WENDY (04/04)

Fabiola commença son récit.

« À 14 ans, j’avais une poitrine déjà bien développée, un peu moins que toi sans doute, mais je sentais bien les regards des hommes, et des garçons, sur mes seins. Je n’ai eu personne pour m’aider à résoudre ce problème et j’ai donc appris toute seule. Toi, ma chérie, je te conseillerais du mieux possible mais toi seule décidera de ce que tu dois faire.

Au fil du temps, je remarquais que, quand je mettais des vêtements vagues, ou trop grands pour moi, pour cacher mes formes, j’étais moins embêtée, c’est sûr, mais personne ne venait me parler. J’étais comme invisible. Pire, certains profs semblaient s’acharner sur moi ces jours-là. Des hommes, évidemment.

Par contre, si j’étais vêtue sexy, c’est-à-dire que je montrais mon décolleté, j’avais une foule de garçons autour de moi, et les filles venaient aussi afin de ne pas rester seules. Les profs étaient nettement plus gentils avec moi, même si je me trompais dans mes réponses, ils me corrigeaient en blaguant. Une femme professeur aussi. Je voyais bien qu’elle était plus attentionnée avec moi quand j’exposais mes doudounes, lol. Je les appelais comme ça.

Ce sont donc mes tenues vestimentaires qui définissaient l’approche des autres par rapport à moi. Je te l’accorde, c’est une attitude imbécile. Venant des garçons de mon âge, je comprenais et j’excusais leur immaturité. Pour les hommes, les profs, c’était bien différent. C’était leur frustration qu’ils affichaient quand je cachais mes formes. Je décidais donc de jouer avec eux, maintenant que je connaissais les règles du jeu.

Je décidais donc de ne plus cacher mes formes qui les faisaient tant bander. Par contre, interdiction de toucher. Pour tout le monde. Je redevenais maitresse de mon corps et moi seule décidais de qui en profiterais. C’est ainsi que je choisissais ceux qui bénéficieraient de mes charmes. En gros, ceux qui pourraient me peloter. Un garçon qui m’invitait au cinéma, ou bien me payait le McDo, lui aurait droit de me peloter.

Un autre qui me rendait un service, quel qu’il soit, aurait droit également. C’était donnant donnant. Fini les belles paroles, les « je t’aime » qui cachaient juste leurs envies de toucher mes seins. J’avais deviné que c’était devenu une sorte de concours entre eux. Les winners, ceux qui m’avaient pelotée, et les loosers, ceux qui espéraient y arriver.

J’avais compris et accepté les règles et, contrairement à ce que je pensais, j’avais gagné en popularité, et en respectabilité. Je n’étais plus la petite nunuche qui se laissait peloter par n’importe qui, pour un mot gentil, un semblant de sentiment, mais une personne à part entière qui affirmait sa personnalité, qui affichait ses besoins, ses envies.

Je partais du même principe avec les profs. Un mot gentil, un compliment et il pouvait scruter mon décolleté tant qu’il voulait. Une remontrance et je mettais ma main sur mes seins chaque fois qu’il passait près de moi. Et certains l’ont vite compris.

Mon prof d’histoire géo, Mr Racinel, m’avait retenue après le cours pour me parler de mon interrogation de la veille, soi-disant catastrophique pour lui. Je tentais de m’expliquer en me frottant à lui. Il n’a pas mis longtemps pour enfin poser sa main poilue sur ma poitrine. Je renchérissais.

« Et avec votre autre main sur ma poitrine, j’aurais une meilleure note ? »

La réponse, je l’ai eue dès le lendemain, avec un 16 sur 20. Ma meilleure note dans cette matière. J’en faisais autant avec d’autres profs, tout aussi désireux de profiter, un peu, de mes charmes. Et cela commençait vraiment à me plaire. Le prof de français, Mr Cousin, me demanda de passer le voir dans son bureau, après les cours. C’était notre professeur principal et tout le monde le craignait, et le respectait.

Pas trop rassurée cette fois, je frappais timidement à sa porte. Sa voix de stentor me dit d’entrer. Assise, toute penaude, je l’écoutais me sermonner à propos de mon dernier devoir. Je savais que c’est de lui que viendrait la possibilité de passer en seconde, ou pas. À un moment où il ne regardait pas, je défis un bouton de mon corsage et bombais le torse au maximum, à la limite de voir le tissu exploser sous la pression.

