Mirabelle (37/37)

J’étais parfaitement installée pour la faire jouir à nouveau. Sa bouche se remit au travail, entre mes cuisses, et je reproduisais exactement tout ce qu’elle me faisait. Elle l’a très vite compris et nous avons joué ainsi de longues minutes à nous découvrir l’une l’autre. Ses mains écartaient mes fesses, un doigt jouant avec mon petit trou. Je ne pouvais pas lui faire de même mais je tentais tout de même de lécher son périnée, à ma portée. Elle frissonna d’envies indicibles, posa ses deux pieds sur le matelas et souleva ses fesses du lit. J’enfouis alors ma langue dans son anus, tout comme elle me l’avait fait. C’était tout nouveau pour moi mais je voulais tout savoir, tout apprendre. Et tout son corps appelait mes caresses. Je m’attardais principalement sur son clito, hyper développé. J’avais compris que c’était son point faible, celui qui la faisait chavirer à chaque fois. Et j’obtins très vite le résultat escompté. Elle jouit en silence, mais je vis ses larmes qui coulaient de ses yeux, après l’orgasme. Elle a continué à me caresser longuement pendant que je tombais dans un sommeil réparateur. Elle m’a certainement caressée une bonne partie de la nuit car j’étais encore trempée lorsque je me suis réveillée le lendemain matin. Augustin était réveillé lui aussi dans son lit mais il jouait tranquillement avec ses mains et ses pieds. Lui comme moi, il découvrait son corps et les mystères qu’il cachait. Je l’ai pris avec moi et je suis allée lui préparer son biberon du matin. Il était vraiment affamé, ce petit bonhomme.
Je l’ai gardé dans mes bras jusqu’au salon et, une fois assise, il a recommencé à jouer avec mon corps. Avec mes seins. Ce n’était qu’un jeu pour lui, mais il me donnait des frissons dans tout le corps. Viviane s’est levée vers neuf heures et nous a trouvé ainsi installés. Elle prenait son petit déjeuner lorsqu’elle a reçu un appel de Pauline. Elle a lancé aussitôt une vidéo de son petit-fils dans mes bras. Le son mis sur haut-parleur, j’entendais les commentaires attendris de la maman, séparée de son fils pour la première fois. Elle nous confia elle-même que cette séparation lui avait fait le plus grand bien, côté sommeil. Jean-Marc, par contre, n’avait pas desserré la bouche depuis qu’il les avait quittés, la veille. Elle nous confirma l’heure à laquelle elle devait venir, dans l’après-midi. Seule, apparemment, son mari ne semblait pas vouloir bouger. Viviane ajouta qu’elle me ramènerait chez moi juste après le départ d’Augustin. Je laissais le petit-fils aux bons soins de sa grand-mère, le temps que j’aille sous la douche et que je m’habille. Je laissais la salle de bain à Viviane tandis que j’allais faire un tour dans le jardin. C’était plutôt un grand parc, arboré, entouré par une haie épaisse et fournie. Pourtant, je voyais à travers parfois et j’aperçus encore ce sans-abri qui m’avait fait si peur, la veille. Il repartit en courant lorsqu’il me vit. Après coup, je me suis dit qu’il n’était pas si menaçant que cela, juste un peu hirsute. Je décidais de ne pas inquiéter Viviane avec cette vision, qui n’avait finalement rien d’alarmant. La matinée se passa tranquillement, avec Augustin dans mes bras et Viviane qui préparait le repas du midi. Après manger, elle me confirma qu’elle avait convenu avec Pauline de reprendre Augustin dans un mois, fin Mai donc. Et que, si j’étais de nouveau disponible, elle serait ravie que je sois de nouveau la baby-sitter attitrée de son petit-fils.
J’acceptais, évidemment, sa proposition et je notais la date prévue sur l’agenda de mon téléphone. J’en profitais pour prendre une photo de Viviane avec Augustin dans ses bras. Pauline arriva précisément à l’heure qu’elle avait prévue. Elle prit des nouvelles d’Augustin et nous lui avons confirmé que tout s’était passé merveilleusement bien. Elle demanda s’il n’avait pas fait de colère, nous lui avons affirmé qu’il avait été très sage, et excessivement calme. Elle en conclut elle-même que la tension qui régnait chez elle, dans son couple et avec son travail, n’était pas des conditions idéales pour un enfant de cet âge. Mais elle repartit rassurée et confiante pour la prochaine fois. Viviane passa une veste et sortit mon sac. Il était temps de rentrer chez moi. Elle parlait peu, durant le trajet de retour. Mais plusieurs fois, elle posa sa main sur mon genou, sur ma cuisse, lorsqu’elle passait une vitesse. Nous arrivions presque à Loudéac lorsque je lui indiquais une aire de repos. Elle se gara près des sanitaires. J’ouvris ma porte pour descendre et lui fis signe de me suivre. Le parking était désert à cette heure de la journée. Les toilettes étaient plutôt bien entretenues et j’entrais dans une cabine, tout en laissant la porte ouverte derrière moi. Une invitation qu’elle ne pouvait refuser. Elle m’a suivie, a refermé la porte avec le verrou et elle a commencé à m’embrasser. Je savais que c’était la dernière fois avant un petit moment et je profitais moi aussi de cette promiscuité pour caresser à nouveau ses seins merveilleux. Elle-même caressait toutes les parties de mon corps accessibles. Mon dos, mes fesses. Principalement mes fesses. Et elle se frottait divinement contre moi. Nous avions passé un superbe week-end ensemble et nous savions qu’il y en aurait bien d’autres. Melody m’attendait impatiemment. C’était aussi pour elle la première fois que j’étais loin d’eux. Flora semblait fatiguée et elle m’ignora un peu, comme pour me punir de l’avoir abandonnée un week-end entier. Mais nous étions sœurs, et très proches. Elle vint s’excuser de son attitude avant d’aller se coucher. Demain, c’était déjà le retour au collège pour moi.

P.S.
Je vous prie de bien vouloir m’excuser pour les fautes d’orthographe, s’il y en a. vous l’avez sûrement compris, je suis une jeune fille passionnée. Je découvre mon corps, ce que sera certainement ma vie. J’aime les hommes, j’en suis certaine. Mais désormais, je pense que jamais je ne pourrais me passer des caresses subtiles d’une femme. Expérimentée. Tous les faits relatés sont rigoureusement exacts, n’en déplaisent à certains qui pensent que j’affabule. Je vais continuer à vous parler de moi, de ma vie. Mais aussi de ma famille. Flora et son amie Clara sera l’objet du prochain chapitre.

 

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