J’ai toujours travaillé pendant les vacances scolaires afin d’aider à payer mes études. Depuis plusieurs années, je travaille comme serveuse dans un bar restaurant sur la côte bretonne.
Les patrons sont super sympas et j’ai réussi à gagner leur confiance par mon travail et ma motivation. L’année dernière, en Juin 2013 donc, une serveuse leur a fait faux bond au dernier moment. Je leur ai tout de suite proposé de faire les deux services, avec double salaire bien sûr. Réticents au début, ils ont finalement accepté et n’ont jamais eu à le regretter. C’est pourquoi, quand je leur ai demandé si, cette année, je pouvais venir avec mon amie, Amélie, ils ont accepté immédiatement. De plus, cette année, je suis plus superviseuse que serveuse, j’organise les services, décide des horaires des autres serveuses et j’aide au service, bien sûr, quand il le faut.
C’est donc plus en tant que manager d’équipe que j’ai été embauchée cette année. Et en plus, j’ai eu la surprise de me voir affectée une autre tâche, celle de tuteur pour leur nièce, Vanessa, qui souhaite intégrer une école hôtelière en Septembre prochain.
C’est une jeune fille de 15 ans (pas encore), menue, jolie blonde mais qui sait bien ce qu’elle veut. J’ignore totalement ce qu’on lui a dit sur moi mais dès que je l’ai prise sous mon aile, elle ne me quittait pas d’une semelle. Au bout de deux semaines, j’ai changé ses horaires de travail, pour voir comment elle se débrouillait sans moi, et pour m’en débarrasser un peu. Elle s’en sortait bien, même mieux que mon amie Amélie, qui elle, aura 20 ans en Septembre. Elle aimait ce qu’elle faisait et y mettait du cœur. En dehors du boulot, elle cherchait toujours ma présence, assise auprès de moi pour les repas communs et on sortait souvent toutes ensembles, le soir, sur la plage ou dans les bars.
Moi, j’adore courir. C’est un réel plaisir, et depuis que je suis près de la plage, c’est tous les matins que je cours, sur le sable. Cela me met de bonne humeur et en pleine forme pour toute la journée. Au retour, une bonne douche avant de descendre prendre le petit déjeuner avec l’équipe.
Lundi dernier, je prenais ma douche quand je sentis une présence dans la salle de bains. Sans couper l’eau, j’écartais le rideau de douche et j’aperçus Vanessa dans le miroir. J’allais continuer ma douche quand je la vis prendre mon string sur le bord du lavabo et le porter à son visage pour s’enivrer de mes senteurs intimes. Furieuse de son attitude, j’écartais le rideau brutalement et coupais l’eau. En deux pas j’étais près d’elle, encore toute trempée. Elle me regarda puis baissa la tête, tout en gardant mon string dans ses mains.
J’allais lui ôter des mains quand je me rendis compte qu’elle sanglotait, en silence. Ne pouvant pas lui crier dessus, je la pris tout contre moi, tout en la réconfortant. Sa tête dans mon cou, je sentais ses petits bras qui m’écrasaient la poitrine. Elle se calma enfin, un peu, et je pus lui reprendre mon string, que je jetais dans le lavabo. Elle enroula ses bras autour de ma taille en se serrant fort contre moi. Ce n’est qu’à ce moment-là qu’elle se rendit compte que j’étais nue, entièrement nue.
Elle s’écarta de moi, sa robe légère était mouillée et transparente par endroits, mais elle garda la tête baissée, sans doute les yeux fermés aussi et se confondait en excuses, me demandant pardon de m’avoir dérangée. Elle reculait vers la porte pour sortir, mais je réussis à la faire asseoir sur le bord de la baignoire. Je m’accroupis devant elle et je lui demandais :
— ça fait longtemps que ça dure, ton manège ?
— Oui, me dit-elle, deux semaines … à peu près
— Et ça te plait de sentir mes culottes ?
— Oui, répondit-elle dans un souffle
— Et celles des autres filles aussi ?
— Quand je peux, oui, mais c’est votre odeur que je préfère.
— Tu comprends que je dois te punir, n’est-ce-pas ?
— Oui, mais surtout ne dites rien à ma tante, je vous en prie.
— Elle aussi ? Tu sens ses culottes?
— Oui, finit-elle par avouer après un long silence.
— Bien, pour ta punition, je t’interdis désormais de sentir les culottes des autres filles, seulement les tiennes. Et pour compléter ta punition, tu viendras tous les matins, pendant que je prends ma douche, pour laver mes culottes. Es-tu d’accord avec la punition ?
— Oui, Stéffie, j’accepte
— Bon alors, debout et au travail, il y en a une dans le lavabo, et moi, je retourne sous la douche.
Vanessa s’approcha du lavabo, prit le flacon de lessive à ses pieds, et avant qu’elle n’en verse sur le vêtement, je passais derrière et lui glissais à l’oreille doucement.
— Je fermerais les yeux quand tu la porteras à ta bouche.
Elle me regarda enfin, les yeux dans les yeux et me fit son plus joli sourire. Un rien coquin. J’allais vite finir de me doucher et, en sortant, elle avait bien sûr lavé et étendu mon string au-dessus de la baignoire. Sans le lui demander, elle prit le drap de bain et entreprit de m’essuyer, partout. Ravie, je la laissais faire avant de m’enrouler dans la serviette pour rejoindre ma chambre, où Amélie dormait encore. Elle me suivit dans la chambre, sans un bruit, me regarda m’habiller et nous sommes descendues déjeuner ensemble.
Et donc, depuis ce temps, j’ai ma petite servante, Vanessa, qui m’attend au retour de mon jogging pour laver mes sous-vêtements et me sécher en sortant de la douche. Une fois, j’ai pris la serviette avant elle pour m’essuyer, et devant son regard déçu, je la lui ai tendue et un sourire a illuminé son visage.
En tout, nous sommes six serveuses et il y a deux barmen, Kevin et Richard, 19 ans chacun. Les serveuses sont Vanessa, Amélie et moi-même, ainsi que Brigitte, qui préfère qu’on l’appelle Caroline, Patricia et Véronique.
C’est Véro qui a proposé, mercredi dernier, de diner sur la plage, après le boulot. Tout le monde a accepté bien sûr. La patronne nous a préparé des paniers avec sandwichs et boissons, non-alcoolisées. La soirée s’est très bien passée, on a discuté et appris un peu mieux à se connaitre.