Jenny (06/27)

Typhaine la suivait de près, toujours prête à la toucher, la caresser. Elle rinça quelques couverts dans l’évier et la petite se colla à ses fesses. Les mains remontèrent sur la poitrine pour la malaxer, tout en lui donnant des petits baisers dans le cou. Elle la retourna pour se trouver face à face avec elle. Elle frotta son pubis sur celui de Jenny. Chatte contre chatte, clito contre clito. Elle s’accrocha plus fort encore et accéléra le mouvement. Telle une chienne en chaleur. Elle ne tarda pas à jouir, la tête enfouie dans le cou de sa maîtresse. Elles se restaurèrent pour reprendre des forces.

De retour dans la chambre, Typhaine s’allongea au milieu du lit et plaça Jenny tête bêche. Elle avait ainsi une vue imprenable sur son cul et sa chatte. Elle guida sa bouche entre ses cuisses avant de reprendre le vibro. Elle la caressa un peu puis le mit en marche. Elle le fit tourner autour de son anus, puis redescendit vers sa fente déjà dégoulinante. Elle le rentra juste un peu, puis le promena sur ses lèvres intimes. Quand elle frôla le clito, un frisson envahit Jenny. Elle se remit à lécher la petite fente mais gardait une attention toute particulière à ce qui se passait entre ses propres cuisses.

Typhaine le passa en vitesse deux au moment précis où il se trouvait sur le clito. Elle jouit aussitôt, bruyamment. Bien lubrifiée, sa chatte accueillit l’objet avec convoitise. Elle l’aspira presque, tellement elle le voulait en elle. Elle se mit à aller et venir en elle, tout en le tournant, comme si elle le vissait. Et dévissait ensuite. Elle passa alors la vitesse maximum et une vague de jouissance impressionnante emporta la jeune femme. Elle retomba inanimée et le resta quelques minutes.

Typhaine lui tendit alors l’objet du désir et lui dit :

« À ton tour de me faire jouir ».

Jenny prit le vibro, le positionna en vitesse 1 et l’approcha de son clito. Elle tourna tout autour, lui arrachant des soupirs de plus en plus forts. Elle le promena sur la fente humide à souhait. Puis la pointe s’arrêta à l’entrée de sa grotte. Jenny le fit entrer juste un peu, stoppant à la barrière de l’hymen. Elle le fit aller et venir en elle pour le plus grand plaisir de la jeune fille qui mouillait de plus en plus. Typhaine devenait littéralement folle de désir pour cet objet qui irradiait tant de bonheur dans sa chatte. Jenny le ressortit pour l’approcher de son anus dilaté. Elle augmenta la vitesse. Les vibrations se propageaient partout à l’intérieur de la jeune stagiaire qui, là aussi, était avide d’apprendre. Typhaine se redressa pour se mettre à genou sur le lit, la tête dans ses bras. Doggy style. Comme une chienne en chaleur qu’elle était à ce moment précis.

 » Dans mon cul, je le veux dans mon cul ».

Jenny approcha le vibro et c’est la petite qui recula brusquement pour s’empaler, un peu seulement mais les premiers centimètres étaient entrés. Jenny continua la progression du gode dans l’anus grand ouvert. De petits mouvements d’avant en arrière et elle rentrait toujours plus loin. Elle le laissa ainsi mais le passa en vitesse maxi. La petite vibrait de tout son corps. On aurait dit une furie. Jenny posa sa main sur le clito, entre les jambes écartées et, par ses mouvements, c’est Typhaine elle-même qui se branlait sur la main de Jenny. Elle jouit si fort que le vibro fut expulsé dans son cul. Jenny l’aida à s’allonger et, gourmande, se plaça entre les cuisses pour récolter le jus d’amour. Elle but tout ce qu’elle put, nettoyant chaque centimètre carré.

Typhaine émergea doucement et, avide de nouvelles sensations, elle demanda, non, elle implora son amie de la faire devenir femme enfin.

« Prends ma fleur, Jenny, je veux que tu sois la première. Déflore-moi ».

Les larmes montèrent aux yeux de Jenny. C’est un beau cadeau qu’elle lui faisait car on n’oublie jamais sa première fois. Elle reprit le vibro et le passa en vitesse un. Elle le frotta sur le clito pour la faire mouiller plus encore, descendit sur la fente humide. Elle retrouva la grotte et s’y engouffra lentement. Doucement, elle la pénétra jusqu’à la barrière de l’hymen. Là, elle stoppa. De légers va et vient pour faire monter l’envie encore. Typhaine poussa juste un soupir un peu plus fort quand la barrière céda. Le passage était fait maintenant et la jouissance commençait à l’envahir. Jenny entra le vibro le plus loin qu’elle put. Elle passa la vitesse sur deux et le maintenait en position. Son pouce se plaça sur l’anus et elle le pénétra. Typhaine attrapa la main libre de Jenny et, avec, se malaxa les seins. Elle voulait jouir de partout, chatte, cul et seins. Tout ça lui remontait au cerveau et la jouissance fut sublime.

Le regard dans le vide, la respiration saccadée. Elle vivait à fond ce pur moment de bonheur. Quand elle redescendit enfin sur terre, ses yeux ne pouvaient que remercier celle qui l’avait fait naître en tant que femme. Femme comblée. Heureuse, tout simplement. Elles restèrent un long moment à se cajoler tendrement. Puis, les caresses se précisèrent. Et cela repartit pour un tour. Elles ne dormirent que très peu, ou pas du tout. Une nuit magique.

Le dimanche matin, Jenny se réveilla sous la douce caresse que sa jeune amante lui prodiguait. Un merveilleux cunnilingus. Elle se glissa sous sa partenaire pour un 69 débridé. Elles jouirent une nouvelle fois de concert. Une douce mélodie d’un bonheur partagé. Allongées l’une contre l’autre, elles se cajolèrent un moment avant de se retrouver sous le jet de la douche. Encore une occasion pour se toucher. Elles retardaient le plus possible l’instant où il faudrait se dire adieu. Typhaine rentra chez elle un peu avant midi. Non sans avoir promis à Jenny de revenir la voir. Quand bon lui semblerait.

Typhaine partie, Jenny s’occupa de son ménage, vaisselle, lessive, etc. Seule, le soir, elle se remémora les semaines passées et des larmes lui montèrent aux yeux. Elle se rendait compte que c’était bel et bien fini. Elle contacta son amie Mariya via Facebook et lui raconta tout. L’espoir, tout de même, persistait mais elle savait que cette aventure n’avait pas d’avenir. Et le train-train quotidien reprit le dessus. Elle dut attendre deux semaines complètes avant de revoir sa jeune amante. À la boutique et, en plus, accompagnée de sa maman.

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