Immersion totale (11/11)

Tout en disant cela, et Giacomo l’avait parfaitement entendue, elle se rapprocha de moi et m’embrassa directement sur la bouche. Bizarrement, devant Giacomo, j’en étais moins gênée que devant ma propre mère. Mais Mélissa était vraiment déchainée. Très vite, elle commença à déboutonner mon corsage, découvrant ainsi ma poitrine. Ma jupe tomba sur le sol juste après. Elle défit facilement mon soutien-gorge qui se retrouva avec mes autres vêtements. J’étais presque nue alors qu’ils étaient encore tous deux habillés. Elle glissa ses mains dans ma culotte, prête à la descendre, puis se ravisa. Elle se redressa, regarda Giacomo droit dans les yeux. Finalement, elle me tourna, les fesses face à lui et finit par descendre mon dernier rempart. Elle n’avait cessé de caresser les parties de mon corps qu’elle découvrait au fur et à mesure du strip-tease. Elle se pencha en avant pour embrasser ma poitrine et j’en profitais, c’était mon tour, pour dégrafer son soutien-gorge que je voyais dans son dos. Après cela, il me fut très facile de tirer son maillot et d’enlever tout ce qu’elle portait au-dessus de la ceinture. Sa poitrine, plus imposante que la mienne, apparut aux yeux de mon futur amant. Il avait compris, enfin je l’espérais, qu’il devrait contenter deux jeunes filles, pas uniquement moi. Ce challenge ne l’effrayait pas, apparemment. Je relevais mon amie pour la placer face à Giacomo. Elle ne chercha pas à cacher sa généreuse poitrine. Alors, je fis glisser sa jupe, puis sa culotte, et nous nous sommes retrouvées entièrement nues, devant lui qui nous observait attentivement. Mélissa, je le soupçonne, avait semble-t-il prévu un scénario de A à Z. Elle me poussa jusqu’au canapé où je pris place, elle m’allongea et plongea entre mes cuisses. Je suis certaine qu’elle en rêvait depuis longtemps déjà, de ce moment où, enfin, je lui ouvrirais les portes de mon paradis. Giacomo s’était levé pour nous voir de plus près. Je voulais lui offrir le meilleur spectacle possible et j’attirais Mélissa au-dessus de moi. Je reproduis exactement les mêmes caresses qu’elle me faisait, entre les cuisses. Je n’étais évidemment pas du tout expérimentée, et elle non plus, mais nous avons réussi à nous faire jouir l’une l’autre. Puis, assises toutes les deux, côte à côte sur le canapé, nous avons attendu patiemment la suite du programme. Qui arriva très rapidement.

Giacomo se leva à son tour pour s’approcher de nous. Son pantalon tomba sur le sol lorsqu’il se leva. Il avait depuis longtemps détaché la ceinture qui le maintenait. Il se présenta devant nous, juste vêtu de son boxer Calvin Klein. Là, j’avais plus d’expérience que Mélissa et je pris les choses en main, si je puis dire ainsi. La queue de Giacomo grossissait encore pendant que je la caressais. Quand je pris son gland en bouche, elle ouvrit de grands yeux, me croyant incapable d’un tel acte. Elle sembla plus intéressée que jamais quand elle comprit que je savais faire une fellation, et que l’homme appréciait au plus haut point. Alors, en m’imitant, elle prit elle aussi la queue entre ses doigts. Et tenta de l’embrasser, de la gober. Mais c’était encore impossible pour elle, sans expérience. Elle se contenta de m’observer, et de voir à quel point l’homme est sensible à ce genre d’attention. L’homme était fin prêt, moi aussi. Il sortit un préservatif de la poche de son pantalon. C’est Mélissa qui se jeta dessus. Ça, elle avait vu faire et se sentait capable de le réaliser. Elle saisit le réservoir entre ses lèvres et s’appliqua à faire glisser le préservatif sur toute la longueur du pénis. Elle avait juste pu entrer le gland dans sa bouche. Pour le faire glisser plus loin, elle avait utilisé ses mains. J’étais fin prête pour le sacrifice de ma virginité. Et Giacomo me pénétra très lentement, faisant énormément attention à mes réactions, mes grimaces. Je poussais juste un petit cri de surprise lorsque l’hymen céda sous la pression du sexe envahisseur. Pas de douleur, juste la surprise. Et très vite, un profond bien-être s’empara de tout mon corps. Ça y était. Je n’étais plus Julia, la petite fille, l’adolescente. J’étais femme et j’étais Julia, la maitresse de Giacomo. Mon prince charmant poussa le zèle à me faire jouir trois fois de suite, sans que lui ne jouisse en moi. J’étais exténuée lorsqu’il sortit enfin sa queue. Mélissa s’en empara immédiatement et commença à la lécher, récoltant mon jus d’amour sur la hampe. Elle fit beaucoup qu’à son premier essai et elle réussit enfin à le pomper, doucement. Je savais ce qu’elle attendait maintenant. Et je devais l’aider à mon tour.

Lorsque Giacomo sortit un nouveau préservatif de sa poche, c’est moi qui le saisis et l’enfila sur la queue encore parfaitement dure. Comme il avait fait avec moi, il prit lentement possession de sa chatte, de son corps. Il prit même le temps de jouer avec ses gros seins. Elle serra les dents au déchirement de l’hymen. Un peu de sang coula. Mais juste après, elle ronronnait sous les coups de rein appuyés de mon amant. De notre amant. Comme moi, elle finit par s’écrouler de bonheur, après plusieurs orgasmes tonitruants. Il ôta le préservatif souillé et il présenta sa queue devant ma bouche. Il voulait jouir à son tour et c’est au fond de ma gorge qu’il souhaitait se soulager. Peut-être de nos gorges, à toutes les deux. Je le repris en bouche comme je savais le faire, sous les yeux ébahis de Mélissa. Elle aussi voulut essayer mais elle manquait encore un peu de pratique. Il finit par éjaculer de longs jets de sperme dans ma gorge. Il en garda un ou deux, moins puissants pour la bouche de ma meilleure amie. Quand il eut fini, j’embrassais Mélissa à pleine bouche, partageant avec elle ce que j’avais gardé en moi. Elle m’en fut infiniment reconnaissante. Nous sommes restées nues, pendant qu’il préparait une légère collation. Des fruits, des boissons. Il nous invita à revenir le voir, seule ou bien toutes les deux, pour découvrir de nouveaux aspects de la sexualité. Je ne comprenais pas vraiment ce qu’il entendait par là, mais il voulait me revoir. Nous revoir. Et c’était cela le plus important à mes yeux.

J’étais comblée au-delà de toutes mes espérances.

 

Fin

(Ou début de nouvelles aventures, si vous souhaitez lire la suite)

 

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