Weekend en famille (06/10)

J’ignorais alors si elle avait déjà commencé seule à se doigter. Céliane s’accrocha à mes épaules pour ne pas tomber. Elle prit mon sein à pleine bouche pour étouffer son cri de jouissance. À voir son regard ébloui, c’était certainement sa première fois. Une fois séchées et rhabillées, elle alla rejoindre les petits dans le salon tandis que je préparais le repas du soir. Après le diner, je leur proposais de regarder un film, en VOD. Ils choisirent le film « Beethoven » et je m’installais avec eux sur le canapé. Céliane à ma droite, Élisa et Dylan de l’autre côté.

Rapidement, Céliane posa sa tête contre mon bras, avant de glisser doucement sur ma poitrine qui lui faisait un coussin. Élisa non plus ne put rester attentive très longtemps, c’est un film qu’elle avait déjà vu, comme tous d’ailleurs. Elle leva ses petits yeux vers moi et me demanda.

« Dis-moi, tata, tu peux m’expliquer pourquoi les garçons et les filles sont différents ».

Sans parler de sexe, elle évoquait ce qu’elle avait vu dans la salle de bain.

« Expliquer n’est pas facile. La nature est ainsi faite, il faut un male et une femelle pour que la vie continue. Un homme et une femme pour donner naissance à un bébé, pareil pour tes animaux, et les fleurs ».

Tous écoutaient désormais mes explications. Le film passait au second plan. C’est Dylan qui me sauva la mise. J’étais un peu coincée dans mes explications un peu trop scientifiques. Chez mes parents, il y a un chien, il se nomme Toby. Et par périodes, il est très excité et aime se frotter contre les jambes de ceux à sa portée. Et Dylan imita parfaitement Toby qui se frottait contre quelqu’un.

Cela fit tellement rire Élisa qu’elle en glissa du canapé. Le haut du corps sur le coussin, elle exposait ses petites fesses devant son cousin. Toujours dans sa démonstration, il s’approcha d’elle et se frotta contre ses fesses. Réellement. Et évidemment, ce mouvement ne resta pas sans effet sur sa queue qui prit un peu d’ampleur. « J’ai vu Toby faire comme ça avec la chienne de la voisine, mais il faisait aussi avec d’autres chiens. Il ne sait pas la différence entre chienne et chien ? »

Je lui expliquais qu’il n’avait pas encore connu de rapport avec une femelle et que, dans ce cas-là, il se contentait de ce qu’il trouvait. Ce sont uniquement ses instincts d’animal qui le poussent à ses actions. La chemise de nuit de la petite était relevée sur son dos et je voyais parfaitement la queue qui allait et venait dans son sillon fessier, sa culotte étant rentrée entre les deux globes. Céliane également était très intéressée par ce spectacle. §

Les deux plus jeunes étaient vraiment fatigués de la journée passée et demandèrent à aller se coucher, côte à côte sur le matelas deux places. Céliane me demanda donc si elle pouvait dormir avec moi, vu que Dylan squattait sa place. J’acceptais, évidemment, et je me déshabillais entièrement avant de me mettre au lit, sous son regard intéressé. Nous étions maintenant toutes les deux nues, allongées côte à côte dans mon lit, dans l’obscurité la plus totale. C’est sans doute cette proximité, ce noir absolu qui l’incita à me poser des questions précises sur les rapports hommes-femmes. Je comprenais son questionnement et je lui répondis la Nature avait prévu un mâle et une femelle pour chaque être vivant sur terre, même s’il y a quelques exceptions. Mais seuls les humains, les hommes et les femmes, pouvaient choisir de ne pas suivre cette voie toute tracée. Certains hommes préféraient faire l’amour avec d’autres hommes. Idem pour les femmes qui choisissaient d’autres femmes exclusivement pour partenaire de vie.

Certaines femmes, dont je faisais partie, aimaient à la fois les deux. Je lui avais dit tout ça tout en continuant à caresser sa poitrine naissante. J’adorais sentir ses mamelons durcis sous mes doigts. C’est elle-même qui se tourna vers moi et posa pour la première fois ses lèvres sur les miennes. Nous nous sommes embrassées tendrement puis j’attirais sa poitrine vers ma bouche. Elle me laissa téter ses jolis seins, pendant que mes mains caressaient ses petites fesses. Comme sa maman que j’avais pu caresser le week-end précédent, elle semblait très sensible de l’anus. J’en profitais alors pleinement pour lui faire découvrir d’autres plaisirs. Je la remontais vers le haut du lit pour enfin prendre sa petite vulve dans ma bouche. Elle faillit hurler de plaisir tant elle adorait ce que je lui faisais.

Elle s’allongea près de moi pour retrouver ses esprits mais continua à me caresser, la poitrine d’abord, mon ventre ensuite et elle se dirigea vers mes cuisses. Elle descendit sa bouche vers mes lèvres intimes pour reproduire sur moi le plaisir que je venais de lui donner. Et elle se débrouillait ma foi fort bien, pour une débutante.

J’attirais de nouveau sa chatte au-dessus de moi et, en 69, je lui donnais de nouveau énormément de plaisir, qu’elle me rendit également. Épuisées mais heureuses, elle se lova contre moi et finit par s’endormir. Moi, je mis plus de temps mais je tombais à mon tour dans les bras de Morphée.

Je fus réveillée en pleine nuit par une Céliane qui avait eu une grosse envie de me téter à nouveau. Sentant que j’étais consciente, elle replongea entre mes cuisses. Retour en position 69 pour une nouvelle vague de plaisir pour elle et moi. Nous ne mîmes pas longtemps à nous endormir de nouveau, dans les bras l’une de l’autre.

Au petit matin, c’est moi qui fus la première réveillée. J’en profitais pour la regarder dormir, admirer son corps de jeune fille, presque femme. Je n’osais pas la toucher, pas encore. Dans son demi-sommeil, elle dut se sentir épiée et se réveilla doucement, en s’étirant comme une petite chatte. L’animal, lol.

Déjà, elle me souriait, elle roula sur elle-même pour se retrouver allongée sur moi, sa petite chatte collée à la mienne. Elle, jambes serrées, et moi largement ouvertes. Je plaquais mes jambes derrière les siennes pour bien me coller à elle. Douce sensation de la sentir vibrer contre moi.

Lentement, très lentement, elle commença à bouger. D’avant en arrière. Presqu’imperceptiblement, elle se branlait la chatte contre la mienne. Son clito contre le mien. Son mouvement était terriblement envoutant. Son regard se chargeait de plaisir, tout comme le mien, je suppose. Très vite, nos secrétions se mélangèrent dans un maelstrom d’odeurs épicées. On se plaça de nouveau en position 69 pour goûter au plaisir de l’autre. J’insistais plus précisément sur son petit trou et ma langue finit par pénétrer ce petit conduit.

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