« Il baissa pantalon et slip pour que je puisse enfin l’admirer, et bien voir ce que je faisais, l’effet de mes caresses sur son gland et sa tige. Il aurait voulu un peu plus, mais je n’étais pas prête pour lui faire une pipe ».
« Après cette première fois pour moi, il trouva des tas de raisons pour me revoir, de préférence seule. Suivant le temps qu’il faisait, nous restions dans sa voiture, ou bien allions nous promener dans la campagne environnante. Car c’est toujours lui qui venait me voir, à Château-Gontier. Il devait même connaître les horaires de mes cours ».
« Pour correspondre ensemble, il m’avait acheté un téléphone à clapet, avec une carte prépayée. Il m’envoyait un SMS pour me préciser où et quand on se retrouvait. Il n’était jamais en retard, mais moi non plus. Il utilisait mon corps juvénile à sa guise, ou presque. Le plus souvent, il sortait son sexe bandé à mort et je frottais ma fente dessus jusqu’à éjaculation. Il avait toujours une boîte de mouchoirs jetables à portée de main ».
« En extérieur, il m’allongeait pour me lécher la chatte amoureusement. Il m’a appris à lui tailler une pipe et je dois avouer que j’adorais ça. Je sais bien que je parle de ton père mais tu dois savoir que c’est un sacré baiseur. J’attendais, et lui aussi, impatiemment le moment où je deviendrais femme entre ses mains. Il avait tout prévu, cela devait se passer chez lui, un après-midi ».
« J’étais venue en bus jusque chez vous. Il avait commencé à me déshabiller entièrement dans votre salon et j’étais prête à jouir pour la première fois quand une voiture arriva. Je me rhabillais aussi vite que possible, oubliant ma petite culotte que je ne trouvais plus. C’était tout simplement ta maman qui revenait plus tôt que prévu. Un malaise à son travail, je crois ».
« Elle est allée se coucher sans me voir et je quittais la maison légèrement frustrée. C’est ce jour-là que je me dis que ce que je faisais n’était pas juste pour elle. Ton père n’eut pas de seconde chance avec moi. Le soir-même, ton petit frère trouvait ma culotte, oubliée entre les coussins du canapé « .
« Scandale évidemment, qui conduisit au divorce de tes parents. Je n’étais pas la première ni la seule aventure ton père mais c’était la goutte qui avait fait déborder le vase ».
« Après cela, je me suis concentrée sur des garçons de mon âge qui appréciaient énormément mon expérience en matière de fellations. On me surnommait « La Reine de la pipe ». La multiplication des expériences a fini par combler le vide laissé par mon tonton Roger ».
Rosalie n’était plus une oie blanche depuis longtemps, depuis ses 16 ans, m’avait-elle dit. Elle connaissait pertinemment les raisons du divorce de ses parents. Et elle savait très bien qu’il n’y avait qu’un seul responsable à cette situation. Son père, un cavaleur de première classe. Après toutes ces confidences, elle n’avait plus de raisons pour éviter de me raconter sa première expérience.
« Dans les premières années suivant le divorce, on se partageait, mon petit frère et moi, entre les deux maisons. Romain, mon aîné de deux ans, avait choisi de vivre avec son père. Plus pratique pour ses études, avait-il prétexté. C’était sans doute un peu vrai, mais la vérité, c’est qu’il s’entendait super bien avec notre père ».
« Un samedi après-midi, j’aidais mes frères et mon père à récolter les haricots verts de son jardin. Il y en avait une quantité impressionnante. Il faisait chaud et j’étais donc habillée léger, short et tee-shirt. Il m’a fallu un long moment avant de m’apercevoir que Romain était en train de me mater outrageusement. Penchée en avant, il tentait de voir ma poitrine, déjà conséquente à cette époque ».
« Si je lui tournais le dos, c’était mes fesses qu’il admirait sans vergogne. Sous l’œil amusé de notre père qui le laissait faire. Il réussit plusieurs fois à poser ses mains baladeuses sur mon cul. Je le repoussais à chaque fois mais il revenait à la charge, inexorablement. Entêté, comme son père. Puis il sembla se calmer, ne parvenant jamais à peloter ma poitrine ».
« Romuald était jeune encore, et bien loin d’imaginer ce qui se passait sous ses yeux. Je le croyais calmé, j’emmenais donc une partie de la récolte vers la maison. Romain m’avait suivie sans bruit et, une fois seuls dans la maison, il put enfin attraper mes seins et les malaxer à sa guise en soulevant mon tee-shirt. Je ne pouvais lâcher le panier et il en profitait ».
« Je peux bien te l’avouer aujourd’hui, cela commençait franchement à me faire réagir, mais pas comme je le souhaitais à ce moment précis. C’est pour cela que je me suis débattue farouchement quand il a commencé à baisser mon short. Il ne devait surtout pas se rendre compte à quel point ses caresses, non désirées, avaient réussi à émouvoir mon corps ».
« Mon tee-shirt relevé bien haut et le short à mi-cuisses, il croyait avoir gagné. Je lui fis face, à sa grande surprise, et lui envoyait une gifle retentissante. Je n’avais nullement pensé aux conséquences. Il s’apprêtait à me frapper à son tour quand notre père intervint. Il le renvoya dehors, à la récolte, tandis qu’il m’emmena dans le salon et m’offrit un verre de jus de fruits rafraîchissant « .
« J’avais bien évidemment remonté mon short pour marcher jusqu’au canapé, mais j’avais oublié de remettre mon tee-shirt. J’allais remercier mon père pour son intervention quand je vis son regard se porter sur mes seins, presque sortis des bonnets du soutif. Ce regard indéfinissable et perçant me donna encore plus chaud que les caresses de mon grand frère ».
« Troublée, je l’étais au plus haut point. Plutôt que de baisser mon tee-shirt, je me jetais dans ses bras en sanglotant, n’osant imaginer ce qui serait arrivé si papa n’était pas intervenu. Il me rassura, me réconforta comme seul un papa peut le faire. Ses gestes de tendresse avaient sur moi un effet apaisant. J’étais bien dans ses bras, oubliant complètement ma tenue ».