Je n’en doutais pas une seconde mais je voulais qu’elle m’offre cette vision fantastique d’une jeune femme soumise, en attente de caresses, de plaisir. Elle le fit sans hésiter, sans doute s’était-elle préparée mentalement avant de sonner à ma porte. Elle gardait cependant la tête baissée. Je posais deux doigts sous son menton pour qu’elle relève la tête. Je la regardais droit dans les yeux en lui réaffirmant.
« Tu es une très belle jeune femme, Fatiha. Tu dois absolument t’en convaincre. Et surtout, tu dois être fière de ce corps splendide. Garde la tête haute en toute circonstance. Tu m’offres ton corps et je vais l’honorer comme il se doit ».
Un frisson la parcourut alors.
« Ne t’inquiète surtout pas. Je connais les limites. Je respecterais ta virginité. Je connais un peu les règles imposées par ta religion. Je te respecte trop pour aller au-delà de ces limites ».
Rassurée, elle me sourit tendrement.
« Tourne-toi, s’il-te-plaît. Remonte ta jupe jusqu’à tes reins, que j’admire à nouveau ton joli fessier. Tu es vraiment sublime, Fatiha. Une vraie déesse ».
« Reste comme ça et avance jusqu’au canapé, ma belle. Oui, j’adore te voir bouger. J’aurais aimé pouvoir filmer cet instant unique pour me le repasser en boucle, quand tu ne seras plus là. Voilà. Tu y es. Garde ta jupe relevée et assieds-toi au bord du coussin. Bien. Tu peux relâcher ta jupe et poser tes mains derrière toi. Laisse-moi te faire découvrir de nouvelles sensations. Des plaisirs inégalés. Tu vas adorer, j’en suis certain ».
J’arrêtais enfin de parler pour me concentrer sur ce qu’elle attendait de moi. Son premier cunni. J’approchais ma bouche de ses cuisses grandes ouvertes, soufflais légèrement pour la faire frissonner. Puis ce sont mes lèvres qui se sont posées sur sa peau. Elle était douce, soyeuse. Inexplorée. Je mesurais la chance que j’avais de visiter son jardin d’Eden. Je léchais tendrement, appliquais de petits bisous tout en remontant vers sa grotte intime.
Puis je lissais les poils de son pubis, pas très nombreux, avec ma langue. Je léchais sa peau mate juste à côté de ses lèvres intimes, sans les frôler. Je tournais la langue autour de son clito, sans le toucher non plus. Je jouais avec son corps, avec ses désirs les plus inavouables. Je la sentais vibrer sous mes doigts. Sous ma langue.
Enfin, elle se redressa d’un bond et força ma bouche contre son intimité. C’était elle la demandeuse. J’aspirais alors ses lèvres, tentais d’immiscer ma langue entre elles, glissais voluptueusement vers son clito qui s’érigeait fièrement désormais. Un petit coup de langue et elle connut son premier orgasme.
Doucement, elle lâcha ma tête pour reposer ses mains derrière elle. Ma langue se promenait allègrement sur sa fente, jusqu’à l’anus que je voyais frémir quand je m’en approchais. Je relevais ses jambes très haut. Pour garder cette position, elle posa ses mains derrière ses genoux et se cambra pour m’offrir l’intégralité de son intimité. Je jouais maintenant avec son petit trou. Ma langue tournait autour, tentais de s’insinuer à l’intérieur.
Très réactive à ces nouvelles sensations, elle acceptait tout ce que je lui faisais. Ma langue entra finalement dans son trou serré. Quelle douce sensation de pénétrer cette partie si sensible de son anatomie ! Je faisais aller et venir ma langue à l’intérieur. Elle soufflait très fort, semblant chercher sa respiration. Je remontais un peu plus haut, léchais son périnée avant de m’introduire dans sa chatte.
Oh ! Pas très loin, je vous rassure. Je voulais juste lui faire découvrir la sensation d’une pénétration. Vu sa position, ma langue pénétra jusqu’à son hymen, encore intact. Sur ce point-là, je n’avais aucun doute. Je m’occupais ensuite exclusivement de son bouton d’amour. Je le léchais, le suçais, l’aspirais. Parfois je le titillais en donnant de petits coups avec ma langue.
Elle s’abandonna à son second orgasme. Ma bouche fut emplie de sa cyprine. J’avalais tout, avec délices. Je faisais tout pour prolonger son plaisir, sachant que, pour une première fois, elle ne pourrait sans doute pas en supporter plus. Je l’admirais pendant qu’elle jouissait merveilleusement. Je glissais mes mains sous son pull, sous son tee-shirt, et remontais vers sa délicieuse poitrine ferme.
Ses tétons étaient durs, comme du bois. Je les excitais un peu plus à travers le tissu du soutien-gorge. Elle relâcha ses jambes qui se posèrent sur mon dos. Habilement, elle dégrafa son soutif, me donnant ainsi libre accès à ses seins magnifiques. Je caressais et malaxais ses belles rotondités, gorgées de plaisir. Elle ronronnait comme une petite chatte en chaleur et ses yeux me remerciaient de tout le plaisir qu’elle venait de ressentir.
Nous avions, depuis quelques jours déjà, dépassés le stade de la simple relation professeur/élève. Aujourd’hui, nous venions de passer un cap supplémentaire, de amis, nous devenions amants. Je n’avais nullement cherché cette situation, je l’avais subie, comme une évidence. Un fait inéluctable. C’était de son propre chef qu’elle s’était offerte. Il est impossible pour un homme, normalement constitué, de refuser de telles propositions.
Comme la veille, je l’aidais à se rajuster quand elle eût repris des couleurs. Nous devions tout de même étudier un peu, c’était la raison principale de sa présence chez moi. Et, en tant qu’enseignant, je devais changer d’attitude pour qu’elle se remette au travail. Elle l’a très bien compris, même si elle semblait réticente légèrement. Souhaitait-elle jouir encore ?
Certainement. Mais il fallait bien séparer le travail du plaisir et c’était mon rôle de gérer les deux situations opposées. Fatiha était suffisamment intelligente pour comprendre cela. Nous avons étudié une petite heure avant qu’elle ne rentre chez elle. À la porte, je lui fis deux bises sur les joues, tout comme avant. Elle sembla s’en contenter. À peine avait-elle fait un pas sur le palier qu’elle se retourna pour se jeter dans mes bras.
Ses lèvres cherchèrent les miennes et je les lui abandonnais volontiers. Comment voulez-vous résister à cette jeune femme, assoiffée de désirs ? Je l’ai de nouveau attirée à l’intérieur de mon appartement, inutile de se faire surprendre par un voisin, ou pire, par son père ou quelqu’un de sa famille. C’est en la voyant reprendre les escaliers que je me rappelais qu’elle était cul nu sous sa jupe longue.
J’osais l’imaginer avec une jupe beaucoup plus courte, et moi la suivant dans les escaliers. Vision de rêve, s’il en est. La semaine avait été si captivante que j’en avais presque oublié le calendrier. Nous étions déjà le dernier jour de l’année et à l’aube d’une nouvelle.