La Comtesse d’Orgemont trois (06/10)

Szofia, justement, s’approchait de nous. Les deux mignons lui laissèrent la place sur le canapé et se mirent à nos pieds.

 » Les garçons me racontaient précisément comment vous vous étiez rencontrés, puis le premier massage « .

 » J’avoue tout, Monsieur le Procureur « . Me répondit-elle suffisamment fort pour que le procureur, le vrai, se retourne vers nous.

Voyant rapidement qu’il s’agissait d’une plaisanterie, il nous envoya un sourire complice avant de replonger entre les seins merveilleux de Caro. C’est Szofia qui me raconta la suite. Il ne lui fallut pas plus de deux jours pour comprendre qu’elle avait trouvé deux perles rares. Deux pépites à l’état brut, mais qui ne demandaient qu’à apprendre. Les séances de massage devinrent habituelles. Chaque soir, elle débriefait ses deux stagiaires pendant qu’elle se laissait masser les pieds.

Mais très vite, cela ne lui suffisait plus. Les soirées chez la Comtesse d’Orgemont n’avaient lieu que toutes les trois semaines. Et elle ne voulait pas d’un amant, encore moins d’un mari. C’est Alain, encore lui, qui comprit ce manque affectif qu’elle ne pouvait pas divulguer. Il se leva, laissant les deux pieds à son compère et entreprit de masser les épaules de sa Maîtresse. Il avait pris cette habitude avec Maryse, lorsqu’elle revenait de son travail.

Comme il l’avait déjà fait avec la compagne de son père, ses mains habiles avaient ouvert la robe, pour dégager les épaules et effectuer un massage plus précis. Très vite, il écarta les bretelles du soutien-gorge. La femme mature se laissait emporter dans la douce volupté des caresses qu’elle recevait. Les mains descendirent dans le dos et il dégrafa le soutif.

Elle était presque torse nu, devant les yeux ébahis d’Alex qui n’en revenait pas. Alain laissa tomber le massage pour se concentrer exclusivement sur la poitrine, tout en fixant son complice. Sur un signe, Alex accepta d’inverser les rôles et s’occupa religieusement des seins magnifiques qui lui étaient offerts. Si Alain avait changé de place aussi facilement, c’est bien qu’il avait une idée derrière la tête.

Szofia avait, comme d’habitude, ouvert des cuisses très grand et relevé le bas de sa robe, dévoilant ainsi sa jolie culotte et ses bas noirs. Et c’est précisément juste au-dessus des bas qu’Alain posa ses lèvres, léchant la peau douce de sa Maîtresse. Il n’hésita pas à remonter plus haut, entre les cuisses, léchant le devant de la culotte qui devint presque transparent. Madame mouillait beaucoup à cet instant précis et elle m’avoua que le souvenir même de cette première fois la faisait mouiller encore.

Alex fut le plus prompt, cette fois-ci, à plonger entre les cuisses de Szofia, Alain se contentant de ma fente, et elle continua à raconter. À partir de ce moment-là, ce fut chaque jour de stage la même répétition. Cela commençait par un massage et finissait inévitablement en pelotages en règle. Alain était un peu plus expert que son compère en cunnilingus et lui appris à faire jouir leur Maîtresse commune.

Une fois le stage terminé, il n’était nullement question pour elle, comme pour les garçons, de ne plus se revoir. Elle organisa, chez elle, un dîner-surprise où elle était habillée de sa tenue d’Eve. Entièrement nue. Les plateaux du traiteur, pourtant délicieux, ne trouvèrent que peu d’écho auprès des deux mignons. C’était son corps à elle qu’ils voulaient, qu’ils désiraient. Et ils le lui prouvèrent toute la soirée, et la nuit qui suivit.

C’est bien cette nuit-là qu’elle s’offrit totalement à ses deux stagiaires. Alain, toujours lui, avait un peu d’expérience. Pour Alex, ce fut un véritable dépucelage. Szofia accepta également pour la première fois d’être prise entre les deux jeunes hommes. Deux jeunes queues, rien que pour elle. Elle leur offrit son corps sans retenue, sans aucune limite. La nuit entière.

C’est le lendemain, au cours du petit déjeuner, qu’elle leur proposa de l’accompagner à une soirée libertine, leur première chez la Comtesse d’Orgemont. Ils n’ont pas hésité une seule seconde, même quand elle leur a expliqué qu’ils viendraient en tant que soumis et que donc, tous les autres participants pourraient utiliser leurs corps. Cela faisait trois mois qu’ils avaient fini leur stage mais ils continuaient à revoir Szofia très régulièrement.

Un peu plus tard, toujours assise sur ce canapé près de Szofia et nous reprenions des forces grâce à la collation offerte par la Maîtresse des lieux, que les deux jeunes garçons nous apportaient sur la table basse. Elle me confia que, avant ces deux mignons, c’est une jeune fille qu’elle avait accueillie en stage. Une jeune fille sage, de bonne famille, elle connaissait bien la maman et son père, elle l’avait croisé une fois ou deux lors d’une soirée chez la Comtesse.

Cette jeune fille s’appelait Maeva. Une jeune fille BCBG comme il en existe des tas. Sa timidité maladive, sa maladresse, son air de sainte Nitouche, tout cela mélangé lui donna une furieuse envie de la pervertir. De jouer avec elle. Elle n’avait jamais, avant cela, ressenti une telle envie envers une autre femme, une autre fille.

Elle s’amusa donc à la frôler de près, à lui caresser les épaules quand elle était assise devant son ordinateur. Elle lui donnait parfois des courriers à taper et elle devait ensuite venir les lui faire signer avant de les mettre au courrier. Au début, Szofia lui pardonnait quelques petites maladresses qu’elle devait corriger immédiatement. Mais, au bout d’une semaine, elle s’énerva franchement devant le courrier qu’elle venait de retranscrire.

Il était bourré de fautes d’orthographe et presque illisible. Maeva était debout près d’elle, attendant une remarque, ou bien la signature. Szofia prit le torchon dans ses mains et le donna à sa stagiaire, lui ordonnant de le lire à voix haute. La jeune stagiaire s’exécuta, elle n’avait jamais vu Szofia dans une telle colère et comprit qu’il valait mieux faire ce qu’elle demandait sans discuter. Elle commença à lire, difficilement, quand, tout à coup, elle sentit la main de sa maîtresse de stage de poser sur son mollet, puis remonter lentement. Elle avait énormément de mal à respirer, à se concentrer sur sa lecture.

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