La Comtesse d’Orgemont deux (02/10)

Nous avons joui de concert, sous les caresses buccales de nos mâles. La Comtesse se leva, invita Francis à en faire de même et le plaça devant moi, avec pour consigne de m’embrasser, le visage toujours couvert du plaisir de notre hôtesse. Elle-même lécha le visage du majordome pour y retrouver mes effluves. Elle nous guida ensuite vers un petit salon où elle et moi prîmes place sur l’un des canapés.

Les deux hommes, à genoux près de nous. Elle continuait notre discussion, commencée à table, tout en flattant parfois le crâne de Francis. Elle lui demanda, lui ordonna plutôt, de lui ôter ses chaussures. Il s’exécuta, bien évidemment. C’était impressionnant de voir cet homme si charismatique, tellement sûr de lui dans sa fonction de Directeur, redevenir un petit enfant sage obéissant aux ordres de sa Maîtresse.

Il y prenait certainement autant de plaisir qu’il en donnait, je le savais parce que je ressentais la même chose dans la soumission. Il ne me fallut pas attendre très longtemps pour que le majordome imite les gestes imposés à son homonyme. Après les chaussures, ce fut le tout de nos bas, enlevés délicatement par nos esclaves. Nos cuisses, nos jambes, nos pieds, furent couverts de baisers au fur et à mesure qu’ils étaient à portée de leur langue inquisitrice.

La Comtesse se leva finalement pour être mise à nu totalement, comme moi quelques instants après elle. C’est une louve affamée qui se jeta sur moi, m’enlaçant tendrement. Ses mains ne restaient pas inactives, explorant les parties de mon corps à sa portée. Ma poitrine évidemment, mais surtout mes fesses qu’elle semblait m’envier.

Pendant qu’elle s’occupait magnifiquement de moi, les hommes avaient pris le temps de se déshabiller eux aussi. C’est la grosse queue bien bandée du majordome que je sentais se faufiler entre mes fesses, tentant de se frayer un chemin vers mon intimité. Dans le dos de la Comtesse, je sentais Francis prêt à se frotter lui aussi.

Puis, je fus soudain arrachée aux bras de ma belle partenaire, retournée face au mâle qui me souleva comme un fétu de paille, avant de me laisser m’empaler sur sa queue bien raide. J’en eus le souffle coupé, quelques instants, puis je m’agrippais à son cou, mes jambes se nouant dans son dos. Il me portait littéralement, se promenant dans le salon.

À chaque pas qu’il faisait, il balançait son corps en avant pour s’enfoncer le plus profondément en moi. C’était vraiment délicieux de se sentir remplie comme ça. Je remarquais Francis, à genoux derrière la Comtesse, qui devait lui bouffer le cul, si j’en crois ses plaintes et gémissements de satisfaction.

Tout le monde savait que la Comtesse d’Orgemont organisait des soirées particulières, mais qu’elle n’y participait guère. Cela avait donc été une (bonne) surprise pour les habitués de me voir entre ses cuisses pour ma première participation. Puis Roselyne qui s’était laissée doigter sous les caresses expertes de notre hôtesse.

Le majordome s’était allongé sur le tapis, sans se détacher de moi. Il me serrait dans ses bras, flattait mes fesses de temps en temps. Suivant certainement les ordres de la Comtesse, Francis se présenta dans mon dos. Je crois même que c’est la Comtesse qui a guidé son gland entre mes fesses. Une légère poussée et il était en moi. Je retrouvais les douces sensations de se faire prendre en sandwich, une grosse queue dans la chatte, une autre un peu plus modeste dans le cul.

Lors de la soirée chez la Comtesse, il m’avait promis qu’une prochaine fois, il s’occuperait bien mieux de mon cul. Et c’est bien ce qu’il réalisait maintenant. La Comtesse vint se placer devant moi, m’offrant sa chatte à lécher. Dans le même temps, elle offrait son cul à la bouche gourmande de son employé, qui ne se gêna pas pour y fourrer sa langue.

J’étais au centre de toutes leurs attentions, j’aimais donner du plaisir, et en recevoir en retour. J’étais parfaitement à ma place, entre ces deux hommes et devant cette femme splendide, exultant de bonheur pour la énième fois de la soirée. Tout avait été orchestré à l’avance par cette Comtesse machiavélique. Jusqu’au moindre détail, semblait-il.

À demi inconsciente, je fus allongée sur le tapis et Francis reprit la place laissée vacante par le majordome. Qui n’était pourtant pas loin. Quand il se positionna derrière sa proie, celui-ci était trop occupé à me faire jouir et, lorsque le gland franchit la barrière de son anus, il retrouva une nouvelle vigueur insoupçonnée.

Chaque coup de rein du majordome se répercutait au plus profond de mon être et je n’étais plus qu’une boule de plaisir à l’état pur. La queue de mon étalon avait doublé de volume lorsqu’il s’était fait enculé. Pour mon plus grand bonheur et le sien. La Comtesse observait tout ce qui se passait.

Elle tira sur mes pieds, décollant ainsi mes fesses du sol et les offrant de nouveau à mon partenaire. Il lui fut un peu plus difficile de me pénétrer mais, une fois bien calé au fond de mes entrailles, les coups de boutoir reprirent de plus belle. J’étais de nouveau transportée dans un autre monde.

Le majordome semblait infatigable et Francis bandait comme jamais depuis qu’il avait une belle queue plantée dans son cul. Je pense sincèrement que c’était une première fois pour lui, vu le regard de surprise au moment fatidique, mais le majordome semblait être habitué à ces pratiques. Tout ce qui se passait faisait apparemment partie d’un plan établi à l’avance par la Comtesse.

J’étais à demi-inconsciente quand il se retira après une ultime jouissance. La Comtesse prit place au-dessus de moi, fesses bien relevées, son visage tout près du mien. Francis ne comprit pas immédiatement que ce cul magnifique lui était offert. La Comtesse souhaitait découvrir les joies de la pénétration anale et avait choisi son partenaire. Pour une première fois, la taille de sa queue était idéale.

La Comtesse avait été bien préparée par ma langue fureteuse auparavant et l’introduction se fit sans coup férir. Il commença à aller et venir dans son ventre, avec un calme olympien, un sourire béat sur ses lèvres qui semblait dire.

« Je vous baise enfin, Madame la Comtesse. Je dirais même mieux, je vous encule. Et vous semblez apprécier, Madame la Comtesse ».

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