Élisa

L’histoire que je vais vous raconter maintenant, ne m’est pas arrivée personnellement, mais à un de mes amis qui s’est confié à moi. Je l’ai retranscrite, en changeant les prénoms pour garder une certaine confidentialité aux personnages. Je l’ai un petit peu romancée, pour vous être agréable et je la publie aujourd’hui avec son plein accord.

Tout d’abord, je me présente. Je m’appelle Nicolas, j’ai 27 ans en 2003, à l’époque des faits. J’étais en couple et très amoureux de Sandrine. Je travaillais dans une grande chaine connue, en tant que conseiller-vendeur en animalerie.

Comme tous les ans, au printemps, nous accueillons de jeunes stagiaires qui viennent se confronter au monde du travail. Cette année-là, c’était mon tour d’accueillir Élisa, une jeune stagiaire de 14-15 ans. Le responsable du magasin me l’a confiée directement, vu mon ancienneté à ce poste.

Élisa était une jolie jeune fille, brune, cheveux mi-longs, ondulés, petite poitrine mais joli cul. Elle aurait pu être ma petite sœur, et je la voyais comme telle.

Elle me suit dans toutes mes tâches, observe, me donne un coup de main quand je le lui demande. Elle est douce et serviable, attentive et attentionnée.

On sympathise petit à petit, on discute de tout, sa famille, ses passions, ses désirs pour plus tard. Le métier qu’elle aimerait exercer. C’est tout naturellement qu’on en est venu à parler de sexe.

Elle m’avoue qu’elle est encore vierge mais qu’elle adore se caresser. En tous lieux, à toute heure. J’ai très envie, à ce moment précis, de lui demander de le faire, là, devant moi. Ou bien d’aller se caresser aux toilettes, à l’abri des regards. Simplement, je saurais, en la voyant revenir, ce qu’elle aurait fait. Je n’ai pas osé lui demander, elle m’aurait pris pour un pervers.

Avant de quitter la salle de pause, elle m’expliqua qu’elle était à la recherche de celui qui ferait d’elle une femme. Je pensais qu’elle imaginait un garçon de son âge.

On reprend le travail, tout en parlant de nos envies, de nos plaisirs. En tant que stagiaire, elle finit plus tôt sa journée de travail. On passe donc par mon bureau pour remplir sa feuille de présence, ainsi que certains documents administratifs, pour l’assurance, entre autres.

C’est en remplissant les différents documents que je me rends compte que je suis obligé de passer près de chez elle pour rentrer chez moi le soir, et venir au travail le matin.

Apprenant cela, elle me demande si je pouvais passer la chercher les jours où sa mère ne pourrait pas l’emmener, les transports urbains n’étant pas trop disponibles sur ce parcours. Elle est gentille et, n’y voyant aucun problème, j’accepte bien évidemment.

Je lui laisse mon numéro de portable pour pouvoir me joindre en cas de besoin, si elle devait être en retard au travail, par exemple. Je la laisse rejoindre sa mère qui l’attend sagement sur le parking.

Le soir-même, elle me téléphone pour me demander de passer la prendre devant chez elle le lendemain, sa mère devant changer ses horaires à la dernière minute.

Je lui dis que, n’ayant pas les mêmes horaires, elle devra patienter en salle de repos, le matin et le soir pour que je la ramène. Elle me dit que cela sera toujours mieux que les transports en commun.

Le lendemain, à l’heure prévue, elle est devant chez elle, attendant ma venue. Elle monte dans la voiture, écarte les jambes pour refermer la porte et c’est à ce moment que j’aperçois sa petite culotte, blanche, sage.

J’ai aussitôt un début d’érection, vite contenu. Une fois la porte fermée, elle se penche vers moi pour me faire la bise. Son visage est tout chaud contre le mien. Je me rappelle qu’elle pourrait être ma petite sœur, qui d’ailleurs est elle aussi très câline, très affectueuse avec moi.

J’oublie rapidement mes mauvaises pensées et me concentre sur la route. Je la dépose dans la salle de pause et commence ma journée tranquillement. Réceptions, commandes, etc. … Elle me rejoint vers 9 heures et me suit pas à pas toute la journée. Elle se montre anormalement câline, maintenant qu’elle me connait mieux.

Je mets son attitude sur le fait qu’elle a confiance en moi, son jeune âge aussi. Ma petite sœur est plus jeune qu’elle, mais elle est excessivement tactile, toujours collée à moi pour regarder la télé par exemple. Ma compagne Sandrine me l’a parfois reproché, sur le ton de la rigolade bien évidemment.

Élisa devient de plus en plus délurée, n’hésitant pas à s’accroupir devant moi pour ramasser un papier, me laissant voir parfaitement sa culotte de coton blanc. Je remarque même une tâche suspecte sur le devant, un début d’humidité. La petite salope devenait exhibitionniste et cela la faisait mouiller.

Moi-même, je ne pouvais rester insensible à ses charmes. Je lui donnais un travail facile, à réaliser seule, dans la réserve. Sans risques. Je me réfugiais dans mon bureau pour reprendre mes esprits et répondre à quelques fournisseurs.

