Nouvelle jouissance pour moi, prémices à un magnifique dimanche qui commençait. Après une bonne douche, ensemble, nous sommes allés déjeuner. Entièrement nus. Prétexte à de nouvelles caresses. C’est au cours de ce petit déj que j’ai appris qu’ils étaient échangistes et fréquentaient assidûment une adresse bien connue près de Champtocé sur Loire. Près d’Angers.
J’avais joui énormément au cours de cette nuit et je me suis dit que c’était au tour d’Agathe de profiter de moi. À genoux entre ses cuisses, elle me laissa la dévorer à ma guise tandis que Fernand lui massait les seins.
Elle a joui violemment avant de m’entraîner à nouveau dans sa chambre. Là, elle m’a poussée sur le lit avant de se placer tête-bêche au-dessus de moi. Elle offrait ainsi son cul à son mari qui ne se gêna pas pour l’enculer. Nous avons fait l’amour tous les trois une très grande partie de la matinée, avec des pauses pour Monsieur.
Quand il fut de nouveau opérationnel, il me prit d’une nouvelle façon. J’étais allongée sur le lit et lui debout près de moi. Il a relevé mes jambes verticalement mais les gardait serrées au niveau des chevilles. Ainsi positionnée, il trouvait ma chatte bien plus serrée et accueillante. C’est toujours nus que nous sommes retournés sur la terrasse.
Ils habitaient un joli pavillon, en ville, avec un petit terrain recouvert de pelouse. Fernand m’avait servi un verre de rosé bien frais et préparait le barbecue. Il avait tout de même enfilé un string, un cache-sexe je dirais. Il passait parfois près de moi et caressait mes seins.
Agathe était en cuisine et préparait le repas, une salade de crudités entre autres. Je somnolais légèrement quand je la vis se diriger vers le petit portail. Ce qui m’avait surprise c’est qu’elle avait passé une robe légère. Je retournais à mes rêveries jusqu’à ce que Fernand revienne caresser mes tétons, bien érigés désormais.
Je n’ai pas compris tout de suite pourquoi il relevait mes bras et les gardait levés. Puis Agathe apparut, ôta sa robe et me dit.
« Lauryn. Je te présente nos amis, Inès et Luis ».
Deux personnes arrivèrent et me dirent bonjour avec un charmant petit accent espagnol. Mais leurs regards étaient rivés sur ma poitrine, fièrement exposée. Agathe avait déjà retiré sa robe, Inès en fit de même et vint s’asseoir près de moi. Luis également adopta la même tenue que Fernand, gardant juste son boxer. Mais sa queue semblait prête à bondir hors du vêtement, bien trop fragile pour la retenir.
La première stupeur passée, Fernand avait libéré mes mains. Ce n’était plus la peine de se cacher et d’ailleurs, eux-mêmes ne me cachaient rien. Je discutais avec Inès, j’appris qu’ils habitaient tout près mais dans un immeuble. Ils étaient échangistes également et c’est dans cette boîte toute particulière où ils s’étaient rencontrés pour la première fois.
Inès était vraiment charmante et très tactile, surtout avec mes seins. Elle demanda l’autorisation de les caresser mais commença avant que j’aie pu répondre. Sa main, puis sa bouche vint titiller mon téton. Ses doigts étaient descendus entre mes cuisses et en caressaient l’intérieur me forçant à les écarter. Encore une fois, j’étais toute disposée à me laisser faire.
Luis, son mari, prit place de l’autre côté et s’attaqua lui aussi à mes seins offerts. Je n’étais plus qu’une femme-objet, que chacun et chacune pouvait utiliser à sa guise. Et j’étais très heureuse d’être le centre d’intérêt, aujourd’hui.
Luis attrapa ma main qu’il glissa dans son boxer, qui n’avait plus beaucoup d’utilité, vu qu’il ne cachait plus rien. Inès se servit de mon autre main pour la poser entre ses cuisses, ouvertes. Elle était déjà trempée, prête à accueillir mes doigts en elle.
L’heure de manger arriva à temps pour le mari qui était prêt à exploser. Inès, et moi surtout, avions déjà joui. Repas convivial entourée de gens sympathiques. J’étais vraiment très bien. Agathe installa une grande couverture sur la pelouse, juste après ce repas. Fernand y déposa un matelas d’appoint, pneumatique et me fit lever.
Luis me suivait de très près. À genoux, puis à quatre pattes sur ce matelas, c’est Luis qui eut l’honneur de commencer, pendant que Fernand présentait sa queue devant ma bouche. Il me baisa longuement avant de passer le relais à Fernand. Ils se sont relayés ainsi pendant plus d’une heure certainement, j’avais perdu toute notion de temps.
J’ai joui au moins trois fois sous leurs coups de rein, j’ai arrêté de compter ensuite. Devant moi, les deux femmes se donnaient du plaisir mutuellement, et c’était vraiment beau, deux corps qui s’aiment. Luis finit par jouir abondamment dans ma chatte. Fernand choisit l’autre trou, qu’il avait bien préparé et éjacula enfin dans mon cul.
Les deux hommes avaient besoin de se ressourcer. Les deux femmes entreprirent de me nettoyer, avec leur bouche, leur langue ce qui provoqua un nouvel orgasme chez moi. J’étais à la limite de m’évanouir sous l’effet dévastateur de cette jouissance.
Ce qui redonna de la vigueur aux deux étalons. Fernand s’enfonça lentement dans le cul d’Inès, qui semblait habituée à être prise à sec, Luis aussi prit le cul d’Agathe, après l’avoir préparée un peu. La dernière vision que j’ai eue de cette orgie, c’est moi, à genoux sur le matelas, les deux queues qui ensemble arrosaient mon visage et ma poitrine.
…
Je me suis réveillée seule, en pleine nuit, dans la chambre d’ami. Mon corps avait été soigneusement nettoyé et je portais un maxi tee-shirt pour dormir. Mon portable indiquait 4 heures du matin. Je repensais à tout ce qui m’avait amené dans cette chambre. Et aussi, à la proposition que m’avaient fait mes nouveaux amis. Les suivre dans ce lieu de débauche où je serais leur soumise pour la nuit. En avais-je vraiment envie ?
Je me levais vers 5 heures 30, entièrement nue pour préparer le petit déj, puis allait prendre une douche. Je fus très rapidement rejointe par Fernand, en grande forme, qui me pénétra délicieusement. Il était toujours en train de me baiser quand Agathe entra à son tour.
Elle prit place près de moi et Fernand nous honora l’une après l’autre. Et c’est dans le cul de sa femme qu’il déversa toute sa semence. On se lava les uns les autres avant d’aller déjeuner, toujours sans aucun vêtement.
Ils furent surpris de voir que j’avais déjà tout préparé. Fernand commençait tôt et nous quitta très vite, nous laissant seules toutes les deux. Agathe s’excusa de m’avoir un peu forcée à voir ses amis, Inès et Luis. Je lui affirmais que je ne lui en voulais pas.
Je lui confirmais que, comme elle avait pu le constater elle-même, je ne faisais rien sans y être forcée un peu. Et tout ça, pour le bonheur de tous. J’ajoutais que je serais ravie de les revoir, tous les deux. Mais pas tout de suite, ma petite chatte s’en souviens encore.
It’s difficult to find experienced people about this topic, however,
you sound like you know what you’re talking about! Thanks