J’étais en train de fondre littéralement sous ses caresses quand Charlène abaissa une des bretelles de ma robe et prit un de mes tétons dans sa bouche. Cela déclencha mon orgasme, violent et puissant. Je m’appuyais contre l’évier pour ne pas tomber tandis que les deux filles continuaient, encore et toujours. La « sauvagerie » qu’elles y mettaient, l’une comme l’autre, me fit jouir à nouveau, moins fort, mais tellement plus délicieusement. Mes jambes avaient du mal à me porter, je m’abandonnais toute, heureuse et comblée. Deux petites coquines pour moi toute seule, j’étais aux anges.
Nous dûmes nous asseoir pour nous remettre de nos émotions. Charlène, gentiment, reboutonna la robe de sa grande sœur, commençant par le bas. Amélie se laissait faire, docile et soumise comme toujours. Elle se leva pour faciliter le rhabillage. Charlène remontait doucement, remit les deux globes dans leur balconnet et tenta de finir sa tâche. C’est en arrivant en haut qu’elle se rendit compte qu’elle l’avait habillée lundi-mardi. Elle s’esclaffa et redéfit tous les boutons, pour recommencer du bas. Elle posa un petit bisou sur la chatte de sa sœur avant de la revoir disparaitre sous le tissu. Une fois sa tâche finie, elle voulut aller s’asseoir mais Amélie l’attira sur ses genoux en s’asseyant, face à moi.
Elle écarta les cuisses, légèrement, me laissant entrevoir sa fente encore humide. Cette vision me donna l’envie de la caresser encore, mais avec mon pied, elle était juste à ma portée. Elle me laissa caresser l’intérieur de ses cuisses, puis remonter doucement. Elle ouvrit le compas de ses jambes pour me donner l’accès, et se pencha en arrière, sur la poitrine d’Amélie. Rejetant sa tête en arrière, elle chercha, et trouva, les lèvres déjà offertes de sa sœur. Malgré tout, pas assez agile avec mon pied, je m’accroupis entre ses cuisses et enfin ma langue s’approcha de sa petite fente. Elle sursauta, surprise de cet attouchement, se mit à trembler, avant d’inonder ma bouche de son jus d’amour. Je me fis un devoir de tout boire et bien nettoyer son petit minou.
Après de longues minutes, nous nous sommes remises au travail. Cela fut vite terminé. Nous sommes allées rejoindre les parents, sur la terrasse. Francis resta avec nous pendant un bon moment avant de retourner dans son bureau, au frais. Charlène proposa de plonger dans la piscine. On se regarda toutes les trois et, ensemble, on décida d’y aller, toutes nues. Je déboutonnais la robe d’Amélie et son soutif avant qu’elle saute dans la piscine. Puis, je baissais la jupe de Charlène, ôtais son top. Pas de soutif. Ce fut son tour de soulever ma robe, défaire mon soutif et enfin ôter mon string. Un petit bisou discret sur ma chatte lisse. Puis, elle me prit par la main pour m’entraîner jusqu’à la piscine, sous l’œil amusé de Corinne.
Une fois dans l’eau, plus personne ne pouvait voir ce que nos mains faisaient sous la surface. Charlène avait attrapé un frisbee que l’on se lançait de l’une à l’autre. Exprès, je le lançais un peu au-dessus de leur tête afin de les forcer à sauter et apercevoir encore leurs corps. Quand j’étais tout près de l’une, ou l’autre, mes mains ne restaient pas inactives, caressant tout ce qui passait à ma portée. Pour finir, nous nous sommes alliées, Charlène et moi, pour coincer Amélie au bord de la piscine, à l’abri des regards de Corinne, et enfin la caresser tout partout. Sa chatte, ses fesses, sa poitrine voluptueuse surtout, tout y passait. Elle-même y prenait un vif plaisir. Je le voyais dans ses yeux.
Ses mains ne restaient pas sans rien faire, nous caressant autant que nous la caressions. Je dus coller mes lèvres aux siennes pour étouffer le cri qu’elle poussa quand la jouissance la prit. Sa petite sœur était insatiable et continuait encore et encore, la tétant et titillant son clito en même temps. Pour la calmer un peu, j’introduisis un doigt dans son petit cul. Cela eut un effet totalement inverse. Elle se déchaîna comme une furie sur les tétons si durs qu’ils semblaient prêts à exploser. Amélie subit le même traitement, mais deux doigts pour elle, elle en avait l’habitude déjà. Je la sentis soudain se raidir, tout en m’embrassant plus fougueusement.
La connaissant bien, je sus qu’elle venait de jouir à nouveau, aussitôt suivie par sa petite sœur qui posa sa tête sur la poitrine d’Amélie. Les deux étaient vaincues par le plaisir et ne souhaitaient plus qu’une chose : se reposer sur un transat, près de la piscine. J’aidais Charlène à sortir en la poussant aux fesses, elle resta près du bord pour aider Amélie, que je poussais de la même façon, puis, je sortis à mon tour.
Corinne nous regarda nous diriger vers les transats, les yeux cachés derrière des lunettes de soleil. Ce fut à ce moment que Francis sortit de la maison pour nous voir toutes les trois, entièrement nues. Il ne prêta guère d’attention à ses filles, et heureusement, bien que les rondeurs d’Amélie étaient vraiment appétissantes, mais c’est sa fille et, même si c’est un homme, ce n’est pas pour autant un pervers. Moi, il ne se cacha pas pour me regarder ouvertement. Un signe de tête pour me signifier qu’il appréciait la vision de mon corps nu. Notre seule expérience, lors d’un footing, ne lui avait pas permis de voir, ni de toucher beaucoup non plus.
La seule chose que je lui laissais le droit de regarder, c’était mes fesses, moulées dans un legging, pendant notre footing du dimanche. Que je n’avais pas fait ce matin, d’ailleurs. Trop fatiguée. Et émue. Lui non plus, d’ailleurs, n’était pas allé courir ce matin. Pas tout seul. Pas sans moi. Lors de mes dernières visites, j’avais pris l’habitude d’aller courir dans un parc voisin et il aimait me suivre, pour se remettre au sport, disait-il. Mais même quand je ralentissais, il restait derrière moi, se délectant de la vue de mon cul que je lui refusais depuis cette seule et unique fois. Il espérait toujours, je crois. Je ne regrettais nullement ce que nous avions fait mais je préférais les femmes.