Elle était justement appelée ce mercredi après-midi et, curieusement, me demanda de l’accompagner. J’étais un peu surprise mais, vu que j’avais prévu mon après-midi avec elle, que ce soit chez moi ou ailleurs … Sauf qu’elle ne pourrait pas faire ce qu’elle avait pris l’habitude de me faire. J’avais vécu déjà tant d’aventures qu’un peu de repos me ferait un bien fou.
C’est la nouvelle femme du père des jumelles qui nous ouvrit. Elle attendait avec impatience l’arrivée de Laura pour quitter cette maison où elle n’était guère appréciée. Juste par le papa des petites, en fait. Mais au fond, aucune importance pour elle, elle vivait la vie dont elle avait toujours rêvé. Et justement, c’était pour faire du shopping qu’elle avait demandé à Laura de garder les petits monstres, comme elle les appelait.
À voir ces deux visages angéliques, je me disais qu’elle exagérait. Une fois partie, les deux petites me proposèrent de boire un café. J’acceptais, évidemment et proposais mon aide. C’est Laura qui fit chauffer la boisson tandis que les jumelles préparaient le plateau. J’étais seule à boire du café, bien sûr, mais elles avaient aussi une tasse, vide, et faisaient semblant de m’accompagner.
Je me sentais calme, reposée. Trop calme. Je posais ma tasse et soudain, plus rien. Le trou noir. J’étais inconsciente. Je ne sus pas combien de temps je restais endormie mais je me réveillais avec les esprits embués, ne sachant ni où j’étais, ni ce que j’y faisais. Les idées pas encore assez claires pour m’inquiéter sur mon sort.
Parce que j’étais nue, totalement nue. Allongée sur un lit, apparemment, les pieds et les mains attachées aux quatre coins. J’avais une cagoule sur la tête, ce qui ajoutait à mon désarroi. Pas de bruit, aucun mot prononcé mais pourtant je savais que je n’étais pas seule. J’entendais faiblement respirer. Homme ou femme ? Je l’ignorais.
Un souffle, une caresse. Une bouche sur mon sein. Gourmande. Avide. Puis une seconde bouche sur mon autre sein. Qui me tète l’une comme l’autre. Mon corps réagit favorablement à ces caresses, mes tétons durcissent, prennent de l’ampleur. Mon sexe également s’humidifie.
Mes seins sont maintenant malaxés, par de petites mains. Et toujours sucés, par de petites bouches. Oh mon dieu ! Je me souviens enfin. Laura, les jumelles. À ce moment précis, une bouche s’empare de ma chatte et récolte les prémices de mon plaisir. Cette bouche, c’est forcément Laura.
Mon esprit se révolte contre cette situation, je me dois de stopper tout ça. Mais mon corps réagit tout autrement, acceptant tout, réclamant plus. J’aurais voulu dire stop, j’aurais dû les arrêter mais les seuls mots que je pus prononcer furent :
« Encore … »
Je ne savais pas encore que j’avais été droguée par les petites pestes. Que Laura avait été forcée à leur obéir. La dose de somnifères qu’elles avaient utilisée, elles l’avaient déjà testée, sur leur belle-mère. Pour être tranquilles, la première fois. Puis, par jeu. Et c’est le mois dernier, lors de la réception pour leurs 10 ans, qu’elles avaient eu l’idée de ce piège.
Je les avais bien vues, murmurant en me regardant, mais je n’imaginais pas que l’on puisse être aussi perverses à leur âge. Car c’était bien de perversion dont il s’agissait. Depuis septembre dernier, Laura avait dû subir tous leurs caprices. Elle avait gentiment accepté de les laver, une fois.
La semaine suivante, elle avait dû se déshabiller entièrement pour les rejoindre dans la baignoire. Les petites filles s’étaient immédiatement intéressées à son corps, ses seins principalement. Les bisous d’abord, puis des caresses plus précises. Après le bain, elles s’essuyaient mutuellement. Autant dire qu’elles se caressaient.
Petit à petit, Laura prenait de plus en plus de goût à ces séances particulières. De victime, elle devint actrice. Demandeuse, même. Elle qui se caressait en solitaire depuis plusieurs mois, avait initié les deux jeunes filles à des caresses bien plus ciblées. Les filles, qui ne pouvaient rien ressentir, voyaient parfaitement à quel point leurs caresses faisaient de l’effet.
Elles avaient fini par dénicher, dans la chambre de leur belle-mère, un gode vibrant. Laura voulut bien leur expliquer comment cela fonctionnait, mais tenait à garder sa virginité. Ce qui frustrait énormément les jumelles.
C’est de cette frustration que leur était venue cette idée de choisir une femme, moi en l’occurrence, de la droguer suffisamment pour pouvoir en disposer comme elles le souhaitaient. Elles avaient récupéré les somnifères du papa, fait plusieurs tests sur leur belle-mère qu’elles détestaient.
J’avais enfin l’explication du changement de comportement de ma belle-fille. Et finalement, je ne lui en voulais pas trop pour le piège dans lequel elle m’avait fait tomber. Elle me répéta que, si elle ne pouvait m’attirer dans la maison, ce serait elle qui devrait subir les perversions des jumelles.
Donc, Laura avait commencé à me lécher et ma chatte libérait des flots de cyprine. Les deux petites s’approchèrent pour voir comment elle faisait car elles avaient remarqué que j’appréciais énormément. L’une d’elles se saisit alors du gode et commença à m’enfiler. Mon corps était incapable de résister à de telles sollicitations. Je mouillais encore plus pour accueillir l’intrus.
Elle le sortit pour le donner à sa sœur qui m’enfila à son tour. Laura les regardait faire, se disant qu’elle avait eu raison de m’attirer dans le piège des deux filles, plutôt que de subir un tel traitement. Je dois avouer que je la comprenais et lui pardonnais cette trahison. Ma fois, pas si désagréable que ça.
Laura se plaça au-dessus de ma bouche et je plus enfin lécher sa chatte délicieuse. Elle se frottait sur mon visage et je parvenais très rapidement à la faire jouir. Ce fut ensuite une des jumelles qui prit sa place mais elle ne ressentit pas le même plaisir que Laura. Pour se venger, elle reprit le gode et me baisa longuement sauvagement.
Ce qui la fit enrager encore plus, c’est que moi, j’y prenais du plaisir. Elle chercha autour d’elle un objet plus gros que ce gode pour me punir. Ne trouvant rien, c’est sa main qu’elle tenta de faire pénétrer. Ouverte comme j’étais, elle y parvint très vite. Je sentais ses petits doigts me caresser de l’intérieur, c’était divin. Après la première surprise passée, je jouissais de nouveau, abondamment sur son avant-bras.
C’est sa sœur qui voulut ensuite essayer de me fister. Ce qu’elle fit très facilement, entraînant une nouvelle vague de plaisir immense. J’étais à demi inconsciente après cette dernière jouissance. Laura recommença à nettoyer, sous les yeux des jumelles qui voulurent essayer elles aussi. J’étais détachée mais incapable de réagir.
D’ailleurs, je faillis jouir une nouvelle fois. Ce sont elles-mêmes qui me rhabillèrent, juste à temps avant le retour de leur belle-mère. J’acceptais de nouveau de boire un café avec elle, rassurée par un regard de Laura. Je discutais un peu avec elle, par pure politesse, mais elle n’était pas vraiment intéressante.
Sous l’insistance des jumelles, j’acceptais de revenir la semaine suivante. Sachant parfaitement que je serais de nouveau livrée aux caprices des jumelles perverses.