Aussitôt, son ton se radoucit un peu, il se leva et se mit à marcher de long en large derrière moi. Je relevais la tête car je savais qu’ainsi, il pourrait plonger au plus profond de mon corsage. Il m’offrit une chance de rattraper mon mauvais devoir en le refaisant. Je ne devais en parler à personne et revenir le lui rendre personnellement, dans son bureau.

Pour le coup, je me suis fait aider par un garçon boutonneux, très bon en français, pour rédiger ce devoir. Assise sur ses genoux, une de ses mains dans mon soutif tandis que l’autre écrivait. Il parlait en rédigeant pour m’expliquer le pourquoi de ce terme, de cette expression, afin que, si on me posait des questions sur ce devoir, je sache quoi répondre. J’avais suivi la rédaction de ce devoir et j’avais mieux compris ce qu’on attendait de moi pour un tel sujet. Pour le remercier, en supplément, je glissais ma main dans son pantalon. Il éjacula très rapidement. Dommage.

En allant rendre mon devoir, j’étais toute excitée car je savais comment cela finirait. Je portais justement une mini-jupe et un top blanc qui dévoilait mon ventre. Il était court, légèrement petit, ce qui permettait de glisser facilement ses mains sous le tissu qui ne touchait pas mon ventre. Dès en entrant dans son bureau, je sentis ses yeux qui me déshabillaient. Je lui remis mon devoir et il me demanda de rester debout près de lui, le temps qu’il en prenne connaissance.

Il me regarda un instant, en faisant un signe de la tête, montrant qu’il appréciait l’introduction. Il reprit sa lecture mais sa main s’était posée sur ma hanche. Et elle remontait doucement vers ma poitrine. Il empauma délicatement mon sein droit et se mit à le malaxer amoureusement. Je mouillais littéralement ma culotte, en espérant qu’il n’irait pas vérifier mon état. Il fit de même avec l’autre sein en finissant sa lecture.

Enfin, il se tourna vers moi. Ses deux mains passèrent sous mon top. Ses yeux lançaient des éclairs. Avant qu’il ne demande, je dégrafais mon soutif pour son plus grand bonheur, et le mien. Ses doigts directement au contact de ma peau, j’étais aux anges. Il avait une technique toute particulière qui me rendait folle.

Il aurait pu soulever mon top pour me téter, et même glisser ses mains dans ma culotte, je lui aurais laissé tout faire, tellement j’étais bien. Il se contenta de me faire jouir en jouant avec mes tétons, ce jour-là. Mais j’eus bien d’autres occasions de venir dans son bureau ».

« Wendy, ma chérie, si je raconte tout ça, ce n’est pas pour que tu en fasses autant. Sauf si tu le souhaites vraiment, tu es la seule à choisir tes options. Mais pour t’expliquer que les hommes, enfin presque tous, ne te voient pas comme une personne, mais comme un objet de plaisir, une jolie paire de mamelles qu’ils ont envie de déguster ».

 » Tu le sais. À toi de jouer avec eux ».

« Et, si tu veux bien, on va commencer par t’acheter de nouvelles tenues, plus en rapport avec ta nouvelle vie. Car c’est une nouvelle vie qui commence pour toi. Tu vas voir comment tout le monde va changer d’attitude en ta présence ».

 » Tu es d’accord pour faire les magasins avec ta vieille maman ?  »

« Oui, je suis d’accord. Et tu n’es pas vieille, d’abord. Tu es magnifique, maman. La plus jolie des mamans ».

 » Merci, ma puce. Tu es très gentille, toi aussi. Et puis, ça va me permettre de les voir enfin, tes jolis seins « .

 » Oh, maman. Tu vas me faire rougir « .

 » Mais non, tu ne dois surtout pas en rougir. Tu dois en être fière, au contraire. Beaucoup de femmes rêvent d’une poitrine comme la tienne « .

 » OK. Mais toi aussi, tu as une jolie poitrine. Et tu veux vraiment voir la mienne ?  »

« Oui, ma chérie. Si tu veux bien ».

Wendy me raconta qu’elle a fait glisser les pans de sa chemise de nuit, tout comme je l’avais fait hier soir, en faisant réagir les tétons. Fabiola avait les yeux exorbités.

 » Ma chérie. Ils sont splendides, vraiment. Tiens, regarde les miens. Pour comparer. Mais sois indulgente, je n’ai plus ton âge ».

Elle découvrit sa poitrine sous le regard médusé de Wendy.

La journée de shopping commençait bien, mais fera l’objet d’un autre chapitre.

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