« Ma petite Lauryn. Vous avez remarqué, bien entendu, que je vous ai vus, avec mon fils. Vous êtes adulte et vous pouvez faire ce que vous voulez de votre corps. Mon fils aussi est majeur, mais c’est plus récent. Je ne voudrais pas qu’il s’imagine des choses, ou bien vous ».
« Aucune inquiétude à avoir avec moi, votre fils ne m’intéresse pas plus que ça. C’est clairement une aventure pour moi, et pour lui aussi. Il me l’a dit. Il sait parfaitement qu’il va partir loin pour ses études et il souhaite juste m’aider. Et joindre l’utile à l’agréable ».
« C’est très bien comme ça. Vous savez être raisonnables, l’un comme l’autre. Je souhaite simplement qu’il ne souffre pas trop au moment où il devra partir ».
Elle fit un pas vers moi, presque collée à moi. Je reculais d’un pas mais du coup, je fermais et bloquais la porte. Elle revint se coller à moi mais cette fois-ci, les mains en avant. À hauteur de mes seins. Qu’elle empoigna.
» Il semblait particulièrement apprécier ta poitrine ».
Le fait de passer au tutoiement suffisait à me faire baisser les yeux. Je la laissais ouvrir mon corsage, défaire les boutons un par un. Puis dégager mes épaules pour le descendre jusqu’à mes coudes, joints dans mon dos. Et finalement dégrafer mon soutif. Après le fils, c’est devant la mère que je m’exhibais. Elle tritura mes tétons qui réagirent immédiatement. Je pointais dur et cela semblait l’exciter encore plus.
Elle pinça mon téton, le tournant dans un sens puis dans l’autre. C’était excessivement douloureux mais mon corps réagissait bizarrement. Au lieu de me plaindre de cette douleur, je gémissais, ronronnais comme une chatte en chaleur. Et entre mes cuisses, j’étais déjà inondée.
« Oh oui. Maintenant, je comprends mon fils. Avec une poupée comme toi, les jeux sont très excitants. Il y a longtemps que tu le laisses toucher tes seins ? »
« Oui, Madame. Cela fait quelques semaines qu’il a commencé. Dans la salle des archives, pour être exacte. Vous vous rappelez que vous l’avez envoyé pour m’aider. Je pensais qu’il se lasserait rapidement mais, au contraire, cela n’a fait qu’empirer. Il en voulait toujours plus. Jusqu’à aujourd’hui. Madame « .
Elle continuait à triturer mes seins, les tétons. J’avais une question qui me taraudait l’esprit.
» Madame … Vous n’allez pas l’empêcher de … Continuer ma formation ? »
« Et la sienne, surtout ».
Je rougis comme une pivoine.
« Mais non. Je ne vais rien empêcher. Je trouve qu’il a beaucoup mûri depuis quelques jours et je sais maintenant pourquoi. Et grâce à qui. Vous allez donc continuer mais tu devras tout me dire ».
« Oui, Madame. Merci Madame. Je ferais comme vous le souhaitez ».
« A-t-il déjà mis ses mains sous ta jupe ? »
Une hésitation.
« Oui, Madame ».
« Aujourd’hui ? »
« Il a déjà osé caresser mes fesses. Dans ce bureau. En votre présence. Mais aujourd’hui, c’est la première fois qu’il la mettait devant. Sous ma culotte ».
Un ordre.
« Soulève ta jupe ».
Je la soulevais aussitôt.
Elle put à son tour constater à quel point j’étais excitée. Elle n’hésita pas une seconde à glisser sa main dans ma culotte. Puisque son fils y avait eu droit, elle estimait qu’elle pouvait elle aussi en profiter. Et d’ailleurs, je ne l’en empêchais pas.
» Il a mis des doigts, ok. Pas autre chose « .
« Oh non, Madame. Il ne m’a pas … »
« Baisée. Pas encore, je pense. Mais cela ne saurait tarder. Et ce n’est pas toi qui diras non. N’est-ce pas, petite salope ? »
« Non, Madame. Je le laisserais me … Si c’est bien ce que vous souhaitez « .
« Toi ou une autre. Mais plutôt toi qu’une autre « .
« Mais tu sembles regretter qu’il ne t’ait pas encore baisée « .
Je ne pouvais répondre à cette question mais mon corps parlait à ma place. Elle me poussa vers son bureau, posa mes bras dessus. J’étais donc penchée en avant, elle n’avait plus qu’à relever ma jupe sur mon dos, et baisser ma culotte. Elle enfonça un doigt, puis deux dans ma chatte dégoulinante. Un troisième se joignit à eux et elle me baisa longuement, pour la première fois.
Ce que le fils n’avait pas osé, la mère le finissait de belle manière. Elle changea de rythme plusieurs fois pour m’accompagner le plus loin possible dans mon orgasme. J’étais comblée, une nouvelle fois, et encore une fois par une femme. Ma responsable. Elle organisa ensuite mon planning des semaines à venir. Je resterais à sa disposition tous les matins. Formation les après-midis de lundi, mardi et vendredi.
Je gardais les après-midis du mercredi et du jeudi pour moi. Ouf. Je passais une très mauvaise nuit après cela. Qu’allait donc devenir ma vie, entre ma responsable et son fils, mon amant et sa fille, Albane, et Laura, et Clothilde ? Et encore Agathe et Fernand, Inès et Luis leurs amis, je me donnais à tous et y prenais chaque fois énormément de plaisir. Je cherchais jusque tard dans la nuit sans trouver de réponse.
Au matin, une seule évidence. Il n’était pas question d’abandonner mon travail. Encore moins Laura ou Jean-Jacques. Clothilde m’apportait aussi beaucoup de satisfaction. Pas question de changer quoi que ce soit. Je devais simplement accepter le fait que j’étais redevenue la jeune salope que j’étais à 16 ans. Lauryn la salope était de retour pour le plaisir de tous.
Ce fut beaucoup plus facile ainsi pour accepter mon sort. J’étais une soumise, prête à tout pour assouvir ses désirs. Homme ou femme, quel que soit l’âge, pourrait tout obtenir. S’il savait bien d’y prendre. Christiane fut la première à le constater, dès le lundi matin, dans son bureau.
Je lui amenais comme chaque jour, le courrier à signer avant de l’envoyer. J’aurais pu rester devant son bureau pour lui déposer le dossier. Mais je me plaçais juste à côté d’elle. Elle comprit immédiatement le message et sa main remonta sous ma robe.
J’écartais les jambes pour sentir ses doigts remonter entre mes cuisses, caressant l’intérieur, là où la peau est toute douce. Vu qu’elle avait besoin de sa main droite pour signer, elle me fit passer de l’autre côté et recommença à me caresser, remontant jusqu’à ma culotte. Je tournais une à une les pages du pupitreur afin qu’elle appose sa signature.
Elle jouait avec les bords de ma culotte, machinalement. Avant de me laisser partir, elle me dit tout de même.
« Cette culotte sera de trop cet après-midi ».
Je rougis une nouvelle fois mais ma fente s’humidifia aussi à cette pensée. Elle me fit la remarque, avant de me libérer, que j’avais effectivement progressé et que je devais persévérer. Je crois qu’elle parlait de ma formation pour le poste d’assistante. Enfin, j’espère.
Suivant ses consignes, c’est donc sans culotte sous ma robe que je me présentais devant le bureau 202, où Léandre m’attendait déjà. Un bisou sur chaque joue, mais déjà ses mains étaient posées sur mes hanches. Pour rapidement remonter vers ma poitrine.