Martine (07/23)

Vacances oblige, je me suis levée plus tard le lendemain. Je n’ai donc pas préparé le café ni vu mon père ce matin-là. Je me suis levée au moment où ma mère partait travailler. Comme d’habitude, elle me donna ses consignes pour la journée, le repas des petits, entre autres choses. La matinée s’est bien passée.

L’après-midi, j’amenais les petits chez une voisine pour qu’ils jouent avec ses enfants, juste le temps de mon rendez-vous avec Mr Renaudin. Il m’attendait à l’heure prévue et me fit pénétrer pour la première fois dans son antre. Son bureau personnel, là où il préparait ses cours et corrigeait nos devoirs.

C’était un bureau à son image, des étagères remplies de livres, d’encyclopédies en tout genre, des romans aussi, classiques ou plus récents. Le volet roulant était descendu à moitié, ce qui plongeait cette pièce dans une semi-obscurité. Il prit place derrière son bureau, dans un fauteuil de ministre. J’étais vraiment intimidée de me retrouver là, seule avec lui.

Il me demanda de m’approcher de lui, posa directement sa main droite sur mes fesses. Je ressentis immédiatement une sorte de chaleur, une vague qui me submergeait. De son autre main, il commença à dégrafer mon corsage. Il écartait le tissu après chaque bouton. Ma poitrine était complètement dégagée maintenant.

« Martine, ma petite chérie. Chaque fois que tu reviendras chez moi … Car tu reviendras, bien sûr ? »

 » Oui, Mr Renaudin, je reviendrais vous voir  » répondis-je en baissant la tête.

« Donc, chaque fois que tu viendras me voir, tu devras toi-même ouvrir ton corsage et me présenter ta jolie poitrine. C’est bien compris ? »

 » Oui, Mr Renaudin « .

Il passa alors ses mains sous ma jupe et commença à baisser ma culotte. Instinctivement, j’eus un mouvement de recul. Il me rattrapa et finit par baisser ma culotte presqu’entièrement.

« Pour me faire plaisir, tu viendras sans culotte sous ta jupe également. Et ne t’avise pas de venir en pantalon, sinon tu le garderas baissé jusqu’aux genoux ».

 » Oui, Mr Renaudin. Pas de pantalon. Et rien sous ma jupe « .

J’avais écarté les cuisses pour maintenir ma culotte au niveau des genoux. Il garda sa main droite sous ma jupe pour caresser mes cuisses, mes grosses fesses. Son autre main avait repris possession de mes mamelles qu’il malaxait habilement.

 » Bien, maintenant, dis-moi ce qui t’amène. Encore des ennuis avec les autres élèves ?  »

Je lui expliquais que j’avais suivi ses conseils et que, désormais, je montais dans le bus avec les garçons de mon ancienne classe. Je nommais principalement Michel et Roger, qu’il connaissait très bien. Je ne précisais pas ce que j’avais dû subir pour gagner ma place auprès d’eux.

« Et rien d’autre ? »

Il avait parfaitement compris, je lui parlais donc des cours de sport, de Mme Franquin … Et de l’humiliation subie à la piscine devant tous les autres élèves. Il était perplexe, m’assura qu’il ferait ce qu’il pourrait pour m’éviter d’autres désagréments du genre. Mais il sembla très intéressé par le passage de mon récit dans le vestiaire des professeurs.

Il me posa des tas de questions sur ce que j’avais ressenti pendant qu’elle me caressait, si moi aussi j’avais eu envie de la caresser, comment était son corps, ses fesses, sa poitrine. Je répondais machinalement à toutes les questions, me remémorant la scène dans ma tête.

La main de mon tourmenteur était descendue de mes fesses jusqu’entre mes cuisses. Il put, à loisir, juger de l’excitation que me procurait ce doux souvenir. Ma fente était très humide, mon clito commençait à sortir de son capuchon. Il commença à tapoter dessus, me plongeant encore plus dans un plaisir que je ne m’expliquais pas.

« Mais tu deviens une vraie petite femme ! L’évocation de ta mésaventure semble t’exciter énormément. Tu sens ? Cette petite protubérance qui vient de sortir de sa cachette. C’est le clitoris, temple du plaisir chez la femme ».

Et plus il me parlait, plus il me caressait, plus j’écartais les jambes, jusqu’à me baisser légèrement pour lui donner un meilleur accès à mon intimité. Mes tétons étaient hyper tendus, à me faire mal tellement ils étaient durs. Il me demanda gentiment de dégrafer mon soutien-gorge. J’étais déjà presque dans un brouillard incompréhensible et j’obéissais aveuglément.

Alors que je dégageais mes mamelles de leur carcan, c’est sa bouche qui vint prendre possession de mes seins. Ces nouvelles sensations étaient divines, je mouillais de plus en plus et cela semblait lui plaire au plus haut point. Je n’étais plus qu’une poupée de chair entre ses mains puissantes, un simple objet de plaisir.

Oui, je sais parfaitement ce que vous pensez. Tout ceci n’est pas correct, c’est même répréhensible aujourd’hui. Je pourrais l’accuser de viol, ou du moins d’attouchements sexuels, d’agression sexuelle même. Mais ceci n’est que mon histoire, cela s’est passé il y a bien longtemps. Et je ne regrette absolument rien de ce qu’il m’a fait, ce jour-là et les fois suivantes.

Je n’avais rien demandé, c’est certain, mais jamais je n’ai dit « non », jamais je n’ai repoussé ses caresses. J’apprenais la vie avec une personne expérimentée et cela me convenait parfaitement. Il avait compris mes besoins, mes désirs les plus secrets, enfin pas tous encore. J’ai toujours eu une soif d’apprendre, et ce, dans tous les domaines.

 » Mais tu deviens une vraie petite femme « . C’est ce qu’il venait de dire. Ses mots trottaient dans ma tête. Je voulais lui dire que « Oui », je devenais femme à part entière. Un de ses doigts pénétra ma petite fente. C’était divin mais je ne pouvais rester sans réaction. Je me dégageais légèrement de son étreinte.

Quand il m’interrogea, j’osais enfin lui avouer ce petit secret. Seules l’infirmière et mon amie Denise étaient au courant. Et Mr Renaudin désormais. Il comprit immédiatement mes réticences et se consacra principalement à caresser mes seins. Pour plus de commodités, il m’invita à m’asseoir sur ses genoux.

Il releva ma jupe entièrement avant que je ne m’assoie sur ses cuisses. Je sentais bien une bosse très dure sur mes fesses. Je savais pertinemment qu’il bandait très fort et j’étais fière de savoir que c’était moi qui l’excitais autant. Il malaxa mes mamelles de longues minutes. Puis soudain, il me demanda de me rhabiller et me guida jusqu’à la porte. Sachant que j’étais en vacances pour deux semaines, il me demanda de revenir le voir dès que possible.

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