Été 2020 (13/30)

J’ignore évidemment jusqu’où nous aurions pu aller mais nous avons été interrompues par l’arrivée d’une femme plus âgée. La patronne de cette boutique.

« Mais que se passe-t-il, ici ?  »

« Toi, derrière ta caisse, immédiatement.  »

Elle s’était adressée assez sèchement à la jeune vendeuse qui lui obéit aussitôt. Se tournant vers nous, un peu plus mielleuse, elle nous invita à passer dans une pièce voisine. C’était, semble-t-il, la maison des propriétaires et nous étions dans un salon. À aucun moment, elle nous a demandé de cacher nos poitrines, toujours exposées. Et elle ne se gênait pas du tout pour nous mater, appréciant surtout celle de Marie-Rose. Elle nous expliqua alors qu’elle était la propriétaire de la boutique, que la jeune vendeuse était sa fille. Qu’elle avait 18 ans révolus mais que, même à cet âge-là, il fallait toujours garder un œil sur elle, pour éviter qu’elle fasse de grosses bêtises. Elle nous avait vues faire grâce aux caméras de surveillance du magasin. C’était pour cela qu’elle était intervenue. Elle ajouta que son mari faisait les marchés, avec son camion de vente en confection. Il partait tôt le matin, revenait dans l’après-midi pour se reposer et se préparer pour une nouvelle ville, le lendemain. Elle parlait beaucoup, mais je voyais ses mains qui se tordaient de désir de toucher l’une ou l’autre des poitrines mises à sa disposition. Comme elle ne pouvait se décider, je pris sa main pour la poser sur le sein de Marie-Rose. Elle résista mollement mais sa main resta bien posée sur la poitrine. Je passais ma main dans son dos et baissais la fermeture de sa robe. Quand je baissais les bretelles sur ses épaules, elle se laissa faire. Elle m’aida à baisser sa robe jusqu’à la taille et sa main reprit possession de la poitrine de Marie-Rose. Je m’attaquais à l’attache de son soutien-gorge pour libérer ses seins merveilleux. J’en pris possession dès qu’ils furent à ma portée, après avoir relevé le soutif pour les sortir des bonnets. Elle ne disait plus rien, toute occupée avec les seins de Marie-Rose. C’est à deux mains, désormais, qu’elle les caressait. Je l’aidais à se lever de son fauteuil pour la mettre à genoux, entre les cuisses de Marie-Rose. Elle reprit les seins en main dès qu’elle le put. Sa robe avait glissé jusqu’à ses chevilles et j’avais ôté définitivement son soutien-gorge. Marie-Rose pouvait à son tour jouer avec ses gros seins. Je retirais sa robe qui bloquait ses pieds et je m’allongeais entre ses cuisses ouvertes. Toute à ses occupations, elle n’a rien dit, jusqu’à ce que ma bouche prenne possession de sa fente.

Elle gémissait très fort, tentait de se défendre contre ma bouche, mais lorsque je réussis à baisser sa culotte, je sentis ses gestes de défense diminuer considérablement en intensité. Finalement, elle accepta la caresse buccale que je lui prodiguais. Marie-Rose avait approché sa bouche de sa poitrine et la patronne se mit immédiatement à la téter avidement. Un léger bruit, un frôlement. Je tournais la tête vers la porte pour apercevoir la jeune vendeuse qui nous observait. Quel spectacle nous devions lui donner ! Sa mère, pratiquement nue, qui se faisait lécher par une femme, pendant qu’elle en tétait une autre. Jamais elle n’aurait cru voir ça. Et pourtant, sa mère se faisait bouffer la chatte devant elle. Et elle semblait apprécier au plus haut point. Je sais qu’elle est restée un moment à nous observer. Puis, elle a dû se dire que sa maman n’apprécierait sûrement pas qu’elle l’ait vue en pareille posture. Je m’accrochais à ses fesses sublimes pour la bouffer toute et elle se tendit comme un arc, emportée par un orgasme fulgurant et intense. Après s’être remise de ses émotions, elle nous proposa un rafraichissement que nous avons accepté avec joie. Elle a dû remettre sa robe, sans aucun sous-vêtement. Nous avons discuté un moment de choses et d’autres, sans jamais évoquer ce qui venait de se passer entre nous. Je mis fin à la discussion en parlant des robes qui étaient vendues dans sa boutique. Qu’elles étaient très agréables à porter, très pratiques aussi. Je fis semblant de baisser le haut de ma robe, ce qui la fit sourire. Pour conclure, elle me dit qu’elle me faisait cadeau de celle que je portais. Je la remerciais, évidemment, mais je devais tout de même passer par la caisse pour régler les deux autres que j’avais choisies. Je retrouvais la jeune vendeuse dans la boutique et elle prépara un sac avec les deux robes achetées et les vêtements que je portais en arrivant. Comme elle nous l’avait dit, la maman faisait très attention à ce que faisait sa fille. Au moment de payer, j’avisais un bloc-notes sur la caisse avec un stylo tout près. Je notais mon prénom et mon 06. Non, non, non, vous n’en saurez pas plus. En sortant de la boutique, je vis la maman s’approcher de la caisse et retirer le papier sur lequel j’avais noté mon numéro. Je jetais un regard désolé vers la jeune fille qui, elle aussi, semblait regretter de ne pas avoir regardé de plus près avant.

Nous avons donc quitté la boutique et fait quelques pas dans la rue. Je suis revenue en arrière juste à temps pour voir la maman qui quittait la surface de vente. La jeune fille m’aperçut et elle semblait vraiment désolée. Je lui fis signe que, si elle prenait le bloc-notes et un crayon, elle pouvait faire réapparaitre mon numéro de téléphone. Son regard s’est illuminé lorsqu’elle a compris et qu’elle a fait ce que je lui disais. Elle a immédiatement noté mon numéro dans le répertoire de son portable. Nous avons repris notre chemin du retour et, quelques minutes plus tard, je recevais un SMS d’un numéro inconnu qui disait : « Merci. » Marie-Rose et moi, nous nous sommes attablées sur la terrasse d’un bar et j’ai rappelé immédiatement la jeune fille. Comme on dit, il faut battre le fer quand il est encore chaud.

« Bonjour Mademoiselle.  »

« Bonjour Laure.  »

« Moi, c’est Lauryn.  »

« Et moi, Maud.  »

« Enchantée de faire ta connaissance. Difficile de te parler quand ta mère est toute proche. « 

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