisodes de la cérémonie, la Mairie, l’église. Même le repas, sous un barnum installé derrière la maison de la mariée, dans une grande prairie bien verte. Nous n’étions pas aussi nombreux que l’avait souhaité la mariée, quand elle avait commencé à lancer les invitations. Mais c’était avant la crise sanitaire. Beaucoup de choses ont changé du fait de cette crise.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *