Océane observait de très près la bouche de Céline qui allait et venait sur le sexe bien raide. Sa religion, son éducation toute entière, lui interdisait de faire ce qu’elle imposait à sa soumise obéissante. Elle était si proche qu’elle pouvait aisément s’imaginer que c’était sa propre bouche qui suçait et léchait cette queue monstrueuse. Et la main de JR, sous sa jupe, jamais elle n’aurait cru qu’il oserait. Elle était véritablement comblée à cet instant précis.
C’était une expérience inimaginable il y a seulement quelques jours pour un JR qui avait toujours été mis à l’écart. Il ne put résister bien longtemps et Céline sentit heureusement que le déclenchement final était tout proche. Elle se dégagea juste à temps pour éviter la première giclée de sperme. Ce qui ne fut pas le cas d’Océane qui en reçut une petite quantité sur le nez.
C’est JR, désolé de cette erreur, qui vint de lui-même lécher le nez d’Océane pour bien la nettoyer. Elle lui en fut reconnaissante, mais lui demanda, comme un service, de garder jalousement la porte de cette salle, tandis qu’elle se remettait de ses émotions avec Céline. Il était très fier de la mission qu’elle lui avait confiée, et il s’en chargea admirablement.
Pendant qu’il gardait la porte, Océane avait attiré Céline entre ses cuisses, très heureuse de lécher enfin son amie et Maîtresse. Pour ne pas être en reste, Océane lui offrit également un merveilleux cunnilingus. Un long baiser pour finir, ôtant toute trace suspecte et Céline put regagner son vestiaire pour prendre une douche bien méritée. JR agissait désormais comme un véritable garde du corps auprès de ses deux amies, toujours prêt à les défendre, à les protéger, tout en restant discret.
Océane rentra chez elle et se terra immédiatement dans sa chambre. Après avoir éteint la caméra IP, pour ne pas se filmer elle-même, elle alluma son ordinateur portable. Elle eut aussitôt une notification qu’une nouvelle vidéo était en ligne sur le site dédié. Ce qui signifiait qu’une personne était bien entrée dans sa chambre. Elle retourna fermer la porte de sa chambre à clé pour être tranquille. Elle passa un casque audio et lança la vidéo. Une terrible angoisse l’envahit dès les premières images.
C’est un homme, un inconnu, qui venait de pénétrer dans sa chambre. Sans se cacher, sans craindre d’être surpris, il se dirigea directement vers la commode où ses sous-vêtements étaient rangés. Il savait exactement quel tiroir ouvrir pour trouver ses petites culottes et ses soutien-gorge. Il prit une de ses culottes qu’il porta aussitôt à son visage.
Il était de dos, elle ne pouvait pas voir son regard pervers encore mais une chose était certaine, elle ne le connaissait pas et il n’avait rien à faire dans sa chambre, le nez dans ses culottes. Elle pensa à ce moment que, s’il pouvait entrer si facilement dans la maison, puis dans sa chambre, rien ne lui interdisait de revenir une nuit, pendant qu’elle dormirait. Un frisson la parcourut de haut en bas. Pour autant, elle n’aurait pas pu dire si c’était d’horreur, ou d’envie. Envie de savoir ce qu’il aurait fait. Envie de vivre une véritable expérience d’ordre sexuelle, avec un homme.
Elle le voyait farfouiller parmi ses sous-vêtements, une culotte sur son nez, une autre dans sa main droite. Cette même main qui se dirigea vers sa braguette. Il venait d’ouvrir son pantalon, la culotte cachait le sexe qu’il avait sorti. Il était en train de se branler en imaginant, supposait-elle, que c’était les mains innocentes de sa jeune victime. Elle-même. Elle le sentit prêt à éjaculer dans son vêtement lorsqu’il tourna la tête vers elle.
Par réflexe, elle se recula sur sa chaise. Elle comprit rapidement qu’il regardait vers la porte de sa chambre. Une autre surprise de taille attendait la jeune fille. Ce fut l’entrée dans sa chambre de sa tante, Linda, celle qui s’occupait de la maison en l’absence de ses parents. Celle qui était sensée la surveiller, la protéger, c’était elle qui la mettait en danger en laissant s’introduire un homme dans la maison, puis dans sa chambre. Elle s’approcha de l’homme, s’agenouilla face à lui et prit immédiatement sa queue dans sa bouche, après avoir écarté ses mains.
C’était sûr, elle le connaissait, et depuis bien longtemps, évidemment. Que sa tante ait un amoureux, un amant, c’était normal. Elle était une femme avant tout. Qu’elle le reçoive dans la maison, rien de plus normal puisque c’est là qu’elle habitait. Mais qu’il entre dans la chambre de la jeune fille, qu’il respire ses sous-vêtements, c’était un peu trop. Et Linda n’en semblait pas offusquée, puisque ce n’était certainement pas la première fois.
Il est soudain parti dans un délire. Il répétait des mots sans suite. Puis, plus clairement, il cria :
« Je la veux. Je la veux. Tu as promis que je l’aurais, un jour »
Linda leva alors les yeux vers lui et confirma.
« Oui, je t’ai promis et je tiens toujours mes promesses. Tu sais quoi ?
Je l’ai surprise, dans sa chambre, en train de se faire lécher par une copine de son âge. Je suis sûre que tu aurais apprécié le spectacle ».
Il semblait très bien imaginer la scène et il releva sa maîtresse, souleva sa longue jupe avant de la retourner, face au lit. Il la pénétra violemment, sans aucune préparation. Elle semblait être habituée à ce genre de traitement. Il la tenait fermement au niveau des hanches et il la baisait sauvagement. Et elle avait l’air de vraiment apprécier cette situation. Océane ne comprit pas tout de suite pourquoi il se mit à ralentir.
Il semblait chercher son chemin, qui pourtant lui était grand ouvert. Linda commença à se débattre. Elle lui cria quelque chose comme :
« NON, je ne veux pas, comme ça ».
Il quitta la pièce, furieux, la laissant en plan, toujours la jupe relevée sur ses fesses. Elle resta bien une minute sans bouger, allongée sur le lit de sa nièce. Puis, elle se releva à regret, remis de l’ordre sur le lit et dans la chambre. Elle emporta avec elle les sous-vêtements que son amant avait utilisés pour les laver de nouveau. Elle lui avait dit NON une fois de plus et il avait quitté la maison.