Jenny (11/27)

Val avait d’autres envies, maintenant. Elle se leva et, toujours équipée du gode, se plaça entre les cuisses de la jeune fille. Le regard un peu apeuré, vu la taille de l’engin, Gladys se laissait aller, désirant se faire pénétrer par son amie. Devenir femme, enfin. Jenny se tourna et prit le gode dans sa bouche, pour bien l’humidifier. Puis, elle le plaça à l’entrée de la grotte. Elle resta toute proche, triturant le clito de la petite pour bien la faire mouiller. Voilà, elle était prête. Val entra le gode de quelques centimètres, tandis que Jenny la doigtait toujours. Val poussa plus fort et l’hymen céda. Val la pénétra à fond, enfin. Seulement quelques va et vient suffirent et Gladys explosa. La force de sa jouissance faillit faire sortir Val de la grotte. Un véritable geyser sortit de ce petit corps.

Gladys était devenue femme, et même une femme fontaine.

Elle en fut toute honteuse, ignorant de quoi il s’agissait. Remises de la surprise provoquée par ce déluge, Val et Jenny éclatèrent de rire. Un rire franc et jovial, entraînant Gladys dans un fou rire nerveux. Jenny lui expliqua qu’elle était très spéciale, comme très peu de femmes. Que c’était un don de la nature et qu’elle ne devait jamais en avoir honte. Val recommença à la pilonner pour l’amener au plaisir suprême, encore une fois. Et Gladys explosa encore, moins fort que la première fois. Mais tout aussi spectaculaire.

Val s’allongea sur le lit, trempée de sueur et de mouille. Gladys, toute entière prise par un feu intérieur qui la dévorait en voulait encore. Elle s’installa sur Val et s’empala sur le gode bien dressé. Elle montait et descendait sur ce vit artificiel, tandis que Val lui triturait les tétons. Jenny, pour ne pas être en reste, s’empara d’un autre gode, plus fin et long, et l’approcha de l’anus de la jeune femme. Nouvelle sensation, nouveaux plaisirs, elle se laissait emporter dans cette danse de l’amour.

Elle jouit une nouvelle fois quand le petit gode la pénétra, fouillant ses entrailles. Toujours autant déchaînée sur le gode, elle explosa en s’écroulant sur le lit, vaincue enfin. Jenny ôta le gode ceinture de Val pour lui offrir un merveilleux cunnilingus. Jenny est une très bonne lécheuse, je l’ai expérimenté personnellement. Elle adore ça et elle le fait si bien qu’on se retrouve transportée en deux ou trois coups de langue. Les filles se câlinèrent encore une bonne heure, tendrement. C’est Jenny qui rhabilla Gladys et, comme avec Soraya, elle garda sa petite culotte.

La semaine suivante fut plus calme pour Jenny. Val passa la voir, un soir, pour la baiser sauvagement. En entrant, elle ordonna à Jenny de lui baisser son string pour l’équiper du gode ceinture. Puis, elle lui demanda de poser ses mains sur la table basse. Elle releva sa robe sur son dos, écarta la culotte et s’engouffra dans sa chatte. Jenny se caressait le clito en même temps et le gode coulissait à merveille dans sa grotte d’amour entièrement inondée de cyprine. Au bout d’un moment, elle ressortit pour viser l’autre trou, frémissant. Doucement, elle pénétra son cul accueillant, profitant de chaque centimètre gagné. Jusqu’à venir se plaquer contre ses fesses. Voilà. Elle était au fond, bien calée au de son cul.

Agrippée à ses hanches, elle commença à la baiser comme l’aurait fait un homme, ressortant presque entièrement pour la reprendre à nouveau. Les premières douleurs passées, Jenny prenait vraiment son pied à être baisée ainsi. Et Val aussi aimait bien la soumettre comme une chienne docile. Elles s’allongèrent l’une contre l’autre et Jenny apprit à sa maîtresse qu’elle serait en congés la semaine suivante. Et que, jusqu’à fin Mai, elle pouvait poser deux après-midis par semaine. Vu avec sa patronne, il lui restait beaucoup de RTT.

Sa semaine de congés coïncidait avec les vacances scolaires. Val, mais aussi Jenny avait envie de revoir Soraya, et Gladys, et toutes celles qui pourraient être intéressées. Val raconta à Jenny que des bruits couraient dans son école, sur une femme qui s’offrait aux bons vouloirs de toute jeune fille qui le désirait. Aucun nom, aucun contact précisément lié à cette rumeur, mais elle prenait de l’ampleur, gagnant d’autres écoles d’Angers, privées ou non.

Cela leur promettait un réservoir inépuisable. Val précisa qu’un surnom lui avait été donné :  » La bonne fée « . Car, bien sûr, c’est bien de Jenny que l’on parlait. Mais Val, et Typhaine, et les autres, toutes avaient intérêt à ce que le secret soit bien gardé. Val fut contrainte d’être présente à un repas familial ce samedi soir, donc elle ne verrait pas Jenny. Par contre, celle-ci reçût un appel de Gladys lui demandant si elle pouvait passer chez elle, après son travail. Jenny accepta avec plaisir, se remémorant les grosses loches de la jeune fille. Devenue femme.

Suivant les indications données, Jenny arriva chez elle un peu avant 19 heures. Gladys la présenta à sa mère comme une universitaire russe, qui n’avait trouvé qu’un travail de vendeuse en France. Mais qu’elle pourrait lui donner des cours d’anglais, de façon à améliorer ses notes. Le prix annoncé par Gladys, 20 euros de l’heure, était exprès très bas pour justifier qu’elle se paierait elle-même ses cours avec son argent de poche.

Sa mère proposa un café, ou un thé. Jenny accepta un thé. Elles discutèrent un moment et, voyant la détermination de sa fille, elle finit par accepter, à la seule condition que ce soit elle qui règle les séances de cours. Gladys se leva pour aller l’embrasser. Elle entraîna Jenny dans sa chambre. Avant qu’elles ne quittent la pièce, sa maman lui rappela qu’elle sortait, ce soir-là, et qu’elle devrait s’occuper de sa petite sœur.

Une fois dans la chambre, Gladys se jeta dans les bras de Jenny, la tête posée sur la poitrine de sa nouvelle maîtresse. Ses mains, doucement, descendirent sur les fesses. Elle les caressa à travers le tissu, relevant la jupe. Jenny avait envie de la laisser faire tout seule, cette fois. La jeune fille était chez elle, en toute confiance. Et sa mère venait de partir. Elle pelotait les fesses à deux mains, maintenant. Sa bouche s’engouffra dans le décolleté pour embrasser la poitrine de Jenny. Pelotant les fesses d’une main, l’autre entreprit de dégrafer le corsage. Jenny le dégagea de ses épaules et il glissa au sol. Le soutif suivit.

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