Cochon qui s’en dédit (20/20)

Il ne manquait plus qu’Alysson et Yohan pour reformer l’ancienne cour de la Reine. Désespérée, et se sentant rejetée, Alysson se rapprocha de nous également. Mais j’avais envie de lui faire payer les semaines où elle m’avait ignorée. Je ne suis pas rancunière habituellement, mais je déteste qu’on me prenne pour une conne.

Sortie de deux heures de maths, j’allais aux toilettes pour boire un peu d’eau. Alysson entra aussi mais se dirigea vers les cabines. La seule qui était libre était la cabine pour handicapé. Elle y entra et je la forçais à me laisser entrer. Les autres cabines étant occupées, elle me laissa faire pour ne pas créer un scandale.

Je pris place sur le siège, couvercle baissé, elle resta debout, face à moi. D’un geste, je lui ordonnais de relever sa jupe. Depuis le départ précipité de sa meilleure amie, elle n’avait plus eu de relations saphiques. Et cela semblait lui manquer terriblement. C’est avec un vrai soulagement qu’elle s’exécuta. Deux petites tapes sur l’intérieur des genoux pour l’obliger à les écarter plus.

Elle se dandinait sur place, partagée entre l’envie de caresses et l’envie de pisser. C’était bien pour ça qu’elle était là. Je baissais sa culotte, très lentement, pour redécouvrir sa jolie chatte. Le vêtement au sol, je commençais à la doigter tendrement. L’envie de pipi était de plus en plus pressante.

Tout en la caressant, je commençais à siffloter entre mes lèvres. Le sifflement imitait le bruit d’un liquide qui coulait, d’une vessie qui se vidait. Très vite, cela devenait intenable pour elle. Elle était prête à se pisser dessus, et sur mes doigts. Je me levais juste à temps pour lui laisser la place. Je m’étais placée entre ses genoux pour les écarter au maximum. Je la repoussais en arrière et commençais à peloter ses seins. Elle redevenait la soumise qu’elle était avec Chloé mais cette fois-ci, c’était ma soumise.

Elle avait fini de pisser mais restait sans bouger entre mes mains. Je lui ordonnais de s’essuyer avant de s’accroupir devant moi. Les autres cabines étaient vides, maintenant. Inutile de lui préciser ce que j’attendais d’elle. Elle écarta le tissu de ma culotte pour m’offrir un merveilleux cunni. Sa maîtrise, mais aussi la situation, firent que je jouis très rapidement.

Je l’aidais à se relever pour récolter sur ses lèvres les dernières traces de ma jouissance. La cloche sonna, elle n’avait pas le temps de remettre sa culotte, juste se rajuster au niveau de sa poitrine. Elle sortit devant moi, je la voyais tortiller du cul, et je savais pourquoi. Le tissu de sa jupe lui frottait sur la peau et devait l’exciter.

Dans les escaliers, je relevais sa jupe jusqu’à la taille. Elle se défendit mollement, surtout après avoir remarqué que personne ne pouvait voir.

« Imagine que c’est Yohan qui nous suit quand je remonte ta jupe. Il pourrait admirer ton joli petit cul, et ta fente dégoulinante. Car je suis certaine que tu es trempée en imaginant cette scène ». Son visage rougissant me le confirma. Mon doigt alla récolter un peu de nectar que je goûtais avec délices. Toujours aussi délicieuse, Alysson.

Pour le cours suivant, nous étions assises côte à côte, devant. J’étais plutôt bonne en anglais mais ce nouveau professeur ne semblait pas du tout m’apprécier. Il avait toujours une remarque désobligeante à me faire. Pareil pour les notes, je voyais bien que je n’étais pas notée sur la valeur de ma copie, mais bien à la tête du client.

Quand on est élève, on n’a pratiquement aucun moyen de se défendre contre une injustice venant d’un professeur. Je subissais donc ses sarcasmes. Quand il posait une question, je levais la main pour répondre mais jamais il ne me donnait la parole. Bien sûr, si l’élève interrogé se trompait, je lui faisais comprendre que moi, j’avais la bonne réponse. C’est sans doute cela qu’il n’appréciait pas chez moi.

Mais aujourd’hui, j’avais envie de le déconcentrer. J’obligeais Alysson à garder les cuisses bien ouvertes. Elle me résista un peu, au début, mais finit par obtempérer. Il ne remarqua pas immédiatement sa position. Quand il était debout au tableau, l’angle de vue ne permettait pas de voir sous le bureau.

Mais, assis à son bureau, il fut attiré par les jambes qui bougeaient. Je voyais bien qu’il essayait de voir plus loin. À un moment où il ne regardait pas, je relevais la jupe jusqu’à la taille. Maintenant, il ne pouvait plus ignorer qu’elle était nue sous sa jupe. Il devait bien voir son anatomie qui devait briller de mouille.

Il se leva pour écrire un mot au tableau. Je chuchotais a à l’oreille d’Alysson de se caresser doucement. Ses yeux brillaient d’excitation. Mr Pilchard s’est retourné à ce moment-là  et il ne pouvait rater cette occasion de m’humilier encore une fois. De retour à son bureau, je savais que j’allais y avoir droit.

« Je vois que Hortense a mieux à faire que de suivre le cours. Racontez donc à tout le monde ce qui est plus important que mon cours ».

Il se tordait sur sa chaise pour apercevoir la main d’Alysson qui fourrageait entre ses cuisses.

 » Je disais à Alysson que vous sembliez très concerné par ce qui se trouvait sous notre bureau. Oui, nous sommes en jupe, aujourd’hui, mais cela ne vous donne aucun droit de regarder nos cuisses. Essayez de voir notre culotte, de voir si on en porte bien une. N’est-ce pas, Mr Pilchard ?  »

Il se redresse rapidement mais il ne put s’empêcher de rougir. Pris sur le fait de voyeurisme. Tous les élèves savaient que j’avais raison, vu la façon dont il s’était redressé sur sa chaise. Il ne savait plus quoi dire, ou faire. Seule possibilité, la fuite.

Il se leva et sortit précipitamment. La bosse qui déformait son pantalon était impressionnante. Et bien visible.

« Et en plus, ça le fait bander de nous mater, c’est un vrai pervers ».

S’en était trop pour lui, il claqua la porte en sortant, sous les huées de mes camarades. Je savais que mon intervention me vaudrait une visite chez le proviseur, mais cela en valait vraiment le coup.

J’étais devenue en quelques minutes la star de ma classe. Tous vinrent me féliciter pendant la récréation de mon intervention. D’ailleurs, s’il n’avait rien à se reprocher, il aurait répliqué immédiatement. Sa fuite elle-même était un aveu. Devant plus de trente témoins.

Les nouvelles, celles qui restaient dans leur coin, de joignirent elles aussi au groupe qui m’entourait constamment. Les mecs, Yohan en tête, n’eurent plus de choix possible. Ils devaient également s’intégrer au groupe.

La plus heureuse de son arrivée parmi nous, ce fut …

Alysson

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *