Le loueur nous guida jusqu’à la voiture, une C1 Citroën, fit le tour avec nous et nous laissa partir. Dès la sortie de la ville, je relevais la robe très haut sur les cuisses pour accéder à sa chatte quand je le voulais. Elle me laissa faire, la tête dans les nuages et collée à la vitre. Juste une halte sur une aire de stationnement à mi-parcours et vers 10 h 30, nous arrivions à Angers. J’avais mon permis depuis quelques années déjà mais je ne conduisais pas très souvent. Mais ça ne s’oublie pas, pas trop !
Une fois garée en bas de chez Jenny, je l’appelais pour lui dire que nous étions en bas. Elle descendit nous ouvrir la porte et nous fit entrer dans son appartement. Là, je la pris dans mes bras et elle éclata en sanglots. Je n’étais moi-même pas loin des larmes mais je me devais de rester forte pour Jenny et pour Amélie aussi. Elle se joignit à nous et pleura aussi, comme Jenny, son amie disparue. Quand elles se furent calmées, je les présentais l’une à l’autre. Jenny la prit dans ses bras et elles se remirent à sangloter.
Il était 11 heures quand on arriva chez Mariya. Jenny avait pris rendez-vous pour vendredi main avec les « Compagnons d’Emmaüs » pour vider l’appartement de ses meubles et de tout le reste. Elle s’était occupée également des abonnements Internet, eau et électricité pour les couper le 30 Août. Pareil pour l’état des lieux pour le 29 Août vers 16 heures. Mariya avait acheté récemment une télé HD grand écran et Jenny me demanda si elle pouvait la récupérer, en remplacement de la sienne. J’acceptais évidemment, personne ne lui en voudrait pour cela et surtout pas moi. Dans la salle de bain, nous avons récupérer tous les produits de beauté, on trierait plus tard. Restait la machine à laver, plus récente que celle de Jenny, encore sous garantie. Je l’encourageais à la prendre aussi, en récompense de tout ce qu’elle faisait pour la famille de son amie qui devait bien s’en foutre, de tout ce matériel.
Il nous restait à faire le tri des vêtements, Mariya était une très jolie femme et très coquette. Moi, j’avais déjà gardé son étole et ne voulait rien d’autre. Jenny ne prit qu’un long manteau d’hiver, seul chose qui soit à peu près à sa taille. Pour le reste, on verrait tantôt. J’allais toquer à la porte voisine, sur le palier, pour demander de l’aide pour descendre la machine à laver. Un jeune homme offrit de nous aider. Il fut triste d’apprendre le décès de sa voisine, qu’il avait toujours vu souriante. De retour chez Jenny, elle alla demander le diable à son propriétaire pour monter la machine à laver. Amélie l’aidait tandis que je montais la télé. Pour nous remercier, Jenny nous proposa d’aller manger à la brasserie, près de chez elle. Déjeuner en terrasse, Place du Ralliement, vraiment pas mal. Une place très vivante à Angers.
Retour chez Mariya, dans la chambre qui a vécu nos ébats. Amélie et elle étaient de la même corpulence et je me doutais que de nombreux vêtements lui iraient à ravir. Je lui ordonnais d’ôter sa robe. Elle hésita un peu mais s’exécuta, puis le soutif. Jenny était en admiration devant sa poitrine. Je l’invitais donc à jouer le rôle de la vendeuse en lingerie et de lui passer elle-même les sous-vêtements qui lui plairaient. Je vis ses yeux briller d’excitation et elle se leva d’un bond. Elle commença par un soutif à balconnets, blanc, presque transparent. Elle prit plaisir à glisser sa main dans les bonnets pour bien mettre la poitrine en place. Puis elle lui passa la culotte assortie, genre tanga, presque transparente aussi. Jenny se recula pour admirer le spectacle. Il faisait frais dans la chambre mais elle semblait avoir chaud, Jenny. Je passais ma main sous sa robe pour découvrir qu’elle mouillait déjà, la coquine.
–« Enlève ta robe toi aussi, Jenny, tu seras plus à l’aise. »
Elle ne refusait pas la caresse de mes doigts entre ses cuisses, tourna simplement la tête vers moi. Le ton que j’avais employé ne supportait pas de refus et elle ôta sa robe d’un geste gracieux.
–« Bien, maintenant continuons les essayages. Je crois que pour cet ensemble, nous le garderons. Au suivant, Mademoiselle Jenny. »
Le « Mademoiselle Jenny » lui fit énormément plaisir et elle changea soutif et culotte pour un autre ensemble. Je savais à l’avance que nous prendrions tout, mais assister à l’essayage, un vrai délice. Surtout avec Amélie qui se laissait faire comme une poupée. Jenny en profitait pour la caresser de temps en temps, pensant que je ne m’en rendais pas compte. Amélie garda sur elle le dernier ensemble, rose pâle, pour essayer tous les autres vêtements. Maillots et tops, jupes longues et minijupes, juste un petit bémol pour les leggings, mais sinon, tout lui allait à ravir. Quand Jenny se baissa pour ôter le shorty de sport, je baissais sa culotte en même temps. Elle posa un genou au sol et je défis son soutif.
–« Déshabille-la entièrement maintenant »
Elle obéit sans sourciller.
–« J’ai bien vu que depuis tout à l’heure, tu admires sa poitrine. Eh bien, embrasse-la maintenant, caresse-la. Elle est toute à toi »
Pas besoin de lui répéter cet ordre. Trop longtemps qu’elle attendait ce moment. Elle aspira avec bonheur les tétons qui ne demandaient que ça pour durcir encore un peu. J’ouvrais le tiroir de la table de nuit, tout proche de moi, où je savais y trouver les godes et autres jouets de ma douce Mariya. Je pris le vibro, le mis en marche et le glissais entre les cuisses de Jenny. Elle les écarta pour laisser la place et profiter pleinement de cette douce caresse. J’en sortis un second que je promenais sur la fente humide d’Amélie. Elle ne tarda pas à se tordre de plaisir, subissant les caresses de part et d’autre. Je l’attirais sur le lit et l’allongeais, Jenny toujours accrochée à sa poitrine. Je continuais à exciter son clito avec le gode tandis que l’autre pénétrait doucement la fente de Jenny. Ses lèvres s’ouvrirent comme une fleur pour engloutir le gode. Je manœuvrais si bien qu’elles jouirent ensemble, au même moment. Jenny descendit récolter le jus sortant de mon amie. Je la plaçais en 69 pour le double plaisir, sucer et être sucée en même temps.