EMMA ET LES ROMBIERES (02/03)

L’orgasme me prit par surprise, puissant et dévastateur. Me laissant presque évanouie. Quand je revins à moi, Marie avait déjà apporté l’ensemble que je devais essayer. La boutique étant fermée, Henriette, l’autre propriétaire qui était derrière la caisse quand je suis arrivée, nous avait rejointes et regardait attentivement la jeune stagiaire qui me mettait nue avant de me revêtir de ce bel ensemble. Je me levais pour faire face à la psyché, devant le regard gourmand des deux femmes.

Henriette se colla derrière moi, entra ses mains douces dans les bonnets pour bien positionner mes petits seins, hypersensibles. Elle fit glisser ses doigts agiles sur mes côtes, mon ventre, le haut de mes cuisses.

N’y tenant plus, à cause de ma passivité, elle se mit accroupie devant moi, baissa la culotte et s’engouffra entre mes cuisses. Marie m’avait bien léchée mais Henriette était véritablement une experte. Sa langue virevoltait partout à la fois, visitant même mon anus, frôlant mes cuisses, mon clito gorgé de plaisir.

Pendant ce temps, Bernadette avait ôté sa robe, aidée par Marie qui la harnachait d’un gode ceinture. Quand elle fut prête, je fus projetée sur le canapé et elle m’enfila d’un coup de reins puissant. Je faillis défaillir de bonheur, tant elle me baisait avec fougue. Un vrai mâle n’aurait pas fait mieux. Mais j’avais l’avantage avec elle de pouvoir goûter à sa poitrine prodigieuse. Je tétais avec un plaisir non dissimulé les tétons offerts à ma bouche.

Allongée sur le tapis, tout près de moi, la petite Marie se faisait bouffer la chatte par une Henriette infatigable. La jeune fille attrapa ma main et je pouvais ressentir le plaisir gronder en elle. Quand elle explosa enfin, ce fut comme un déclic pour ma propre jouissance.

Henriette happa le gode sitôt sorti de ma vulve et le nettoya de fond en comble. Puis, elle se pencha sur moi pour récolter, à la source, les résidus de mon plaisir. Toutes quatre, nous étions comblées.

Henriette me guida à la caisse pour que je règle mon achat, que Marie avait parfaitement emballé. Très peu vêtue, c’est la jeune fille qui me raccompagna à la porte. Bien évidemment, je laissais mes mains trainer sur sa peau douce et angélique. Elle restait souriante, docile à souhait.

Je sortis toute guillerette de cette boutique, promettant de revenir les voir, ne serait-ce que par pur plaisir. En regagnant mon véhicule, je passais devant un petit bar, pratiquement en face de la boutique. Là, je fus abordée par la cliente à qui Bernadette avait demandé de sortir.

« Puis-je vous offrir un rafraîchissement ? »

Étonnée de sa façon de m’aborder, et curieuse un peu, j’acceptais avec joie. Au juste, je me rendis compte à ce moment précis que j’avais réellement soif. Elle appela le serveur et attendit qu’il ramène les consommations avant d’entrer dans le vif du sujet. Elle se présenta :

« Je m’appelle Odile, Odile M. Enchantée de faire votre connaissance ».

« Ravie moi aussi. Je m’appelle Emma Ricci ».

« Nous étions toutes deux dans cette boutique et vous seule avez été invitée dans le salon. Savez-vous pourquoi ? »

« Les très bons vendeurs savent reconnaître une future cliente d’une curieuse. Elles pensent sans doute que jamais vous n’achèteriez chez elles ».

Elle sembla attristée de ma réponse mais ne s’en défendit pas. Sans doute avais-je vu juste? Elle tenta une autre approche.

 » Si je n’achète rien, c’est que j’en ai beaucoup déjà, et personne pour me voir les porter. Mais j’aime toucher, et porter de jolis sous-vêtements ».

« D’ailleurs, si vous avez le temps, je peux vous prouver ma bonne foi ».

J’acceptais de la suivre chez elle. Elle n’habitait pas très loin et quelques minutes plus tard, je pénétrais son intimité. Elle m’avoua tout de suite que j’étais sa première visite depuis des années. Elle m’offrit un verre et commença à se confier. Elle me raconta sa vie, ses douze années de mariage avec un homme indifférent. Qui l’honorait une fois par semaine pour juste remplir son devoir conjugal. Puis le divorce enfin, il y a cinq ans déjà. Il était parti avec une plus jeune, plus sexy. Et depuis, plus rien dans sa vie, juste son travail. Ni ami, ni famille. Elle vivait totalement recluse, hormis son emploi dans une grande surface.