Je retournais la voir plus tard pour lui signifier qu’il était l’heure pour elle d’arrêter, qu’elle finirait demain. Elle rejoignit la salle de pause pour attendre que j’aie fini à mon tour ma journée pour la ramener chez elle.

Même scénario le lendemain, sauf qu’elle portait une micro jupe qui avait bien du mal à cacher son string. En haut, elle portait un débardeur, sans soutif. On pouvait apercevoir la peau laiteuse de ses seins par l’ouverture des manches.

Je ne pouvais imaginer qu’elle ne se rendait pas compte de l’indécence de sa tenue. Effectivement, sur le chemin, elle me dit qu’elle devrait se changer avant de débuter le travail, car sa tenue ne s’y prêtait pas du tout. Elle m’avoue que son père ne l’a pas vue partir ainsi, sinon, il l’aurait rappelée pour changer de tenue.

Tout en roulant, elle me fait part que sa recherche n’a toujours pas abouti, Elle n’a pas encore trouvé l’homme qui fera d’elle une femme. Je plaisante sur son choix du terme « Homme ». Elle aurait dû dire qu’elle cherchait un garçon de son âge, ou un jeune homme.

Elle insiste lourdement en me disant qu’elle avait parfaitement choisi le terme. C’est bel et bien un homme qu’elle recherchait.

« Quelqu’un comme toi » ajouta-t-elle.

J’étais de plus en plus mal à l’aise. Sa tenue, la promiscuité, ses avances très claires. Son jeune âge me revint à l’esprit à temps pour décliner son offre.

« Je suis trop vieux pour toi. Cherche plutôt un garçon de ton âge ».

Elle insiste en m’affirmant que ses parents sont au courant de son choix, moi en l’occurrence, et tout à fait d’accord avec ce choix. L’arrivée sur le parking met fin à la discussion.

Je sors de la voiture sans la regarder et je vais ouvrir la porte d’accès des employés. Le responsable du magasin arrive juste au moment où Élisa sort de ma voiture, cuisses largement écartées.

Je ne l’ai pas vue, à ce moment, j’avais le dos tourné, mais mon responsable, me rejoignant à la porte, me convoqua immédiatement dans son bureau.

Là, je reçois un savon de sa part car je dois avoir une tenue professionnelle avec ma jeune stagiaire. Il me conseille de ne plus l’amener le matin, et bien sûr le soir aussi. Elle prendra les transports publics, et tant pis si elle est un peu en retard. Ce n’est qu’une stagiaire. Il me rappelle d’ailleurs qu’elle est mineure.

J’essaie de me défendre en affirmant que je n’ai jamais oublié son âge, que je sais me tenir à ma place. Que certes, elle portait aujourd’hui une tenue provocante mais que c’était la première fois.

Nos relations deviennent uniquement professionnelles pour le reste de la journée, et jusqu’à la fin de sa semaine de stage. Je lui annonçais, en sortant du bureau de mon responsable, que je ne pourrais plus l’emmener, et la ramener chez elle. Seule exception, le soir même.

Je ne pouvais pas décemment la laisser prendre le bus dans cette tenue. En la déposant devant chez elle, elle tente encore une fois de me faire la bise, pour me souhaiter une bonne soirée. Je me méfiais et lui tends aussitôt la main. Elle a compris, cette fois.

Son stage se termine donc le samedi matin. Je dois lui remettre un rapport sur le travail qu’elle a accompli durant ce stage, mes appréciations. Rapport que je dois avant tout faire valider par mon responsable.

Il me reçoit donc en fin de matinée. Il lit et étudie le document, et le signe finalement sans revenir sur l’incident de la tenue vestimentaire. Je reçois Élisa juste avant son départ pour lui faire part de vive voix de mes appréciations. Elle est souriante, comme au premier jour.

Le samedi suivant, je la vois revenir au magasin, accompagnée de ses parents. Ils attendent patiemment que je finisse avec une cliente et viennent me saluer. C’est son père qui prend la parole.

« Bonjour, je voulais vous remercier de l’accueil que vous avez réservé à notre petite Élisa. Elle-même a été ravie de son stage. Je voulais ajouter que nous savons pertinemment que notre Élisa vous a choisi pour être son premier homme. Vous n’avez pas accepté, mais je voulais que vous sachiez que nous étions au courant, et tout à fait d’accord avec sa démarche. Vous avez notre autorisation ».

J’étais totalement estomaqué. Un père qui m’autorisait à dépuceler sa fille, mineure. Je lui ai donné la même réponse qu’à elle.

« Pour moi, elle est trop jeune ».

Finalement, j’ai appris qu’elle avait choisi un autre mec, quelques mois plus tard.

Je ne regrette pas ma décision. Je répète qu’à cette époque, j’étais en couple, avec Sandrine, tout se passait bien entre nous et je ne voulais pas tout gâcher pour un moment passé avec une jeune fille.

En écrivant cette histoire, je me dis que je regrette quand même mon refus. J’aurais pu réaliser mon fantasme, être le premier pour une fille. Maintenant, je pense qu’une telle occasion ne se représentera pas de sitôt.

C’est de nouveau moi, Emma. Je vous prends à témoin, mes chers lecteurs, et lectrices. Qu’en pensez-vous?

Qu’auriez-vous fait à sa place?

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