Elle se cambra sur son fauteuil, avant de jouir dans ma bouche, abondamment. J’aspirais tout, je nettoyais bien tout partout avant de ressortir de sous sa robe, juste pour le final. Elle mit du temps, beaucoup de temps à se remettre de ses émotions, mais elle était heureuse, enfin. La tristesse avait disparu de son beau visage, elle était rayonnante. Ses amies, qu’elle retrouva sur les marches en sortant, lui firent la même remarque.
Elle resplendissait de bonheur. Aussitôt, elle mit cela sur la maitrise des artistes qui avaient si bien interprété leurs partitions, moi-même étant considérée comme une artiste qui avait su la faire vibrer de l’intérieur, mais cela, elle le garda pour elle. Pour finir la soirée, elle m’emmena dans un café pour manger comme prévu mais je n’avais franchement pas faim. Comme elle, je pris un thé et une pâtisserie. Nous sommes restées des heures à discuter, jusqu’à la fermeture. Elle insista pour que je dorme chez elle et que nous mangions ensemble le lendemain midi.
Ses enfants étaient partis en weekend (de l’Ascension) et son mari partait les rejoindre, seul, le lendemain de bonne heure. Elle ne voulait pas rester seule et tenait à me remercier encore de la fabuleuse soirée que je lui avais faite passer. Devant son insistance, j’acceptais et j’envoyais un sms à ma mère pour lui dire où j’étais et que tout allait bien. Arrivées chez elle, elle m’accompagna jusqu’à la chambre de sa fille, ma cousine Sophie qui ne m’aimait guère, et elle alla se coucher à son tour.
Le lendemain, je fus réveillée par une douce caresse sur mes cuisses, de longs cheveux qui m’effleuraient. Encore dans un demi sommeil, je laissais faire, pensant que c’était Amélie, ma soumise, qui s’était levée avant moi et souhaitait enfin me réveiller comme je l’ai souvent fait pour elle. Puis, d’un coup, sans bouger, sans ouvrir les yeux, je compris. Je continuais à faire semblant de dormir pour la laisser prendre l’initiative.
Quand elle arriva en haut de mes cuisses, elle écarta la fine bande de tissu et commença sa caresse. Je posais ma main sur sa tête pour lui dire qu’elle pouvait continuer, qu’elle devait continuer. Un temps d’arrêt, puis elle recommença, doucement, tendrement. Malhabile un peu mais douée quand même. Je suppose que c’était sa première fois. Je soulevais le drap pour la voir enfin. Elle était nue, sous une nuisette en satin bleu, transparente, magique. Une telle vision érotique me fit frissonner de plaisir. Pensant que c’était sa caresse qui me faisait de l’effet, elle redoubla d’effort et parvint à faire grimper le désir en moi.
Doucement, je me tournais sur le lit et l’obligeais aussi à se tourner afin de faire un 69. Elle comprit et souleva sa jambe et je me glissais entre ses cuisses, sans qu’elle n’interrompe sa caresse, entre mes cuisses. Sa langue gagnait en assurance, en précision. Elle commençait à y prendre goût. Enfin en position, ma favorite, je pouvais donner libre cours à mes envies de toucher ce corps, de le faire vibrer de tous ses muscles. Je promenais ma langue sur toute la longueur de sa fente, humide à souhait, parfumée de l’amour.
Je pouvais enfin voir ses fesses et les caresser librement, malaxer ces deux globes majestueux, les serrer l’un contre l’autre puis les écarter au maximum. D’un coup, sans prévenir, j’enfonçais ma langue dans son cul. Surprise, elle arrêta de s’occuper de ma chatte et essayait de se libérer. Mais je la tenais bien et je continuais à entrer ma langue au plus profond de son cul. La surprise passée, (la honte ?), et voyant que rien ne m’arrêterait, elle finit par se laisser faire … et à ressentir du plaisir dans cette caresse particulière. Je lui nettoyais l’anus au plus profond tandis que mes doigts excitaient son clito, qui grossissait à vue d’œil. Elle reprit sa tâche et, pour ne pas être en reste, enfonça deux doigts dans mon cul après les avoir rentrés dans ma chatte, tout comme je lui avais fait, hier, en plein concert.
Le résultat ne se fit pas attendre. Je jouis dans sa bouche sous l’effet de la surprise et ce fut son tour, juste après, de jouir aussi mais sans retenue cette fois. Nous étions seules et personne n’entendit son cri de jouissance. Je repris mon travail de nettoyage sur les plis de sa chatte, boire tout son nectar, n’en perdre aucune goutte. Après quelques minutes, elle en fit de même avec ma chatte, puis on s’allongea l’une près de l’autre, pour profiter pleinement de l’instant présent. Je ne pouvais détourner mon regard d’elle, son visage si doux, ses formes généreuses, sa poitrine, hummmmmm sa poitrine que je ne peux m’empêcher de caresser, encore et encore.
Au bout d’un très long moment, je demandais la salle de bain pour prendre une douche, avant d’aller déjeuner. Elle se leva et m’accompagna, prépara des serviettes et, au moment de sortir, se ravisa, ôta sa nuisette et rentra avec moi sous la douche. Moment magique encore une fois, je la lavais partout et elle en faisait de même, pour notre plus grand bonheur à toutes les deux. Après le lavage vint l’essuyage et là encore, je restais plus longtemps qu’il n’aurait fallu sur ses fesses et sa poitrine, tout comme elle, avec ma chatte et mes fesses. Puis, elle déposa un long baiser sur chacun de mes tétons et, là, je faillis fondre encore. Je l’aidais à préparer notre repas, puis nous sommes restées longtemps à discuter avant qu’elle ne me ramène à la gare.
Au moment de nous séparer, elle m’offrit ses lèvres pour la première fois. Encore aujourd’hui, je n’ai pas perdu le goût de sa bouche et il me tarde de la revoir. Je n’arrive pas à comprendre comment un homme, son mari, peut la délaisser à ce point, une femme merveilleuse et qui souffre d’un manque d’attention de ses proches, mari et enfants. Je savais que je la reverrai, très bientôt, pour profiter encore de son corps si généreux. Un corps fait pour être adulé.