Jenny (10/27)

Elle se répétait ça en boucle, pendant le trajet de retour, sous sa douche. Et en se préparant. Comme convenu, Val arriva à 20 heures avec Gladys. C’était une jeune fille très jolie, le visage poupin, mais pas mal de kilos en trop. Une poitrine énorme sur un corps de jeune fille, avec un visage d’enfant. Jenny lui fit la bise, ainsi qu’à Val, avant de les aider à retirer manteau et veste. Tous ces mouvements eurent pour effet d’ouvrir le peignoir de la jeune femme, laissant entrevoir ses formes.

Jenny prit la main de Gladys et l’entraîna vers sa chambre, suivie de Val, bien sûr. Là, elle commença à dévêtir la jeune fille. Son pull, un maillot, sa jupe longue, ses chaussures. La culotte à ses pieds, Jenny se releva pour lui ôter son soutif. La lourde poitrine sortit de son carcan, enfin libre. La jeune fille n’avait eu aucun geste de défense ou de pudeur. Elle s’était laissée déshabiller, intimidée par Jenny qui officiait et Val qui les regardait. Val l’avait déjà vue toute nue. Ou presque. Sans être dans la même classe, elles avaient sport ensemble. Et, après le sport, la douche. Commune évidemment. Gladys gardait sa culotte pour la douche, de crainte de montrer son intimité. Pour sa poitrine, elle ne pouvait pas cacher grand-chose mais elle tentait toujours d’en montrer le moins possible.

Par contre, Val avait remarqué qu’elle aimait bien mater les autres filles. Val était entrée dans son jeu, et, un jour où il ne restait presque plus personne, elle se donna en spectacle, tout près de la jeune fille. Pendant un long moment, elle se lavait, se caressait presque, sans remarquer les yeux exorbités de Gladys. Puis, semblant se rendre compte de sa présence, et du regard qu’elle portait entre ses cuisses, elle réagit enfin.

« Mais tu es en train de me mater, là. Petite vicieuse. Tu mériterais que je le dise à tout le monde. Petite gouine ».

 » Oh non, pas ça, surtout pas ça. Ne dis rien, s’il te plait. »

« Je ferais tout ce que tu veux, si tu ne dis rien ». Ajouta-t-elle en chuchotant.

Val réagit aussitôt.

 » Mets tes mains derrière ta tête  »

Elles étaient seules sous la douche et Val put peloter sa grosse poitrine à loisir.

« Viens, je vais te sécher ».

Gladys se laissa entrainer dans le vestiaire, Val la conduisit à sa place, lui prit sa serviette de bain pour la frotter vigoureusement, sauf sur la poitrine qu’elle ménagea. Le dos, les fesses. Elle posa la serviette le temps de descendre la culotte trempée et reprit son essuyage, fesses, jambes. Elle la fit tourner sur elle-même pour essuyer sa fente, son ventre. Puis, elle lui tendit la serviette.

 » À ton tour de m’essuyer « .

Gladys commença timidement à lui essuyer le dos, les jambes. Passant sur les fesses, cela ressemblait plus à des caresses. Val se tourna, lui offrant sa vulve en pleine face. Gladys semblait hypnotisée par le spectacle. Elle finit d’essuyer la poitrine, amoureusement. Elles finirent de s’habiller et, en sortant du gymnase, Val la prévint.

« Samedi soir, je viens te chercher chez toi pour t’emmener chez une amie ».

Gladys murmura un oui timide en baissant la tête. Et maintenant, elle était là, toute nue, devant une Jenny plutôt entreprenante. Elle posa les mains de la jeune fille sur ses épaules, sous le peignoir qui glissa au sol. Elles étaient nues toutes les deux, si belles, si désirables. Val passa enfin à l’action, se plaçant derrière la jeune fille, elle empauma ses gros seins. 100D minimum, elle avait. Val s’amusa à triturer les tétons, les pinçant très fort.

Gladys avait descendu ses mains sur la poitrine de Jenny, qui elle, caressait le ventre de la jeune fille. Les hanches, le pubis. Quand Jenny effleura son clito, la petite faillit tomber dans les vaps. Val la soutenait et la serrait fort contre elle. Jenny s’agenouilla devant ce petit coin de paradis offert à ses envies. Elle l’embrassa, passant sa langue tout du long de la fente, aspirant les lèvres intimes, les suçant. Jenny aspira le clito, gonflé de plaisir et Gladys défaillit véritablement pour la première fois.

Val l’allongea sur le lit, laissant Jenny s’occuper de la petite chatte. Elle passa de l’autre côté du lit pour s’occuper de la poitrine et des tétons de la belle endormie. Elle palpa, embrassa et tritura les seins de Gladys. En relevant la tête, elle aperçut, dans le miroir de l’armoire, le cul de Jenny, penchée en avant sur la chatte. Et le diamant du plug anal qui resplendissait de mille feux. L’envie lui prit de profiter de la situation. Elle enfila le gode ceinture, acheté la veille, et se plaça derrière Jenny. Des deux mains, elle lui écarta les fesses, ôta le plug et posa un tendre baiser sur chaque fesse. S’agenouillant, elle put lécher la raie fessière et l’anus qui vibrait. Elle entra un doigt, puis deux. Les tournant pour élargir l’orifice. Elle se releva et positionna le gode sur la rondelle. Puis força un peu, pénétrant ce cul si accueillant.

Jenny poussa, comme si elle voulait expulser quelque chose, mais inversement, c’est le gode qui la pénétra plus encore. Il était entré à moitié. Val écarta plus encore les fesses et commença des va et vient, lentement. La douleur avait disparu et Jenny ronronnait de plaisir. Val s’accrocha à ses hanches et la baisa à fond. Ça y est. Elle est tout au fond de son cul. Elle peut maintenant aller et venir en elle, la baiser sauvagement. Quelle sensation grandiose pour Val, être femme et pouvoir baiser une femme, comme un mec le ferait.

Le gode ceinture qu’elle avait acheté avait une particularité. Outre le gode de 18 cm qui l’ornait, l’intérieur était équipé d’une proéminence qui pénétrait le vagin de l’utilisatrice, juste assez longue pour lui masser le point G. Légèrement plus haut, une partie plus rugueuse massait le clito pendant l’acte.

Tout en enculant Jenny, Val se donnait aussi beaucoup de plaisir. Si bien que les deux parvinrent à jouir simultanément. Elles s’allongèrent de chaque côté de Gladys. Celle-ci, un peu moins timide désormais, chercha, et trouva les lèvres de Val et l’embrassa à pleine bouche pour la remercier de ce doux moment. Dans son dos, sa main trouva la chatte de Jenny et tenta de la caresser. Sa bouche descendit sur la poitrine de Val et engloba un des tétons.

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