Amandine se tourna vers moi pour me dire.
« Je veux moi aussi comme ça. Je veux jouir, découvrir de nouveaux paradis. Je veux devenir femme. Je veux que TU fasses de moi une femme heureuse et comblée. »
Que répondre à une telle invitation ? Sinon oui. Et merci. Merci de m’offrir ce moment unique. Même Sophie était comblée de pouvoir assister, et même participer à un tel moment. On l’embrassa tour à tour, puis les deux en même temps, descendant sur sa poitrine, son ventre, ses cuisses. Son corps était offert à nos envies, nos pulsions. Sa fente dégoulinait de bon jus que l’on s’empressait de boire, chacune notre tour. Amandine commençait à s’impatienter, je m’installais donc entre ses cuisses. Je frottais le gode sur sa chatte, titillant parfois son clito. Puis, je positionnais le gland à l’entrée de sa grotte. Je ne bougeais plus. C’est elle qui, petit à petit, s’empala sur la queue factice. S’arrêtant quand l’hymen bloqua. Son regard me suppliait de la faire femme. Je m’exécutais. Un petit coup de rein et la paroi céda. Un grand sourire illumina son visage. Je pouvais maintenant la baiser comme elle le désirait, avec fougue. Inutile de s’inquiéter pour elle, cette petite cochonne en redemandait plus encore. Quel plaisir de former une coquine comme elle aux jeux de l’amour. Sophie continuait de lui caresser les seins, aux tétons tous durs. Elle a joui de nombreuses fois, ce soir-là, toujours dans la même position, les yeux dans les yeux. Amandine est revenue de nombreuses fois pour parfaire son éducation. De plus en plus souvent les mercredis après-midi. Je lui ai présenté Wendy, et Marielle. Vu qu’elles étaient du même âge, elles se sont comprises de suite. Amandine est, et restera, une soumise dans l’âme. Wendy prenait très souvent les choses en mains. Marielle suivait, ou dirigeait, mais rarement.
Il est bien évident que toutes les tentatives ne réussissent pas, il y a parfois des filles qui résistent, qui se rebiffent. Elles changent de place, ou bien descendent du bus, du tram. Cela m’est arrivé récemment. Une jolie black, pas plus de 25 ans, une poitrine impressionnante. J’arrive à l’approcher, je m’accroche à ses hanches, suite à un coup de frein un peu brusque. Puis mes mains remontent vers sa poitrine. Elle se laisse peloter les seins un moment, je la sens qui s’abandonne au plaisir. Une main descend vers sa chatte que j’imagine humide déjà. Elle semble alors se réveiller, se retourne en me disant :
« Mais, Madame … »
Elle se dirige vers la porte et sort du bus. De loin, je l’ai vue s’asseoir sur l’un des sièges, sous l’abribus. Besoin de retrouver ses esprits. Je sais que j’ai réussi à la troubler, mais pas assez pour l’emmener plus loin. J’espère la retrouver bientôt, et dans de meilleures dispositions. Depuis que Sophie est entrée dans ma vie, c’est très souvent elle qui fait les courses dans le quartier, des courses d’appoint. Nous allons ensemble dans les hyper-marchés pour les besoins mensuels. Un dimanche matin, réveillée tôt, je sors pour lui acheter des chocolatines chez le boulanger tout proche. Très peu de monde à cette heure matinale. Dès que je suis entrée, j’ai aussitôt reconnu la femme du bus, celle qui m’avait vue avec Amandine. Elle servait un client. Je suis certaine qu’elle aussi m’a reconnue. Je fais semblant d’être indécise devant le choix proposé pour laisser passer les derniers clients. Quand nous sommes enfin seules, je croise son regard. Je passe commande, elle me sert, je lui tends un billet pour régler, mais j’attrape sa petite main. Elle baisse les yeux aussitôt, troublée par mon audace.
« Tu finis ton service à quelle heure, Murielle ? »
Son nom était inscrit sur son badge.
« 13 heures, Madame. »
« Bien. Je serais devant la boutique, tu viendras me rejoindre et tu me suivras. Tu vas vivre un après-midi inoubliable, je te le garantis. »
Je suis rentrée préparer le petit déj de Sophie, avant de partir courir en forêt. Besoin de me défouler, de catalyser toute cette énergie. Besoin de réfléchir aussi et de préparer à l’avance mon après-midi de débauche. Retour à l’appart. Sophie qui me saute dans les bras pour me remercier. Je file sous la douche, elle me suit. Et m’offre un moment de plaisir qu’elle seule peut m’offrir. Elle me suce le clito comme nulle autre avant. Elle aime ça, on le sent à sa façon de s’accrocher à moi. Elle m’aime, je le sais. Elle me le dit très souvent mais, contrairement à d’autres, les hommes en particulier qui te disent qu’ils t’aiment uniquement pour arriver à te mettre dans leur lit, Sophie, ce qu’elle dit, elle le pense véritablement. Après ce moment de tendresse, je lui signale que nous aurons une visite, après le repas. J’irais la chercher tandis qu’elle devra m’attendre derrière la porte, dans la position de la parfaite soumise. Entièrement nue, à genoux, cuisses écartées et mains sur la tête. L’évocation de cette situation la rendit encore plus amoureuse, toujours plus câline. Je pouvais même apercevoir, entre ses cuisses, sa fente luisante d’envies contrôlées. Je suis sortie dix minutes avant mon rendez-vous, histoire de prendre un peu la température de mon quartier. Murielle, impatiente certainement, est sortie cinq minutes avant la fin de son service. Elle me repéra facilement et s’approcha de moi. Arrivée tout près de moi, elle ne put soutenir mon regard et baissa la tête.
« Suis-moi, à quelques pas derrière moi, sans dire un mot. »
Elle me suivit ainsi jusqu’à mon immeuble. Je lui fis emprunter les escaliers, afin de jouer avec elle, avec son corps. Je la fis monter en premier, lui demandant de relever sa jupe, derrière. Une sage culotte blanche apparut. J’en profitais pour caresser l’intérieur de ses cuisses, la faisant frissonner. Un doigt aventureux découvrit rapidement à quel point elle était excitée.
« Mais tu mouilles déjà, ma cochonne. Tu es vraiment une belle salope. Tu adores ça donc, te faire tripoter en public. Imagine que je te fasse pareil dans le bus, ou le tram. «