On y voyait mon visage, comblé de plaisir, et celui de la cliente aussi. J’étais un peu honteuse qu’elle m’ait vue ainsi et j’allais m’en expliquer quand je sentis sa main reproduire les gestes de la cliente, remonter sous ma jupette jusqu’à ma culotte et elle me caressa doucement. Je posais mes deux mains sur le bureau et écartais les jambes. J’étais à sa merci, et j’aimais bien ça.
Sa main passa sous le tissu, directement sur la peau. Je mouillais déjà beaucoup et de petits flops flops se firent entendre tandis que ses doigts entraient et sortaient de ma vulve. Je ne tardais à jouir dans ses doigts et elle me tendit un sopalin pour m’essuyer. Elle me tendit mon enveloppe pour la soirée et me demanda de revenir travailler le lendemain, même heure.
Je passais la matinée sur les pistes en compagnie d’Élise, heureuse de retrouver mon ski. Quand on a su skier, on n’oublie pas, c’est comme le vélo. L’après-midi, sieste crapuleuse, pour être en forme le soir. Juste en culotte, nous nous sommes glissées sous la couette et je racontais ma première soirée à Élise, l’épisode de la cliente, pas le bureau de la patronne, et la gifle aussi.
Elle rigola de la réaction du mec devant sa femme, et sa main glissa sur ma peau, le long de mes cuisses, tandis que je racontais les caresses de la cliente. Arrivée à ma culotte, elle la baissa avant de l’enlever totalement et se glissa entre mes cuisses. Élise aimait lécher, sucer et elle le faisait avec un tel plaisir que personne, femme ou homme, ne pouvait résister à sa langue, à sa bouche gourmande.
Ne voulant pas être en reste, et d’ailleurs, moi aussi j’aimer lécher mon amie, je la plaçais en 69, ôtais sa culotte et je me mis à la déguster à mon tour. Nous avions le temps, tout le temps, et ne voulions pas jouir tout de suite, prolonger cet état second juste avant la jouissance le plus longtemps possible. Cela a duré des heures, intenses et voluptueuses, et je pris l’initiative d’accélérer les caresses, les tétons durs de plaisir roulaient dans ma paume et elle se déversa dans ma bouche, ce qui déclencha mon orgasme à mon tour.
On resta ainsi de longues minutes, sans bouger. Puis, direction la douche avant de s’habiller pour le taf. Ce soir-là, pas d’incident notable et je suis allée chercher mon dû avant de partir. Mon travail étant satisfaisant, mon contrat était reconduit pour le lendemain et elle me tendit l’enveloppe. Je dus me lever pour la prendre, mais, joueuse, elle me fit faire le tour de son bureau pour que je puisse enfin la prendre. Je la mis dans mon sac tandis que sa main, curieuse, remontait sous ma jupe. J’avais une vue plongeante sur son décolleté et j’y glissais la main, chopant un sein dans son bonnet et le malaxant doucement.
De sa main libre, elle défit elle-même les boutons de son chemisier afin de me laisser plus de place. Je descendis la bretelle, découvrant son sein entièrement, puis le second suivit. Je fis tourner son fauteuil et baissais la tête pour embrasser ses deux globes, titiller les tétons de ma langue. Nous ne risquions pas d’être surprises, la porte ne pouvait être ouverte que de l’intérieur, électriquement, ou bien avec un code. Je me mis à genoux et écartais ses cuisses tout en suçant ses tétons tout durs maintenant. Puis mes mains continuèrent à les titiller tandis que ma langue écartait la dentelle qui me séparait de son minou.
Un petit ticket de métro tout mignon. Et un clito déjà sorti et gorgé de sang. Tout en lui bouffant la chatte, je tournais autour de la corolle de son anus et cela finit par déclencher son orgasme. Fort, violent, et tellement bon dans ma bouche. J’avalais tout avant de bien la nettoyer. Des étoiles dans les yeux, elle me laissa partir, heureuse et comblée.
Élise se doutant de quelque chose, je lui racontais tout. Surprise au début, elle se dit qu’elle en profiterait bien, elle aussi. Elle travaillait ici depuis quatre saisons déjà et sa place était garantie d’une année sur l’autre. Une aventure, même éphémère avec la patronne, lui ouvrirait sans doute les portes du « Carré VIP ». Là où les pourboires sont individuels (chacun pour soi) et bien plus conséquents. Cela donne accès également à des soirées privées, en dehors du club, mais très bien payées aussi.
L’argent, l’aventure, de nouveaux horizons s’ouvraient à elle, si elle ouvrait les cuisses de sa patronne. Et elle savait comment l’y pousser maintenant, il suffisait qu’elle se laisse caresser à son tour, sous les yeux indiscrets de la caméra.
Elle mit son plan à exécution dès le lendemain, et parvint à ses fins. Un groupe de cinq femmes était assis dans un canapé circulaire, autour d’une table basse. Les filles devaient fêter un quelconque évènement car elles étaient bien éméchées, ou bien elles avaient fumé quelque chose avant d’arriver. Bref, elles étaient bien parties quand Élise s’approcha de leur table pour prendre la commande.
Elle se pencha pour nettoyer la table basse, ne cachant rien de ses dessous aux deux premières qui se mirent à rigoler. Une autre fille demanda à voir aussi et Élise fit le tour de la table dans la même position, exposant sa culotte aux filles. La dernière, celle qui avait demandé à voir, osa poser sa main sur la cuisse de la serveuse, juste au-dessus du bas, sur la peau. Élise se releva, lui sourit et prit la commande, la main lui caressant toujours les cuisses.
Naturellement, c’est vers elle que se dirigea Élise pour ramener les consommations. Elle glissa sa main directement sur les fesses de mon amie, sous sa jupette, pendant qu’elle posait sa conso devant elle. Puis elle refit le tour de la table, à l’envers de tout à l’heure, et chaque fille glissa sa main sous sa jupette, chacune leur tour. La dernière la caressa plus longuement pendant qu’elle attendait le règlement des consos. Quand Élise repartit enfin, les filles étaient heureuses et rigolaient comme des folles.
Elles la rappelèrent très vite pour une deuxième tournée. Et plus tard pour une troisième. Et chaque fois, Élise faisait le tour de la table, dos aux clientes, qui en profitaient pour caresser son cul, ses cuisses, la dernière, plus dévergondée sans doute, lui caressa la fente le temps qu’une autre sorte son argent pour payer. La patronne se rendit compte de son manège, bien évidemment, et finit par l’appeler dans son bureau.
- Eh bien, Élise, que vous arrive-t-il ce soir ? Vous voilà bien impudique avec ce groupe de jeunes femmes.