Elle commençait à se rendre compte à quel point elle était crédule, et combien sa mère lui avait menti. Elle se laissa emporter quand Jenny souleva sa jupe entièrement, sa bouche remplaçant ses doigts. La culotte de coton blanc était trempée. Tellement qu’on voyait toute la fente au travers du tissu. Jenny la tira vers le bas et la jeune fille se souleva pour l’aider.
Évangeline eut un flash extraordinaire lorsque la bouche gourmande vint embrasser sa chatte en feu. Elle sentait quelque chose monter en elle, quelque chose d’énorme, de monstrueux et pourtant elle l’attendait, le désirait. Déjà, elle devinait que sa vie de petite fille modèle était bien loin derrière elle. Qu’elle était changée à tout jamais. Pour son plus grand plaisir. Elle, si discrète habituellement, laissa éclater son bonheur sans retenue. Même sa mère se tourna vers elle et lui sourit tendrement, comme pour lui dire :
« Te voilà femme, maintenant ».
Mais elle retourna sa tête vers Madame qui tentait de lui enfoncer un gode, plus modeste, dans le cul. Elle voulait dire non, empêcher cela. Mais pas un mot, pas un geste. Juste dans l’attente du plaisir. Évangeline, voyant sa mère se faire sodomiser, s’approcha, curieuse. Madame profita aussitôt de l’occasion. Elle ordonna à la mère de se mettre à quatre pattes, la tête entre ses cuisses, et à la fille, de continuer à goder sa mère. Sans aucun scrupule, la fille obéit tout de suite. Elle maintenait le monstre bien au fond de la chatte de sa mère et faisait aller et venir l’autre dans son cul. Sans aucun ménagement.
Cette femme qui lui avait menti depuis si longtemps, qui l’avait maintenue dans l’ignorance. Qui lui avait volé sa jeunesse, en somme. Cette femme devait payer. En jouissant violemment sous les caresses de sa fille. Madame geignait sous la langue de son amie. Elle qui rêvait de la soumettre depuis si longtemps, la rabaisser plus bas que terre. La fière bourgeoise, à genou entre ses cuisses. Et encore, elle filmait la scène, la fille baisant la mère pendant qu’elle lui bouffait la chatte. Cette image, et la langue fouilleuse, l’amenèrent à un plaisir extrême.
Et la petite, déchaînée, qui continuait à goder sa mère. Elle avait pris les deux godes en main, maintenant, et les faisait aller et venir, alternativement. Et la maman, obscène, qui criait :
« Baise moi, Éva, baise-moi bien à fond ».
Et la petite s’en donnait à cœur joie. Jenny, devant ce tableau mémorable, s’approcha derrière la jeune fille et lui enfila un doigt dans le cul, après l’avoir bien humidifié de sa salive. Nouveau plaisir, nouvelle surprise pour la gamine qui n’avait jamais imaginé pouvoir retirer un tel plaisir d’un endroit si peu recommandable. Madame n’en avait pas fini avec cette bouche hautaine qui l’avait bien souvent méprisée. Elle l’attrapa par les oreilles, plaqua la bouche ouverte contre sa chatte.
Pour lui pisser dans la bouche.
Après un bref moment de recul, bien vite réprimé, elle dut boire toute la pisse de Madame. Et la nettoyer ensuite. La maman hurla une nouvelle fois son plaisir avant de s’effondrer de bonheur. Jenny lui ôta les godes qu’elle nettoya entièrement avec sa langue avant d’aller recueillir à la source, la cyprine de la mère. Évangeline, qui avait pris place sur le canapé près de Madame, eut droit au même traitement. Nettoyage de tous les orifices. Presque tous. Quand elle leva les yeux, Madame prenait enfin la bouche de la jeune fille, tandis que ses mains lui caressaient la poitrine.
Avec la complicité de Jenny, Madame venait d’acquérir deux nouvelles soumises. Et les visites continuaient. Des régulières, clientes uniquement, d’autres qui profitaient de son corps. Et Madame. Et Simone. La patronne n’a jamais eu un geste déplacé envers sa vendeuse, dans la boutique ou en dehors. Sauf une fois. Un soir, après la fermeture. Elles n’étaient que toutes les deux. Dans le bureau. Simone fit signe à Jenny d’approcher alors qu’elle écartait les cuisses. Inutile de demander. Jenny se mit à genou et fit jouir sa patronne, plusieurs fois.
Quelques jours plus tard, un rendez-vous avait été pris dans une commune voisine. Pour Simone, la première occasion de l’emmener en rendez-vous et de constater comment elle présentait la gamme de produits. Elle n’avait eu que des retours positifs et la progression des rendez-vous en était une preuve supplémentaire. Le bouche-à-oreille fonctionnait très bien. Jenny monta près d’elle et, bien sûr, sa blouse s’ouvrit pour découvrir ses bas blancs. Elle voulut la rabattre mais Simone posa sa main sur son genou gauche, et l’écarta doucement. Jenny s’abandonna totalement. Sa chatte rasée était bien visible. Et humide déjà. Un scooter, qui s’arrêta contre la voiture, en fut tout retourné. Il chuta tout seul au moment de redémarrer.
Dès qu’elle le pouvait, Simone replongeait sa main vers ce trésor. Sur la grande route, plus de facilité. Elle la branlait carrément et Jenny était aux anges. Arrivées à destination, Simone sonna chez la cliente, se présenta, elle et sa vendeuse. Puis, elle s’effaça pour juger du travail de son employée. Très bonne prestation pour la vendeuse. Mais Simone remarqua plusieurs fois, le regard de la cliente se perdre dans le décolleté profond. Puis vinrent les tests de produits sur la peau même. Les mains, les avant-bras, le visage. Chaque fois, la cliente frissonnait. À la fin de la présentation, elle proposa un café, que Simone et Jenny acceptèrent. Jenny demanda à se rendre à la salle de bains pour se laver les mains, se rafraîchir. Simone resta seule un instant avec la femme.
« Si vous voulez ouvrir sa blouse pour découvrir ce qu’elle porte dessous, ou pas, vous pouvez le faire. Elle en sera très heureuse ».
La cliente s’empourpra. Et baissa les yeux. Elle pensait avoir été discrète. Mais l’idée lui plaisait terriblement. Quand Jenny revint, les deux femmes étaient assises dans la salle à manger, l’une face à l’autre. Jenny resta debout pour remplir le bon de commande de la cliente. Penchée en avant, Jenny lui offrait ses tétons à admirer.
Un mouvement ? Un geste ? Le bouton du haut de sa blouse se défit comme par magie. La cliente sentit le regard de Simone qui l’encourageait. Et elle osa. Sa main parcourut les quelques centimètres qui la séparait des deux globes délicieux. Jenny ne bougeait plus, attendant la suite.
« Enlève-lui sa blouse, tu seras plus à l’aise ». Dit Simone.