Jenny (09/27)

« C’est à moi que tu paies, toujours. Je m’arrange avec elle ensuite. »

Confuse, elle lui donna la somme convenue. Jenny passa derrière la jeune fille pour lui ôter sa veste, prit celle de Val également et les accrocha au porte-manteau avant de les guider vers le salon. Elle se mit face à Soraya, lui prit les poignets de façon à poser ses mains sur ses seins. La petite n’hésita qu’un instant, puis commença à malaxer cette poitrine qu’on lui offrait. D’elle-même, elle défit les boutons du corsage et le laissa glisser sur le sol. Bientôt rejoint par le soutif.

Elle se baissa juste un peu pour prendre l’un des tétons en bouche, caressant l’autre entre deux doigts. Elle passait de l’un à l’autre. À peine eut-elle un sursaut quand elle sentit la main de Val sur ses fesses. Mais elle continua sa tétée, amoureusement. Val lui pelotait le cul à deux mains maintenant, défit le bouton et la fermeture de sa jupe et Soraya se retrouva en petite culotte. Très joli modèle, d’ailleurs. Elle voulut en profiter pour baisser la culotte mais, devant la raideur de la jeune fille, elle remit cela à plus tard. Elle s’accroupit pour lui ôter sa jupe qui lui entravait les chevilles. Levant une jambe, puis l’autre.

Elle promena ses lèvres sur les cuisses de la jeune ingénue, lui arrachant des frissons de bien-être. Elle se releva pour se coller à ce petit cul, les mains posées sur les hanches. Elle tenta une fois de plus de retirer la culotte mais, sentant la réticence, s’abstint une fois de plus. Elle prit la main libre de la jeune fille et la posa sur le pubis de Jenny, qui écarta les cuisses aussitôt. Elle initia le mouvement de haut en bas et vit avec plaisir que la petite continuait malgré qu’elle lui ait lâché la main.

Val la laissa continuer et se plaça derrière Jenny. Elle lui défit la jupe et baissa la culotte. Soraya arrêta ses mouvements pour regarder Jenny. Nue et offerte. Première femme qu’elle voyait nue. Première chatte aussi, mis à part la sienne. Chez ses parents, la pudeur était de mise. Sa mère lui avait bien parlé des menstruations, mais lui interdisait de se regarder, de se caresser. Caresser un garçon, ou même une fille, encore interdit. Elle aurait piqué une de ses crises si elle avait pu la voir, là, maintenant, à demi nue, devant une femme qui s’offrait totalement à ses caresses.

Elle était en admiration devant ce corps et ne se rendit pas compte tout de suite que Val lui avait ôté son top et s’activait sur l’attache du soutif. Avant qu’elle ne puisse réagir, elle se retrouva juste avec sa culotte. Jenny empauma ses seins bien ronds, plantés bien haut sur son torse. Ils étaient bien fermes et les tétons pointaient dur. Soraya ouvrit la bouche pour protester contre cette caresse, délicieuse caresse, mais ce furent les lèvres de Jenny qui l’enveloppèrent. Incapable de résister, elle se laissa emporter par le plaisir. Val en profita pour enfin lui retirer sa culotte. Accroupie derrière elle, elle lui malaxait les deux globes et promenait sa langue dans sa raie fessière. Titillant son anus. Emportée dans un délire des sens, Soraya explosa.

Jenny, la sentant frémir de bonheur, s’agenouilla devant elle pour récolter le jus de la belle. Du vrai jus de vierge. Tellement humide. Le corps très bronzé de Soraya contrastait avec ses lèvres intimes, si roses. Si tendres. Avec Jenny devant qui la nettoyait consciencieusement, et Val derrière, qui lui malaxait les fesses, elle était aux anges. Tellement comblée qu’elle faillit en oublier l’heure. Sa mère surveillait ses sorties et tenait absolument à savoir où elle se trouvait. Toujours. Et il était grand temps de rentrer. Quand elle voulut se rhabiller, Val intervint :

 » Laisse faire Jenny », lui ordonna t elle

Toute heureuse, Jenny, de profiter encore de ce corps juvénile. Elle ramassa le soutif qu’elle lui remit, non sans avoir au préalable posé un tendre bisou sur chacun des tétons. Puis, elle lui passa son top. Et sa jupe pour finir. Soraya regardait sa culotte, restée sur le sol, pensant que Jenny la lui mettrait en dernier. Jenny lui dit :

« Ta culotte, je la garde, avec tes odeurs. Tu sauras ainsi qu’il ne faut pas en mettre quand tu viens chez moi ».

Val sourit de cette initiative. Jenny leur remit à chacune leur veste et, avant de sortir, Val releva la jupe de la jeune fille et posa sa main sur ses fesses, le majeur tout près de la rondelle.

 » On va descendre comme ça  »

Jenny, toujours nue, les embrassa et leur ouvrit la porte. Elle les suivit du regard jusqu’à ce qu’elles disparaissent, avalées par l’escalier. Après lui avoir téléphoné pour la prévenir, Val revint le lendemain soir et l’emmena au sex-shop, tout proche. Elles effectuèrent quelques achats avant de rentrer chez Jenny. Aussitôt les vestes ôtées, Val lui ordonna :

« À poil »

Jenny s’exécuta aussitôt. Val sortit de son étui le plug anal qu’elles venaient d’acheter, entre autres choses. Elle le fourra dans la bouche de Jenny pour bien l’humidifier, le redescendit vers sa chatte, déjà ouverte. Elle n’eut pas besoin de forcer pour pénétrer cette grotte accueillante. Puis, elle retourna sa soumise. Elle lui offrait son cul en toute indécence. Le plug, parfaitement huilé des sécrétions intimes, changea simplement de trou. Le passage se fit progressivement et le joli cul de Jenny fut bientôt orné d’un nouveau diamant.

« À genou, chienne, et viens remercier ta maîtresse pour ce merveilleux cadeau ».

Jenny obéit sans tarder. Elle s’engouffra sous la jupe de la jeune fille et baissa son string. Elle la remercia d’un sublime cunnilingus. Val s’installa sur le canapé pour se remettre de son orgasme. Jenny, toujours à genou près d’elle, lui donna sa poitrine à téter. La main libre de Val jouait avec le plug, toujours bien enfoncé dans son cul.

 » Demain soir, je t’amènerais une autre jeune fille. Tu seras nue sous ton peignoir et bien lavée quand nous arriverons vers 20 heures. Et tu auras remis ton plug anal. »

 » Oui, Mademoiselle  »

La journée du Samedi passa très vite, beaucoup de clientes. Dans ses quelques moments de solitude, Jenny se répétait :

« Je suis une prostituée. On me paie pour donner du plaisir. Je suis une moins que rien. Une grosse perverse. Je ne suis qu’une … Pute. Et le pire ! J’adore ça ».

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