 » Venez, que je vous montre mes trésors. C’est pour cela que vous êtes venue, non? »

Je la suivais dans sa chambre, tout était bien rangé, mais semblait impersonnel. Cela aurait aussi bien pu être une chambre d’hôtel, classique, mise à part cette commode, dont les tiroirs regorgeaient de sous-vêtements, tous plus affriolants les uns que les autres. Tout cela contrastait avec sa tenue du jour. Une jolie robe, certes, mais le haut, en forme de bustier, ne pouvait tolérer un soutif. Il m’aurait suffi de tirer sa robe légèrement vers le bas pour le vérifier. Pour ce qui est du bas, il ne faisait aucun doute pour moi qu’elle portait une culotte.

Elle sortit quelques ensembles qu’elle exposa sur le lit. Chaque fois qu’elle passait près de moi, elle me frôlait de plus en plus. Recherchant le contact. Heureuse, semble-t-il, de parler enfin à quelqu’un, en dehors du cadre du travail.

Je me pris à son jeu et la laissais tenter ses approches de plus en plus évidentes. Tournée vers le lit, où elle présentait un nouveau modèle, j’attrapais son bustier et le tirait vers le bas, libérant enfin sa somptueuse poitrine. Sans réaction de sa part, je posais mes mains sur ses mamelles et entamais un pelotage en règle.

Les bras ballants, elle se laissait faire, s’abandonnant totalement à mes caresses. Sa tête partit doucement vers l’arrière pour se poser sur mon épaule.

« Défais ta ceinture » lui murmurais-je.

Aussitôt fait, sa robe glissa sur le sol. Elle était dans mes bras, presque nue. Je triturais avec joie ses tétons tous durs.

« Branles toi, salope. Montre-moi comment tu te donnes du plaisir ».

Sa main droite pénétra dans sa culotte et le doigtage commença. D’un geste rageur, je baissais sa culotte entièrement avant de reprendre possession de sa poitrine. Son parfum intime envahit la pièce, m’enivrant au-delà de tout. Je devais, je voulais jouir encore une fois, mais en la rabaissant, en la soumettant. J’appuyais sur ses épaules et me plaçais face à elle, soulevant ma minijupe.

Quelle sensation de sentir enfin sa bouche sur ma fente, sa langue écartant le tissu de ma culotte pour lécher enfin mes lèvres intimes. Il était évident que c’était une première fois pour elle mais elle y mettait du cœur. Elle insinua sa langue entre mes lèvres, remontant jusqu’en haut, titillant le clito sorti de sa cachette. Puis redescendit très bas, le périnée, et enfin l’anus. Elle tourna tout autour avant d’y engouffrer la pointe de sa langue.

Cette caresse me rendait folle. Je la basculais sur le sol, m’assis sur sa bouche et je me frottais sur son visage. Elle continuait à se caresser de plus en plus vite. J’attrapais ses mamelles que je malaxais plus fébrilement qu’auparavant. Je voulais lui faire mal, lui montrer que j’étais sa Maîtresse, et que sa place à elle était de toujours subir, et obéir.

Elle tendit une main vers le tiroir du chevet, qu’elle ne pouvait pas atteindre du fait de sa position. J’ouvrais moi-même ce tiroir pour y trouver un gode de belle taille. De couleur bleu gris avec une base en métal argenté. Je m’en saisis et le frottais contre sa fente baveuse pour bien l’humidifier.

« Écartes tes mains. Et surtout, laisse-toi faire ».

J’avais donné mes ordres et elle posa difficilement ses mains à plat, sur le sol. Mais voyant que j’allais m’occuper de son plaisir, elle s’abandonna encore plus. Elle respirait toujours mon parfum intime. Son nez agaçait mon clito et je jouais avec. Puis le gode la pénétra enfin, bien profond. D’une seule poussée.

 

3 réflexions sur “EMMA ET LES ROMBIERES (02/03)

  1. Ce qui est Super dans une expérience à 3 c’est de voir vos 2 partenaires femme se donner du plaisir et vs exciter ainsi….
    Un pur kiff comme sensation qui vs retourne le bas ventre ! !!
    Sublime récit,j’ai envie de vous dire encore,encore et encore…..
    A très vite…

  2. Bonjour je suis Yannick de Caudan et je trouve ça magnifique et tellement sublime
    L amour entre des femmes j’ai trouvé ça toujours existant et même moi mon désir c’est de pouvoir me donner à fond avec deux femmes et prendre du plaisir ensemble

    • Merci pour ton commentaire, Yannick.
      Comme tu le dis si bien, beaucoup d’hommes rêvent de faire l’amour à deux femmes simultanément.

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