Août 2019 (02/04)

Par contre, elle appréciait énormément la queue qui continuait à grossir en elle, comme gonflée par une pompe. Elle ignorait que son mari tenait ce rôle.

Luis s’enfonça un peu plus dans le fondement qui, somme toute, n’attendait que ça. Il glissa sa queue entièrement dans le cul tendu vers lui. Puis, doucement, il commença les va et vient. En poussant, il forçait Fernand à s’enfoncer au plus profond de sa femme qui, enfin, comprit ce qui se passait.

Elle encouragea son mari à donner de grands coups de rein pour ressentir en elle les effets que cela provoquait chez Fernand. Luis fut le premier à éjaculer dans le cul accueillant de son complice. Éjaculation qui provoqua celle de Fernand. Et donc, celle d’une Inès qui n’avait jamais rien ressenti d’aussi fort.

Invariablement, leurs soirées se finissaient ainsi, un homme pris en sandwich entre la femme et son mari. Celle qui restait seule se faisait lécher par l’autre femme, ou bien se doigtait en admirant le spectacle. Ou bien, prenait quelques photos.

Nous n’étions que trois, et Agathe avait pris le rôle joué habituellement par Luis. Et Fernand appréciait énormément l’initiative de sa femme. Jamais il n’avait osé le lui demander. Mais il savait que, désormais, plus besoin de demander, Agathe connaissait suffisamment son mari pour comprendre ce qu’il attendait d’elle.

J’ai joui comme jamais avant cela quand enfin, le mâle a déversé son plaisir dans mon cul. Il m’a fallu plusieurs minutes pour reprendre pied dans la réalité après cet orgasme tonitruant. La fraîcheur, toute relative, nous a fait rentrer. Agathe m’a emmenée dans sa chambre, couchée sur son lit. Et m’a pénétrée d’une seule poussée. Et j’ai adoré ça.

Sous les yeux de son époux qui reprenait de la vigueur. Il a fourré sa queue dans ma bouche pour que je le fasse durcir un peu plus, afin de pouvoir, à son tour, prendre le cul de sa femme. Agathe cessa ses va et vient. C’est Fernand qui maintenant donnait le rythme.

Un rythme soutenu, c’est vrai. Mais j’appréciais également la cavalcade qu’il nous imposait. Il finit par se vider une seconde fois dans un cul, celui de sa femme cette fois-ci, et pour une fois, sans capote. Agathe et moi avions joui depuis déjà quelques minutes.

Petite aparté pour préciser que tous les rapports se font sous protection. Seuls les couples osent encore baiser sans préservatif. Même si j’ai confiance en mes partenaires, je me dois de me protéger.

Le dernier week-end du mois d’août, mes parents avaient invité la famille de mon frère et moi-même, ainsi que le frère de ma mère, mon oncle Roger, pour un repas familial. C’était devenu presque une tradition, ce dernier week-end des vacances. Il faut préciser que c’était aussi le dernier jour des fêtes de la
Saint-Fiacre, une fête foraine et commerciale organisée tous les ans dans la commune.

J’étais heureuse de revoir mon fils, Dylan, mais lui était super content de retrouver ses cousines, Célia et Élisa, cette dernière étant de son âge. Je revoyais avec plaisir mon grand frère et sa femme, Ingrid. Elle était un peu trop mère poule à mon goût. « Madame Parfaite ». L’ambiance était chaleureuse et, l’alcool aidant, tonton Roger commença à sortir des histoires un peu graveleuses. Personne n’osait l’interrompre mais seule Ingrid semblait affectée par les anecdotes.

Il l’avait fort bien remarqué et c’est toujours en la regardant qu’il lançait des allusions de plus en plus précises. Surtout quand personne ou presque ne pouvait entendre. Nous sommes tous allés à la fête foraine. Les enfants étaient ravis et très excités. Tonton Roger restait très près d’Ingrid et je voyais parfois sa main se poser sur sa hanche, sur sa fesse. Elle la repoussait très vite, au début.

À un moment, il posa carrément sa main sur ses fesses et, au lieu de la repousser comme précédemment, elle se retourna pour constater que j’étais la seule derrière eux, et que je regardais ailleurs. Nous étions en pleine rue et d’autres personnes se dirigeaient vers le champ de foire où se situait la fête foraine et les animations commerciales. Exposition de véhicules, de matériel agricole, etc…

Plus loin, dans la foule, il osa de nouveau lui peloter les fesses. Je pense même qu’il a réussi à caresser ses seins. Et elle qui se laissait faire. J’étais très excitée par cette situation, mais certainement pas jalouse. J’avais déjà eu l’occasion de profiter des caresses de mon tonton, mais j’étais bien plus jeune. Je savais que c’était un beau parleur et je le voyais sans cesse se pencher vers sa proie. Lui murmurant sans doute ce qu’il aimerait lui faire.

Ma mère, qui s’occupait très bien de mon fils, resta près du manège pour enfants, avec Jérôme, mon frère, qui les prenait en photo. J’étais dans un stand tout près, jouant avec des jetons qui, bien placés, en faisaient descendre d’autres, voire même des lots à gagner directement. Ingrid, près de moi, semblait très intéressée. Roger acheta un gobelet rempli de jetons et l’amena vers une autre machine, un peu à l’écart. Il se plaça derrière elle pour la guider, lui apprendre à calculer le bon moment où lâcher le jeton. Il se frottait contre ses fesses et je crois bien qu’elle adorait cela, de sentir désirée. Plusieurs fois, je le vis remonter ses mains pour englober les gros seins de sa victime consentante.

Il regardait autour de lui, s’aperçut que je l’observais, mais il me fixa intensément en continuant à peloter les seins d’Ingrid. Il semblait me dire que ce sera bientôt mon tour. Il me regardait toujours quand j’ai bien vu sa main disparaître sous la robe d’Ingrid, entre ses cuisses qu’elle ouvrit un peu plus. Il était en train de la doigter et elle se laissait faire honteusement.

Mon père et Roger ont toujours été très proches, surtout depuis son divorce. Ils étaient tous les deux des mordus de pêche à la ligne et Roger avait réussi à acheter un terrain avec un étang et un cabanon de pêche. Mon père avait souvent été invité à aller pêcher là-bas.

Cet après-midi-là, mon père nous avait suivi et jouait lui aussi sur une autre machine, pratiquement face à moi. Mais quand il s’est rendu compte de ce que faisait Roger avec Ingrid, il ne les lâcha plus des yeux, fixant les mains baladeuses.

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