Nous avions laissées Wendy et sa mère Fabiola dans la chambre. Wendy avait baissé sa chemise de nuit pour montrer sa poitrine à sa mère qui le lui demandait.
« Si j’osais. J’aimerais vraiment les toucher, ma chérie ».
« Pour respecter l’attitude que je dois adopter désormais, je dois te demander de me montrer ta poitrine, et de me laisser la caresser. Ensuite seulement, tu pourras me toucher à ton tour ».
« Je vois, ma chérie, que tu as très bien compris le « donnant-donnant ». Et j’accepte tes caresses. Voilà. Admire les seins que tu as tété, quand tu étais bébé « .
Fabiola avait ôté son haut et son soutif et se laissa caresser par les petites mains de sa fille. Et ensuite, elle osa caresser à son tour, les tétons durcis de Wendy.
» Tu as l’air de vraiment apprécier les caresses sur tes seins. Ta culotte doit être trempée, non ? »
Wendy serra un peu plus les cuisses en baissant les yeux. Sentant la gêne de sa fille, elle n’insista pas.
« Lève-toi. Et va prendre ta douche, le temps que je prépare ton petit déj ».
Arrivée à la porte.
» On a une bonne journée de shopping qui nous attend « .
Wendy se prépara rapidement, enfila une jupe et un tee-shirt et descendit rejoindre sa mère à la cuisine. Elle salua son père qui se levait. Fabiola le prévint de ne pas les attendre avant ce soir. Sortie mère-fille oblige.
Le premier magasin, Jennyfer je crois. Elles firent rapidement le tour des rayons, Fabiola trouvant facilement trois tenues à lui faire essayer. Elle attrapait une mini-jupe plissée avant de se diriger vers les cabines d’essayage. Elle entra dans la cabine avec Wendy, qui dut se dévêtir devant sa mère. Juste en sous-vêtements, commencèrent les essayages. Fabiola avait un goût très sûr, et le bon œil pour savoir ce qui irait le mieux pour sa fille.
Elle l’aida à enfiler la mini-jupe. Caresses, effleurements. Wendy fit justement remarquer à sa mère que l’on apercevait son soutif, tellement le décolleté était important.
» Tu as raison. On va corriger ce détail » dit-elle en ressortant.
Elle revint très vite avec deux soutifs, très jolis et vraiment sexys.
« Passe celui-ci. Tant qu’à être vu, autant qu’il soit sexy, non ? »
Wendy découvrit sa poitrine pour mettre le premier soutif, puis le top. C’est vrai que ça changeait tout. Et l’ensemble était vraiment charmant. Elle ôta à nouveau le top pour essayer le second soutif. Cette fois, Fabiola lui défit l’attache et le lui ôta. Elle en profita pour caresser à nouveau les seins de sa fille qui s’abandonna aux caresses incestueuses. Mais c’était tellement bon de succomber à la tentation.
Elles visitèrent tous les magasins de vêtements de cette galerie marchande. À chaque fois, de nouveaux essayages qui cachaient parfaitement les caresses données par la mère sur le corps de sa fille qui acceptait tout. Presque, elle en redemandait. Fabiola l’entraina également chez Etam, le magasin de lingerie.
« Ta nouvelle vie impose de nouveaux sous-vêtements. Tu n’es plus une petite fille, mais une jeune femme. Voyons pour trouver ce qui te conviendrait le mieux ».
Elles mirent plus de temps à choisir, tellement tout était beau. Mais elles se retrouvaient d’accord sur deux modèles que Wendy alla essayer.
Cette fois, c’est Wendy qui fit entrer sa mère avant elle. Elle se déshabilla entièrement, gardant juste sa culotte, rapport à l’hygiène. Encore des caresses, du pelotage déguisé sous forme d’essayage. Au bout de 15 minutes de ce traitement, Wendy était surexcitée. Fabiola lui ôta le second soutif, puis la culotte. Certainement qu’elle remarqua l’odeur que dégageait l’entre jambes de sa fille.
Elle se fit plus caressante encore, empaumant les seins à pleines mains, titillant les tétons. Wendy était aux anges, tout près des étoiles. Lol, c’est le nom de la galerie marchande. La main droite de Fabiola glissa lentement vers la culotte de sa fille qui, pour seul réflexe, écarta les cuisses pour lui faciliter l’accès.
