Elle avait entre autres choses donné des cours de français à des personnes arrivant de l’étranger et à des françaises aussi, qui étaient à la limite de l’analphabétisme. C’est ainsi qu’elle avait rencontré Helen, une anglaise mariée à un français, qui justement devait venir dîner chez elle ce samedi soir. Elle expliqua la raison de sa venue, indiqua sa voiture et deux jeunes hommes s’y rendirent pour en sortir les cartons. Nous sommes restées un bon moment là-bas, elle papotait avec tout le monde. Elle annonça à la responsable qu’elle pensait sérieusement reprendre du service, car cela lui manquait terriblement. Sa grande fille vivait à Rennes maintenant pour ses études. Restait juste la plus jeune, qui venait de fêter ses 15 ans.
Elle salua tout le monde une dernière fois, promettant de revenir très bientôt, et retour à la maison. Préparation du repas et je mis la table. Seulement 4 personnes. J’allais ensuite chercher Amélie qui prenait sa douche. Elle est vraiment belle et désirable, mon Amélie. Je la séchais vigoureusement et l’aidais à passer sa robe, blanche. Juste son soutif et rien d’autre. Elle commençait à y être habituée, même si parfois, je devais vérifier par moi-même. Le repas terminé, nous sommes sorties après avoir aidé à débarrasser la table et fait la vaisselle. Un peu de marche à pied pour rejoindre le centre-ville et l’adresse que m’avait indiquée Geneviève. La résidence se trouvait tout près du bord de mer, et l’appartement du 4ème étage se trouvait face à la mer. Je sonnais à l’interphone et la porte s’ouvrit. L’ascenseur, plutôt stylé, nous mena à l’étage. Je frappais à la porte qui s’ouvrit presque instantanément sur une Geneviève tout sourire.
–« Je t’ai amené une surprise », dis-je en poussant Amélie à l’intérieur de l’appartement.
Elle referma la porte et nous guida vers le salon, nous invita à nous asseoir et nous proposa un rafraîchissement. Je choisis un Orangina, Amélie un Coca-cola et elle un Perrier. Je lui demandais de s’asseoir tandis qu’Amélie nous apporterait les boissons.
–« Dans le frigo, précisa-t-elle, la cuisine, c’est la première porte à droite ».
Installée dans son canapé moelleux, elle donnait les consignes. J’étais assise face à elle, dans un fauteuil. Amélie ramena les boissons et les verres sur un plateau qu’elle déposa sur la table basse. Elle alla s’asseoir dans le second fauteuil et sirota son coca. Je les présentais l’une à l’autre. Puis, je demandais à Amélie de se lever et de venir près de moi, face à Geneviève. Sans prévenir, je soulevais sa robe exposant à notre hôtesse sa chatte fraîchement rasée. Elle n’en revenait pas de tant d’impudeur de notre part, mais était ravie du spectacle. Je me levais à mon tour, entraînant la robe dans le mouvement. Je la passais par-dessus sa tête et je finis en ôtant son soutif. La voilà entièrement nue devant cette femme qu’elle ne connaissait pas il y a dix minutes. Je la poussais vers les mains avides de Geneviève qui ne savait où les poser, les hanches, les fesses, la poitrine, tout lui faisait envie mais par où commencer ?
Elle finit par l’attraper aux hanches pour la rapprocher d’elle encore. Je passais ma robe par-dessus tête et je me retrouvais en string, derrière Geneviève, sur le canapé. Occupée qu’elle était à caresser Amélie tout partout, je défis la fermeture de sa robe. Et l’attache du soutif. Elle se mit à genoux devant sa proie et je descendis sa robe à la taille, le soutif suivit.
Je pétrissais sa poitrine tandis qu’elle léchait la chatte offerte à sa bouche. Puis elle s’accrocha aux fesses dodues pour se relever et téter cette poitrine voluptueuse. Sa robe resta sur le sol. Je m’accroupis derrière elle pour baisser sa culotte. Elle était aussi nue qu’Amélie, mis à part ses bas que je lui laissais. Je me glissais entre elles deux pour enfin goûter à sa chatte. Elle écarta les cuisses de suite, trop heureuse pour refuser ce cadeau du ciel. Deux jeunes filles pour elle toute seule. Je ne suis sans doute pas aussi experte qu’elle avec ma langue mais je sus l’amener au bord de l’orgasme et quand je rentrais un doigt puis deux dans son cul, elle jouit violemment, et longuement. Elle dut s’asseoir sur le canapé, vaincue par le plaisir. Amélie entreprit de nettoyer sa chatte encore humide et continua ensuite à la lécher tendrement. L’anus aussi y passa. Accroupie près du canapé, je me chargeais de sa jolie poitrine, les tétons dressés. Puis je lui offrais ma bouche pour un long baiser. Sa main cherchait mon entrejambe et s’engouffra sous mon string. Sa bouche remplaça ses doigts quand je me plaçais au-dessus d’elle. Elle suçait divinement, je le redis encore. Amélie parvint enfin à la faire jouir une seconde fois, en douceur.
Elle était belle, Geneviève, vaincue par le plaisir, allongée nue sur ce canapé. Elle émergea au bout de quelques minutes et demanda à Amélie de se placer assise face à elle sur le canapé, jambes bien écartées. Enfin, ma jeune complice connut les joies que pouvait prodiguer une langue experte. Elle jouit très rapidement, je dois dire que moi, je m’occupais de sa poitrine et que l’effet conjugué de la langue et de mes doigts ne pouvait que l’amener au plaisir suprême.
Nous sommes restées nues, telles que nous étions, pour finir de siroter nos boissons. L’après-midi passa très vite, entre discussions et séances de caresses de toutes sortes. Nous n’ignorions plus rien du corps de nos partenaires, pour l’avoir exploré partout, avec les yeux, la langue ou les doigts.
Il était l’heure pour nous de rentrer. Je lui promis de passer la voir le samedi matin, vers 8h30, après être passée à la gare, toute proche. Elle nous demanda la faveur de nous rhabiller elle-même, comme si nous étions ses poupées. Ses doigts caressaient ma peau en m’enfilant ma robe, et elle prit encore plus de plaisir avec les formes d’Amélie. Je sentis sa main mettre quelque chose dans mon sac tandis qu’elle me remerciait à l’oreille pour ce doux moment. Ce n’est qu’une fois dehors que je vis la liasse de billets qu’elle avait glissée.