Cochon qui s’en dédit (09/20)

Le lendemain, je réussis à lui parler seule à seule. Je me proposais de l’aider en allant avec elle au parc. Elle me regarda, incrédule. Puis, voyant que j’avais compris, elle resta sur ses gardes. Habituée à être servie, elle s’étonnait que je veuille l’aider, sans contrepartie. Je la rassurais en lui disant que j’avais moi aussi des secrets à cacher que seules Alysson et elle connaissaient. Convaincue, elle accepta et me demanda.

« Ce soir, c’est possible ? »

Le parc était tout proche de chez moi et cela ne me posait aucun problème. Elle habitait plus loin mais elle était en manque. Elle me suivit à la maison, après les cours, pour poser son sac, et le mien. Puis direction le parc. Beaucoup de monde à cette heure-là. Des familles avec enfants, des personnes seules et des promeneurs avec leurs chiens.

Je connaissais parfaitement ce parc pour y avoir passé des après-midis entières. Un buisson, plus grand que les autres, avait une particularité. On pouvait s’y cacher, sans que personne ne nous voit de l’extérieur. On pouvait même rester debout, sans se frotter aux branches. Chloé repéra un gros chien qui semblait seul.

Elle le cajola un moment puis me suivit dans la cachette. Le chien la suivit à la trace. Il respira sa jupe. Elle la souleva. Il en profita immédiatement pour lécher sa culotte. Je me permis de lui baisser. Un râle de plaisir quand la langue atteignit son clito. Elle frémissait entre mes bras. J’étais passée derrière elle pour maintenir la jupe relevée. Et la soutenir, elle aussi.

Elle dut se mordre le poignet quand l’orgasme la saisit. Le chien, lui, continuait à lécher cette femelle qui lui offrait son nectar. Qui semblait inépuisable. Plus il léchait, plus il en coulait. Son maître l’appela.

Il était tout près de nous mais ne nous voyait pas. Le chien couina de rage de devoir laisser la femelle. Il courut rejoindre son maître, laissant Chloé à l’abandon. Son regard suppliant vers moi, je comprenais. Je commençais à la doigter quand un autre chien pénétra notre cachette. Il me renifla mais je gardais les cuisses serrées.

Chloé, par contre, était toute disposée à recevoir les caresses linguales. Il commença à laper la cyprine qui coulait abondamment. Elle se mit à jouir bruyamment, heureusement que personne ne passait à côté. Un autre chien nous rejoignit. Il nous tourna autour, réussit à glisser sa tête sous ma jupe et commença à lécher mes fesses.

Il se lassa en voyant que je n’écartais pas les jambes. Il se mit devant Chloé, bouscula celui qui la léchait pour prendre sa place. Regain de jouissance pour Chloé qui sentait que les mâles étaient prêts à se battre pour avoir l’honneur de son nectar. Puis les deux chiens se sauvèrent en même temps. Avaient-ils entendu l’appel de leur propriétaire ?

C’est un petit chien qui arriva ensuite. Avide de jouissance, Chloé posa ses fesses au sol pour être à la hauteur. La langue se mit en marche, rapide et disciplinée. Toute la chatte fut léchée plusieurs fois, le bouton d’amour surtout, car l’animal avait senti combien cela plaisait à la femelle. Un gros chien entra, faisant fuir le petit.

Chloé prit peur mais ne pouvait bouger. Il reprit le léchage pour le plus grand bonheur de mon amie. J’étais accroupie derrière elle et je caressais ses atouts mammaires. Je voyais le sexe rouge du chien qui sortait de la gaine. Chloé était prête à être saillie, le mâle le savait.

Il ne lui fallut que trois secondes pour se mettre en position et pénétrer la femelle. Juste le temps de mettre la main devant sa bouche pour atténuer son cri. Je l’aidais à s’allonger, position plus propice et moins risquée. Les griffes de ses pattes auraient pu labourer ses flancs, ses seins.

« Soulève tes fesses. Donne-toi totalement à ton mâle. C’est lui le maître de ton plaisir. Tu vas jouir comme jamais avant cela ».

Elle m’écoutait et obéissait. Chloé était tellement humide que le nœud entra sans difficulté. Il était verrouillé maintenant et il la baisait à toute vitesse.

 

 

Le lendemain, elle ne reparla pas de cette soirée. Les jours suivants non plus. Je pensais qu’elle avait trop peur et surtout pas envie de recommencer. Ce n’est que le jeudi suivant que je sus qu’elle y était retournée. Avec Alysson, cette fois. Elle savait que je n’étais pas libre. Elle avait eu droit à des léchages, Alysson aussi. Mais elle en semblait déçue, répétant que c’était bien mieux quand j’étais présente.

Le samedi suivant, j’étais dans le parc de nouveau avec Mr Lambert et Camel. J’aperçus Chloé qui vagabondait. Elle me vit elle aussi avec le chien de notre professeur. Celui-là même qui avait tout déclenché. Je m’excusais auprès de mon mentor et allait la rejoindre. Camel la connaissait aussi et la renifla. Je vis son regard aussitôt chavirer.

Elle avait envie. Encore.

Nous nous sommes promenées et, discrètement, nous avons pénétré dans notre cachette. Elle releva sa jupe pour attirer son nouvel ami. Il ne se fit pas prier et commença à lécher cette culotte odorante. Je lui ôtais la culotte pour que la langue prenne possession de son intimité. Je connaissais parfaitement les effets que cette langue pouvait procurer.

Camel était heureux d’avoir une nouvelle femelle à explorer. Surpris tout de même que ce ne soit pas moi qui me fasse lécher. Mais, comme tous les mâles, il ne s’intéressait qu’à l’instant présent et à son plaisir de découvrir une nouvelle femelle. Toute aussi délicieuse que moi.

Je maintenais Chloé debout, difficilement. Les orgasmes successifs l’attiraient de plus en plus vers le bas. Elle finit par s’asseoir au sol et Camel se trouvait à hauteur pour lécher ce corps offert. Après un énième orgasme, il s’éloigna pour se nettoyer lui-même. Chloé avait du mal à émerger. Elle réussit à se redresser, puis à se mettre à quatre pattes.

La voyant ainsi, Camel revint à la charge. Il léchait amoureusement cette chatte, cette raie culière si odorante. Une fois de plus, Chloé se laissa emporter par les sensations qu’il lui prodiguait. Occupée à caresser les seins de mon amie, je n’avais pas encore remarqué la queue dressée de Camel. Emporté par ses envies de mâle procréateur, il sauta sur le dos de sa femelle.

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