Évidemment, elle était trempée et elle jouit rapidement sous les caresses expertes de sa maman chérie. C’était leur première fois, toutes les deux, mais pas la dernière.
Encore d’autres magasins jusqu’à la nuit tombée. Les bras chargés de paquets, elles rentrèrent enfin, comblées l’une comme l’autre.
C’est le mercredi suivant que Wendy me raconta sa journée shopping. Et je suis sûre qu’elle n’a pas tout dit.
En revenant de mon jogging, ce jour-là, je n’avais trouvé que mon père qui m’avait expliqué leur absence. D’ailleurs, même si j’avais voulu, je n’aurais pas pu les accompagner. J’avais rendez-vous au centre équestre. Une randonnée prévue de longue date.
Comme prévu, les deux filles arrivèrent ensemble ce mercredi-là et aussitôt se déshabillèrent entièrement devant moi, puis s’approchèrent de moi pour me mettre nue à mon tour. Aucune ambiguïté entre nous, elles étaient là pour ça. Je leur proposais d’aller directement dans la chambre. Je les suivais, une main sur chaque paire de fesses. Elles s’installèrent côte à côte sur le lit et commencèrent à se doigter mutuellement.
Je les interrompais après un moment pour les positionner en ciseau. Chatte contre chatte. Elles comprirent rapidement l’intérêt de cette position et en profitèrent pour aller au bout de leur jouissance, ensemble.
Elles s’allongèrent côte à côte pour se remettre de leur plaisir. Je leur demandais ensuite de se placer en 69. Marielle au-dessus de Wendy. Pas besoin de dessin, là non plus. Elles se mirent à se bouffer l’une l’autre avec un grand plaisir. Moi, j’avais le joli cul de Marielle face à moi qui me faisait très envie. Je commençais à le caresser, surtout l’anus.
Marielle fut surprise sur le coup mais accepta que je continue. Bientôt, c’est ma langue qui remplaça mes doigts pour le plus grand bonheur de la jeune fille. Elle fut la première à jouir, évidemment, suivie de Wendy. Elles se reposèrent un bon moment avant que Marielle ne se rhabille. Elle avait en effet rendez-vous chez son gynécologue, tout près de chez moi. Je restais seule, nue, avec Wendy, sur mon lit.
C’est là qu’elle me raconta sa journée avec sa mère tout en me caressant les tétons. Sa main glissa entre mes cuisses quand elle parla de celle de sa mère, qui l’avait doigtée. En me racontant tout ça, elle semblait n’en éprouver aucune gêne. J’avais d’ailleurs remarqué un changement dans sa tenue et elle paraissait déjà plus sûre d’elle.
Il y eut de nombreux après-midis merveilleux entre les deux jeunes filles et moi. Encore, à l’heure actuelle.
J’avais repris le train-train quotidien, avec Fanny qui passait tous les matins dans mon bureau, et sous mon bureau. L’après-midi aussi, parfois, mais souvent, elle restait à la disposition des vendeurs qui ne manquaient pas de profiter d’elle, et de son corps, pour son plus grand plaisir. Je pense qu’elle devait être nymphomane, ou quelque chose comme ça. Tout le monde en profitait. C’est durant cette semaine que se déroula mon histoire avec les « Rombières ».
Le vendredi suivant, en fin d’après-midi, je reçus un message de Fabiola. Elle était décidée à se reprendre en main et voulait que je sois son coach. Elle souhaitait commencer par un footing, histoire de voir où elle en était physiquement. Je l’appelais pour lui donner rendez-vous chez elle, le lendemain, à 9 heures. Je savais qu’elle n’aimait pas se lever trop tôt et je ne voulais pas la décourager le premier jour. 9 heures, mais en tenue.
A lire c’est très très excitant car c’est de l’imaginaire ! !!
Néanmoins l’inceste est immoral et surtout interdit par la loi…..
Bonjour Xav,
J’ignore si l’inceste est interdit par la loi, je suis loin de connaitre tous les textes.
La morale nous l’interdit, mais ce qui est surtout punissable et interdit par lois, c’est le VIOL.
Forcer une personne à faire ce qu’elle ne souhaite pas est punissable et heureusement.