Mais, puisque tout le monde le faisait, et que cela faisait tellement plaisir à son partenaire, elle acceptait sans trop rechigner. Océane continuait à caresser la tête d’une main, l’autre étant partie à la rencontre de la poitrine voluptueuse. Elle trouva un téton gorgé de plaisir, prêt à exploser. Elle aurait aimé pouvoir atteindre l’entrejambe de sa soumise pour vérifier son état d’excitation, qui ne faisait aucun doute. Océane avait plus d’une idée en tête. Après ce long moment de tendresse, elle voulut le faire durer un peu plus. Linda se redressa et Océane se leva du lit. Sans lui laisser la moindre possibilité de refuser, elle défit la jupe qui tomba au sol. Le reste des vêtements rejoignit le petit tas.
Elle entraina immédiatement sa tante dans la salle de bain privative, lui demandant de la laver entièrement, comme lorsqu’elle était plus petite. Elle regrettait cette période de sa jeune vie où sa mère, ou bien sa tante, prenait le temps de la laver. Elle ôta elle-même sa nuisette pour apparaître entièrement nue devant sa tante. Toutes les deux sous la douche, Linda prenait soin de sa nièce tandis qu’elle caressait ses hanches, ses fesses, mais principalement sa merveilleuse poitrine. Elle prit même un des tétons entre ses lèvres et recommença à la téter. Linda se laissait faire, attendrie par la jeune fille vorace.
Après s’être bien lavées, et séchées, Océane ordonna à sa tante de la rhabiller, avec les vêtements et sous-vêtements qu’elle avait préparés. C’est donc toujours entièrement nue que Linda dut exécuter ce nouvel ordre. Pour ne pas être en reste, c’est Océane qui rhabilla sa tante. Commençant par le soutien-gorge, puis son chemisier. Le bas du corps toujours nu, exposé à la vue de la jeune fille. Puis, enfin, Océane décida de lui remettre sa jupe. Mais pas la culotte. Linda redoutait de devoir rester toute la journée sans culotte.
La jeune fille s’agenouilla alors devant sa tante, glissa insidieusement ses mains sous la jupe, caressant les cuisses fuselées, atteignant les fesses. Les deux petites mains se rejoignirent devant, sur son pubis, caressant la touffe de poils, cherchant le clito. Linda allait de nouveau succomber aux plaisirs saphiques lorsque Océane stoppa ses caresses brutalement. Elle fit immédiatement une remarque qui entraina un frisson chez la soumise.
« Il va falloir débroussailler tout ça ». Dit-elle en caressant de nouveau la touffe de poils pubiens.
Linda s’imagina alors aussi lisse que sa jeune Maîtresse, se remémora une remarque de Diego qui, lui aussi, espérait la voir aussi nue que possible. En obéissant aux ordres de sa Maîtresse, elle comblait un vœu de son amant. Elle imagina devoir se mettre entièrement nue devant une parfaite inconnue, une esthéticienne, et cela aussi la fit frissonner de plaisir. Océane s’apprêtait à se relever quand elle sembla se rappeler qu’elle avait oublié quelque chose. Elle se saisit du dernier vêtement restant au sol et l’enfila sur les jambes, la positionnant parfaitement sur les fesses de l’intéressée.
Elles descendirent ensemble vers la cuisine où attendait le petit déjeuner de la princesse. Servilement, Linda restait toute proche de sa jeune Maîtresse, prête à répondre à ses moindres besoins. Prête avant tout à se laisser de nouveau caresser. Mais ça, jamais elle n’aurait pu l’avouer. Elle tentait vainement de se convaincre que ce qu’elle avait subi, c’était bien contre son gré, contre sa volonté. Mais elle ressentait désormais ce manque chaque fois qu’elle s’éloignait de la jeune fille.
Il n’y eut aucune autre caresse de toute la journée. Elles étaient allées ensemble à la messe du dimanche, dans l’église du village. Linda sortit après tout le monde, elle avait ressenti le besoin de se prosterner devant la statue de la Vierge Marie, lui demandant protection. Elle retrouva Océane sur le parvis de l’église, discutant avec le prêtre qui venait d’officier. Voir cette petite Sainte Nitouche devant cet homme d’église entraina une foule de pensées bizarres dans son esprit.
Elle voyait, elle croyait voir la jeune fille agenouillée devant le prêtre, en train de le sucer avidement. Elle écarta rapidement cette image de ses pensées mais malencontreusement, elle posa ses yeux directement vers l’entrecuisse du saint homme. Elle y vit une bosse plus que suspecte, comme s’il bandait devant cette jeune fille innocente, en apparence. Elle prit rapidement la main de sa jeune nièce avant de s’éloigner. Elle ne put s’empêcher de vérifier une dernière fois le devant de la soutane. Cette journée se passa merveilleusement bien entre les deux. Complicité retrouvée.
Ce n’est que le soir, au moment d’aller se coucher, qu’Océane reprit son rôle de Maîtresse. Elle quitta à regret les bras de sa tante, lui demandant de venir lui donner un dernier baiser avant d’aller se coucher, elle aussi. Linda avait bien ressenti que tout cela était prémédité, mais elle ne pouvait déjà plus refouler les envies qui se bousculaient elle. Elle ne tarda à fermer la télé, les volets du rez-de-chaussée avant de monter rejoindre la jeune fille dans sa chambre. Océane était simplement assise sur son lit, jambes légèrement écartées. Sa position ne laissait aucun doute sur ce qu’elle attendait de la part de sa tante. Elle se positionna donc de nouveau entre les cuisses de la jeune fille et retrouva immédiatement le chemin vers la jeune fente.
Océane s’allongea sur son lit, remonta ses jambes pour les passer dans le dos de sa tante. Elle était ainsi totalement ouverte et réceptive. Mais, cette fois-ci, la jeune fille en voulait plus beaucoup plus. Elle attira sa tante au-dessus d’elle, souleva la jupe et baissa la culotte. Elle se retrouva face à cette touffe de poils épaisse, noire et ténébreuse qui cachait encore la grotte secrète. Elle prit les lèvres vaginales entre ses petites lèvres et tira tendrement dessus, faisant s’ouvrir la corolle rose pâle, brillante de sécrétions. Elle tira sa langue pour récolter tout ce nectar produit, n’en perdant pas une goutte. Elle était désormais accrochée à sa tante comme un mollusque à son rocher.
Rien ni personne ne pouvant les séparer. Et plus elle aspirait, plus Linda secrétait son jus d’amour, comme une abeille qui secrétait son miel. Ce fut Linda qui explosa la première, suivie de très près par la jeune fille.