Mirabelle (36/37)

Pour me faciliter la tâche, elle glissa ses fesses jusqu’au bord du canapé, tout en écartant les cuisses au maximum. Elle s’offrait à moi. C’était ma première fois mais je voulais vraiment faire du mieux que je pouvais. Je fermais les yeux au moment où mes lèvres se posèrent sur le devant de sa culotte. Doucement, elle posa une main sur le dessus de ma tête, m’invitant à poursuivre mon exploration. Ma langue parcourait le devant du maillot, l’humectant autant par ma salive que par son plaisir naissant. Viviane finit par baisser totalement son dernier rempart. J’avais pour la première fois une chatte de femme à quelques centimètres de mes yeux, de ma bouche. Je continuais ce que j’avais si bien commencé, mais sans vêtement entre ma bouche et sa peau. Je promenais ma langue sur sa fente, écartant ses lèvres intimes au passage. Elle commençait à couler beaucoup et je récoltais son nectar avec délice. Je découvrais ce qui se passait entre mes cuisses lorsque Dany me léchait amoureusement. Je tentais de répéter les caresses que j’avais reçues de sa part, puis de celle de Viviane elle-même. Un peu trop d’empressement et mes lèvres se serrèrent un peu trop fort autour de son clitoris. Elle posa ses deux mains sur moi, prête à me repousser rapidement si je devais lui faire trop mal. Je pris énormément de précautions après cet intermède. Ses deux mains étaient restées sur ma tête, mais c’était surtout pour accompagner mes caresses, me guider subtilement vers son plaisir. Elle se bloqua soudain, comme si elle avait cessé de respirer. Je continuais tout de même mon travail de sape jusqu’à ce qu’un jet surpuissant s’échappe de son sexe béant. Elle venait de jouir, comme jamais auparavant. C’est elle-même qui me l’avoua un peu plus tard, lorsque ses esprits furent de nouveau revenus. Elle est restée longtemps ainsi, ouverte, offerte à mes regards et à mes caresses. Elle était sublime ainsi, avec juste sa jupe remontée à la taille qui lui faisait juste un bandeau. Ses seins bougeaient merveilleusement bien au rythme de sa respiration toujours haletante. Des larmes dans ses yeux semblaient être sa façon à elle de le remercier pour ce moment prodigieux qu’elle venait de vivre.
La télé diffusait inlassablement son programme insipide, mais ce n’était pas le petit écran qui me captivait. Toutes les bonnes choses ayant une fin, hélas, il fallut s’occuper d’Augustin qui se réveillait. Je le sortis de son couffin pour le mettre dans les bras de sa grand-mère, entre ses seins. Très vite, il comprit que ces doux coussins étaient en fait des réservoirs à lait. Il entreprit de téter les mamelons, un à un, sans succès, bien évidemment. La seule conséquence visible, c’était les yeux hagards de Viviane. Et Augustin qui commençait à s’énerver un peu. Je laissais Viviane avec lui pour aller préparer son biberon du soir. J’espérais qu’il ferait une nuit complète, comme la veille. Il s’était tellement énervé entre les mamelles de sa grand-mère que, lorsque je portais le biberon à sa bouche, il l’engouffra immédiatement et se calma très rapidement. Une fois rassasié, il était beaucoup plus calme et Viviane fit une petite vidéo avec Augustin dans mes bras. Qu’elle envoya à Pauline. Elle avait pris bien soin de ne montrer que le haut de mon corps. Heureusement. Même si Pauline m’avait déjà vue entièrement nue, sous la douche. Le lit d’Augustin avait été installé dans la chambre de Viviane. C’était, en fait, l’ancien lit de Jean-Marc qu’il avait de nouveau remis dans la chambre parentale. Viviane m’apprit qu’elle avait l’intention de demander souvent à son fils de garder Augustin pour le week-end. Et que c’était moi qui serais la baby-sitter, à condition que je sois disponible. Pendant que j’étais dehors avec Jean-Marc, elle avait discuté avec Pauline et lui avait même proposé de garder Augustin une semaine entière, en Juillet, pour leur permettre de prendre de vraies vacances, en amoureux. Pauline n’était pas contre mais elle devait demander à son mari.
Il se faisait tard et je suis allée coucher Augustin. Viviane avait fermé portes et fenêtres avant de venir me rejoindre dans sa chambre. Elle n’avait que sa jupe à dézipper pour être aussi nue que moi. Lumière éteinte, c’est la lueur de la lune qui éclairait la chambre à travers les volets. Sa peau luisait dans la pénombre, certainement aussi excitée que moi. Elle s’est approchée de moi, m’a embrassée tendrement avant de m’allonger sur son lit. Ses baisers sont descendus dans mon cou, sur mes épaules. Sur mes gros seins. Elle est restée un moment à me téter amoureusement avant de continuer sa progression vers mon ventre, mon nombril. Mon pubis. Entre mes cuisses. De sa langue, elle a étalé ma toison rousse, tentant de plaquer mes poils sur ma peau et découvrir ainsi de nouveau ma grotte intime. Elle était douce, et tendre. Mais je sentais une sorte d’impatience dans ses gestes. Elle était passionnée, en admiration devant mon corps offert à ses caresses. Mais elle voulait, semble-t-il, m’apprivoiser, comme un petit oiseau tombé du nid. Pour lui prouver qu’elle pouvait faire ce qu’elle désirait, je pris moi-même mes jambes dans mes mains, en-dessous des genoux, pour m’écarteler entièrement et lui offrir l’intégralité de mon anatomie. Elle réagit immédiatement en plongeant sur ma rondelle, ainsi dévoilée. Clara avait déjà essayé de jouer avec, mais Viviane savait que je ne résisterais pas à cette intrusion. Sa langue me pénétra profondément et je crois que j’étais prête à m’évanouir, surprise par les sensations éprouvées. J’étais novice en tout, j’avais tout à découvrir et Viviane était une parfaite initiatrice. Deux de ses doigts pincèrent mon clitoris et l’orgasme fut époustouflant. Je revenais à moi pour la retrouver allongée près de moi, sur le lit. Je devais faire quelque chose, la remercier à mon tour. Je l’embrassais tendrement, comme elle l’avait fait avec moi, descendant sur ses seins merveilleux. Son ventre, ses cuisses. Entre ses cuisses. Je retrouvais sa chatte ouverte, odorante. Je me plaçais au-dessus d’elle, tandis qu’elle ouvrait le compas de ses cuisses.

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