Toutes ses barrières étaient tombées, presque toutes. Elle était prête à aller plus loin, à demander plus encore. Elle avait une totale confiance en moi et elle savait désormais qu’elle pourrait tout me demander, aborder n’importe quel sujet, y compris la sexualité, l’homosexualité. Son amie Alexia avait choisi de faire confiance à Dylan, le jeune homme dont elle était secrètement amoureuse et avait été humiliée. Elle-même me faisait confiance à son tour et je l’aidais à découvrir son corps, sa sexualité.
Je ne cessais de titiller son clito, même et surtout quand l’orgasme la submergea. Ma seconde main s’aventura sous son pull, sous le tee-shirt qu’elle portait à même la peau. Justement, sa peau que mes doigts effleuraient était douce, et chaude, et tendre. Frissonnante par moments. J’atteignis rapidement sa voluptueuse poitrine qu’elle m’abandonna entièrement. J’étais aux anges.
C’était devenu un de mes fantasmes depuis qu’elle s’était blottie entre mes bras, il y a quelques jours seulement. Aujourd’hui, je sentais ses fesses se frotter sur ma queue tandis que je la doigtais d’une main et que l’autre caressait sa merveilleuse poitrine. Je ne comptais plus les orgasmes successifs qui l’avaient emportée. Elle semblait dormir parfois, mais son corps se tendait magnifiquement à chaque nouvel orgasme.
Elle était totalement à ma merci, j’aurais pu lui demander n’importe quoi, je suis persuadé qu’elle aurait tout accepté. Mais, même si je voulais plus que ce qu’elle me donnait à ce moment précis, je tenais à ce que ce soit elle-même qui me le demande, qu’elle soit la demandeuse, quitte à me supplier. Non, j’exagère là, un peu. Lol. Mais il n’était pas question de la violer, d’aller au-delà de ses envies.
Mes deux mains caressaient maintenant sa poitrine, directement à même la peau. J’avais pris soin de rabaisser sa jupe sur ses cuisses, même si je ne pouvais rien voir de ma position. J’avais uniquement aperçu son joli fessier quand j’avais ôté sa culotte avant de l’asseoir sur mes genoux.
Après un ultime orgasme, elle tourna vers moi son visage angélique qui semblait me supplier. Sa petite bouche entrouverte était un appel à un baiser. Je ne refusais pas de la combler une fois encore. Nos bouches se joignirent, comme attirées par un désir invisible. Sa langue pénétra ma bouche la première. J’étais véritablement aux anges. Mes mains continuaient de pétrir sa délicieuse poitrine pendant ce long baiser.
Elle semblait très heureuse, ma jeune élève. Après les matières académiques, je lui enseignais la sexualité, je l’aidais à se découvrir elle-même. Pour mon plus grand plaisir à moi aussi. Cela faisait maintenant plus de deux heures qu’elle était venue chez moi. Jamais elle n’était restée si longtemps. Je lui indiquais l’heure sur l’horloge du salon.
Elle se leva à regret pour remettre ses vêtements à leur place, son soutif principalement. Elle osa enlever son tee-shirt pour l’agrafer de nouveau. J’avais, pour la première fois, une parfaite vision de sa merveilleuse poitrine. Après l’avoir caressée, puis admirée, je l’aidais à se rhabiller. Au moment de renfiler sa culotte, elle s’aperçut que ses cuisses étaient mouillées.
« Si tu veux bien que je t’aide là encore ? »
Sans attendre sa réponse, je m’agenouillais devant elle, lui demandant de maintenir sa jupe relevée. Je passais ensuite la langue délicatement sur ses cuisses, remontant jusqu’au centre de celles-ci. Quelques coups de langue sur sa fente pour bien la nettoyer.
Je l’ai sentie frémir sous cette nouvelle caresse. J’ai saisi sa petite culotte en coton et je lui ai enfilé, jusqu’à cacher sa délicieuse fente. Me relevant, je lui précisais que, pour les caresses buccales, on verrait cela un autre jour. Sa maman devait l’attendre pour l’aider avec ses frères et sœurs. Ses yeux me suppliaient.
« Tu reviens quand tu veux. Pour les cours, et pour la suite de la leçon, si tu le souhaites ».
« Demain ? » Demanda-t-elle aussitôt.
« D’accord pour demain. Si c’est vraiment ce que tu veux, tu descendras sans culotte sous ta jupe ».
Je l’ai vue rougir immédiatement mais je savais pertinemment qu’elle le ferait, sans hésiter. Elle n’avait rien à craindre, juste deux étages à descendre. Si je lui avais demandé de prendre les transports en commun ou bien d’aller au lycée sans culotte, pas sûr qu’elle aurait accepté. Quoique ! Je convenais avec elle d’une heure précise avant de la regarder s’éloigner.
Je rentrais plus tôt le lendemain, pas beaucoup de travail pour la dernière semaine de l’année. La plupart des agents sont en vacances ou en récupération. Quand on sonna à ma porte, je m’attendais à trouver ma jeune élève, seule. J’avais totalement oublié le rendez-vous pris avec son amie, Alexia. Elles étaient là toutes les deux, Alexia plus rayonnante que jamais, Fatiha semblait plus contrariée de la présence de son amie.
Je dois dire que je la comprenais parfaitement. Tout ce qu’elle avait prévu ne serait que partie remise. Puisque son amie était venue pour voir les retouches sur ses photos, nous sommes allés directement dans le bureau. Comme la dernière fois, Alexia s’assit sur mes genoux, cette fois, elle était habillée. Fatiha se serra à ma gauche.
J’osais une nouvelle fois glisser ma main sous sa jupe, direction ses fesses. Elle ne fit rien pour m’en empêcher, bien au contraire. Arrivé suffisamment haut, je cherchais la limite de sa culotte. Sans la trouver. Elle était venue cul nu sous sa jupe. Ma main a empaumé sa fesse droite, puis la gauche. Je malaxais avec délices ses deux belles rotondités. Alexia accepta que je publie les photos retravaillées dans un portfolio.
Je lui donnais l’adresse du site qu’elle renseigna dans son téléphone portable. Elle était réellement ravie du résultat. Je lui parlais à ce moment de l’exposition de certaines de ses photos dans le hall de son lycée. Elle était déjà un peu plus réticente. Mais je réussis à la convaincre, avec l’aide de Fatiha. J’avais réussi à lui redonner confiance en elle, en sa beauté. Et, petite victoire, elle allait retourner au lycée à la rentrée.
Pour me remercier, et je pense que cela lui faisait plaisir à elle aussi, elle me proposa de revenir faire d’autres séries de photos, nue ou habillée. J’acceptais volontiers. À la condition que Fatiha soit présente elle aussi. J’avais compris qu’elle aimait admirer le corps nu de sa copine. Les deux filles repartirent ensemble. Fatiha accompagna son amie jusqu’à la porte de l’immeuble. Elles restèrent à discuter avant de se séparer. Puis elle remonta directement chez moi. Je la fis entrer et, une fois la porte refermée, je lui demandais de relever sa jupe, afin de constater de visu qu’elle était bien nue dessous.