J’allais évidemment lui parler du colloque lorsque je me suis souvenue d’une aventure, éphémère, qui m’est arrivée l’année dernière, dans le métro, pour commencer. Cette aventure m’était totalement sortie de la tête et n’est revenue qu’au moment où je m’apprêtais à lui répondre. Mon travail m’oblige, quelquefois, à me rendre à Paris, dans certaines administrations centralisées. Je n’aime pas particulièrement rouler en voiture dans la capitale, principalement à cause des soucis de stationnement. J’utilise donc les transports publics, train de banlieue et métro, le bus parfois. Toutes les femmes (ou presque) vous diront qu’elles détestent prendre le métro, surtout aux heures de grande affluence. On se retrouve serrés comme des sardines en boîte, incapable de bouger, presque, et très souvent, victimes d’attouchements. Pour éviter les inconvénients, il faut réussir à trouver une place assise, ou bien monter en dernier pour rester collée à la porte. C’est un réel désagrément pour la plupart des victimes. Sauf pour moi. Sans vraiment rechercher ce genre de situation, j’avoue être flattée lorsque je sens une érection se développer contre mes fesses. Je dois vous paraître anormale, mais pour moi qui ai été abandonnée, c’est une petite satisfaction de savoir que je peux encore plaire. Cela ne va jamais plus loin que quelques attouchements. Une érection contre mes fesses, ou ma cuisse. Deux mains sur mes hanches. Une fois seulement, je me suis retrouvée face à face avec un homme, ma poitrine se frottant contre la sienne. Il était plutôt bel homme et je le voyais un peu gêné de devoir se frotter contre moi. Au bout d’un moment, il a levé les yeux vers moi, sans doute pour s’excuser de cette promiscuité, mais quand il a vu mon petit sourire satisfait, il a osé prendre mes seins entre ses mains et caresser les tétons hyper durcis.
Un mouvement de foule et on s’est trouvés séparés. Je n’ai jamais oublié cet homme, même si je ne savais absolument rien de lui. Mais une fois, une seule fois, c’est allé beaucoup plus loin et c’est cela que j’ai raconté aux deux filles. Cela a commencé de façon banale, serrés dans la rame de métro. Une belle érection se développe contre mes fesses. Voyant que je ne refusais pas ce contact, comment aurais-je pu refuser ?, Le jeune homme s’enhardit jusqu’à poser ses mains sur mes hanches. Profitant des soubresauts du métro, c’est moi-même qui finissais par me frotter directement contre lui. Il a alors lâché mes hanches pour remonter ses mains jusqu’à ma poitrine. Ce fut un réel bonheur de se sentir possédée par cet homme, comme si je lui appartenais, que j’étais sa chose, son jouet. J’aurais voulu beaucoup plus mais, en public, c’était très difficile, voire même dangereux. Je m’enfuyais rapidement lorsque ma station finale fut annoncée. Je n’ai pas senti tout de suite qu’il m’avait suivie. Dehors, à l’air libre, j’avais retrouvé mes esprits et je marchais tranquillement jusqu’à ma destination. Jusqu’à ce que je sente enfin sa présence derrière moi. Que pouvais-je faire ? Ou dire ? Il s’est presque collé à moi, me poussant délicatement vers la porte immense d’un immeuble de type haussmannien. J’ai vu sa main lorsqu’il appuya sur le bouton d’ouverture. La lourde porte se referma en silence derrière nous. Nous nous trouvions dans un grand hall d’entrée, avec un escalier imposant et un couloir qui semblait mener vers la cave. C’est dans ce couloir que nous nous sommes engagés, lui toujours collé à mes fesses. Il m’a gentiment poussée sous l’escalier, nous étions invisibles à tous les visiteurs.
Il a lentement relevé ma robe jusqu’à ma taille et il resta un bon moment à admirer mes fesses, ma culotte. Il plaça mon bras droit derrière mon dos, de façon à ce que je retienne ma robe bien haut. Il a pris énormément de précautions pour baisser ma culotte en dentelle, comme si c’était la première fois qu’il voyait une femme en porter une. Une fois descendue à mi-cuisses, il se colla de nouveau à moi. Ses mains sur mes hanches remontèrent rapidement vers ma poitrine qu’il convoitait depuis qu’il y avait touché. J’étais complètement folle de me laisser faire ainsi, de me donner à cet inconnu. Mais c’était justement ça qui était excitant. Une aventure sans lendemain, avec un parfait inconnu dont je ne savais rien et qui ne savait rien de moi.
J’avais défait la ceinture qui me serrait à la taille pour lui permettre d’accéder à mes seins. Il a fini par relever ma robe par-dessus ma tête. Cela lui a permis de dégrafer mon soutien-gorge pour pouvoir toucher ma poitrine, à même la peau. Il a pu se rendre compte très vite que j’adorais ce qu’il me faisait. Mes tétons étaient durs comme du bois. Bien bandés. Les pointes, gorgées de sang, étaient hyper sensibles. Une main titillait mes seins, l’autre alla se perdre entre mes cuisses. J’étais trempée et déjà prête à l’accueillir. Il a entré deux doigts en moi, sans aucune difficulté. Il a dû me lâcher juste deux minutes pour baisser son pantalon. Il ne portait rien dessous et j’avais sa grosse queue qui se balançait entre mes fesses. Elle ne mit pas longtemps à grossir, à durcir et c’est un bâton qui se frayait un chemin entre mes cuisses. Il donnait des coups de rein, d’avant en arrière, frottant cette grosse queue le long de ma fente. Il se baissa légèrement et trouva enfin le chemin de mon intimité. Il me pénétra lentement, très lentement. Tendrement même. Il ne voulait pas me baiser, mais me faire l’amour. Et il le faisait très bien. J’étais soulevée du sol chaque fois qu’il me pénétrait bien profondément. J’avais beau me mettre sur la pointe des pieds, je décollais presque à chaque coup. Cet homme, dont je n’avais même pas vu le visage, était en train de me faire l’amour magnifiquement, comme peu d’hommes savent le faire. Ou bien prennent le temps de le faire. Je parle évidemment de mon expérience personnelle. Je ne fais pas de généralités.
J’avais posé mon bras droit sur le mur pour y appuyer ma tête. J’étais totalement conquise, hors du temps, dans un autre monde. Je suis incapable de dire combien de temps cela a duré. Ce que je peux affirmer, c’est que j’étais très en retard à mon rendez-vous. J’ai joui plusieurs fois, je crois, et la dernière était la plus puissante. Il est sorti de mon intimité pour répandre sa semence sur mes fesses, sur mes reins. J’étais encore sur mon petit nuage lorsque je me suis rendu compte qu’il avait disparu. Aucun mot n’avait été prononcé. J’ignore même s’il était français. Mais il est resté comme un moment inoubliable au fond de moi. Inoubliable, au même titre que ma rencontre avec Océane.