Février 2015 (01/07)

C’est grâce à des dessins de sa fille qu’elle s’était alarmée. Une petite fille devant un homme nu, un autre dessin représentant un sexe d’homme plutôt bien représenté, ajouté à cela des silences parfois, des crises de colère inexpliquées. Malgré les différentes séances, la fillette ne dévoila rien, comprenant sans doute le scandale que cela engendrerait. Pour la mère, le responsable était le nouvel ami de sa mère, et elle évita par la suite de laisser sa fille chez elle. Pour la psy, et pour moi aussi, c’est le nouvel ami de sa maman qui, ne pouvant toucher sa propre fille, se défoulait sur la fillette. Mais sans preuves, …..

La semaine passa très vite et les vacances nous firent le plus grand bien. Retour à Saint-Malo le 06 au soir. Après le dîner, comme d’habitude, chacun partit de son côté. Je restais seule avec Corinne. La première fois depuis son passage à Rennes. Installée près d’elle sur le canapé, je lui réitérais mon invitation à revenir chez moi, avec ou sans Helen. Elle tourna son joli visage vers moi, rougissante comme une collégienne en repensant à ce moment exquis. Elle baissa la tête et je passais ma main derrière son dos, atteignant ainsi le flan de son sein droit. Je posais mon autre main directement sur son sein gauche. Elle posa sa tête sur mon épaule, s’abandonnant à mes caresses. Profitant de sa passivité, je dégrafais son chemisier et sortais ses seins de leurs bonnets. Je pouvais maintenant à loisir jouer avec ses tétons déjà tous durs. Je lui soufflais doucement à l’oreille :

« Je suis sûre que tu es trempée, entre tes cuisses.  »

Sa tête acquiesça sans bouger de mon épaule. Je sentis ses jambes s’écarter, puis sa jambe gauche passa entre les miennes. Elle s’offrait totalement à moi. Je continuais à susurrer à son oreille.

« Tu as aimé quand je t’ai léchée.  »

Je l’ai sentie frissonner, de plaisir.

« Imagine si Amélie avait accepté de changer de partenaire. Tu aurais aimé que ce soit ta propre fille qui te fasse jouir ?  »

Ni un oui, ni un non, mais un râle de plaisir sortit de sa gorge.

« Je vais prendre ça pour un oui.  »

« Imagine même tes deux filles te donnant du plaisir, ensemble.  »

Ma bouche vint se coller à la sienne pour étouffer le cri que je sentais monter en elle. Puis, mes lèvres aspirèrent ses tétons que je faisais rouler sous ma langue. Je l’allongeais pour finir sur le canapé, relevant une de ses jambes. Sa jupe remontée, je n’avais plus qu’à écarter sa culotte pour me nourrir à la source de son plaisir. C’était un véritable délice. J’aime vraiment cette femme splendide quand elle s’abandonne à son plaisir. Toute sa sensualité ressort à fleur de peau. La poitrine débraillée, la jupe relevée et sa culotte écartée, elle offrait un réel bonheur pour les yeux. Nous nous sommes câlinées un long moment, puis je l’ai laissée rejoindre son époux, tandis que je regagnais la chambre d’Amélie.  Le lendemain matin, je descendis tôt, comme d’habitude. Je fus surprise de trouver Francis levé et déjà habillé. En costume. Très volubile, il m’expliqua qu’il devait se rendre à Paris, à un quelconque salon du bricolage ou de l’artisanat, avec des confrères du canton.

Sa valise était prête dans le couloir. Mon petit déj avalé très vite, il me demanda de le conduire à la gare. J’acceptais, évidemment. J’en profitais pour lui demander si je pouvais utiliser son véhicule ce matin, j’avais des amies à aller voir. Il fut d’accord et je l’emmenais donc à la gare de Saint-Malo. Il y retrouva ses collègues, et Jacky. Aux regards de ses collègues, j’imaginais fort bien les remarques qu’ils ont dû faire. J’allais directement chez Francine ensuite. Elle ouvrit, surprise mais heureuse de ma visite matinale. J’ordonnais aussitôt :

« À poil !  »

Elle n’hésita qu’une seconde et se déshabilla dans l’entrée.

« À genoux, chienne.  »

La tête basse, elle s’agenouilla devant moi. Je sentis son sourire revenir quand je m’approchais d’elle en relevant ma jupe. Elle s’engouffra dessous sans hésiter et commença un tendre cunni comme elle savait si bien faire. Je l’entrainais ensuite dans sa chambre, elle toujours à genoux, où elle m’a équipé de mon gode ceinture. Elle l’a bien sucé et resta à attendre mon ordre.

« Tu es une chienne, tu es MA chienne, je te veux comme telle. Mets toi à quatre pattes sur le lit. Juste à la bonne hauteur pour que je t’enfile ».

Elle prit sa position sur le lit et écarta ses fesses à deux mains.

« Dans ton p’tit cul, tu la veux ? Et bien soit, je vais t’enculer à fond. Mais avant, je veux visiter ta grotte d’amour.  »

Et je l’enfilais directement. Je lui bourrais la chatte pendant un moment avant de passer à l’autre trou. Plus serrée de ce côté-là mais tellement plus agréable. Quand on a goûté à la sodomie, dans de bonnes conditions, on peut difficilement s’en passer. J’alternais les coups puissants avec des petites séries plus rapides. On est parvenu à jouir simultanément, pour notre plus grand bonheur. La douche qui a suivi a apporté son lot de caresses supplémentaires en se lavant puis en se séchant mutuellement. Je repartais de chez elle heureuse et comblée. J’envoyais un SMS à Selma pour lui dire que j’étais prête à venir. Elle m’envoya l’adresse en retour.

C’est elle-même qui m’ouvrit la porte quand j’arrivais. On passa au salon pour discuter avec sa mère. Elle tenait à me connaître avant de me confier sa fille, la prunelle de ses yeux comme elle disait. Elle travaillait comme serveuse dans un restaurant et, quand je lui dis que j’étais aussi serveuse, l’été, sur la côte, pour me payer mes études, son regard s’illumina. On parla un moment mais je savais que j’avais gagné sa confiance. Je lui parlais de mes études, mon BTS que j’avais passé à Rennes, hébergée par une cousine de ma tante. Et de Nicole, qui est directrice de recherche au CNRS. Tout cela sembla la convaincre mais nous devions encore rencontré Nicole, Selma et moi, pour voir si cela pourrait convenir entre elles deux. L’une comme l’autre s’engageaient pour deux ans de cohabitation.

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