Et je me suis réveillée le lendemain avec sa main dans ma culotte. Comme souvent avec les femmes enceintes, sa libido s’était exacerbée et elle en voulait toujours plus. J’étais comme elle, avant la naissance de Dylan. Mais je sais aussi que c’est parfois l’inverse pour d’autres femmes. Il lui était plutôt difficile de se positionner comme elle le souhaitait, alors c’est moi qui me levais, ôtais définitivement ma culotte pour me poser sur sa bouche. Elle s’empara de moi comme une morte de faim. Sa fougue faisait énormément plaisir. Et je dois dire qu’elle était plutôt douée avec sa langue. Son gros ventre m’empêchait de faire un 69 avec elle. Je la laissais donc aller jusqu’au bout de sa caresse buccale avant de me mettre à mon tour entre ses cuisses. Elle m’accueillit avec un profond soupir de contentement. Elle avait vraiment besoin de se sentir femme, jusqu’à la pointe de ses pieds. Elle tressautait d’impatience jusqu’à ce que je prenne son clito entre mes lèvres. Elle posa sa main sur ma tête pour se rassurer, elle la lâcha lorsqu’elle fut certaine que j’irais jusqu’à sa jouissance ultime. Son propre plaisir à elle. Elle m’offrit son nectar abondant au bout de quelques minutes seulement. Elle était vraiment excitée et je dus recommencer une dernière fois pour qu’elle soit enfin calmée, et à bout d’arguments.
Après quelques minutes de repos bien méritées, je l’aidais à se lever et nous avons rejoint la salle de bains, nues l’une et l’autre. Je l’ai lavée, cajolée, caressée et elle m’a lavée elle aussi. Et pelotée, j’adorais ça. Nous nous sommes séchées mutuellement avant de retourner dans sa chambre pour nous habiller. Nous avons rejoint la cuisine où Justine donnait le petit déjeuner aux enfants de Fanny. Elle en avait l’habitude, chez elle c’était elle qui s’occupait de ses petits frères et sœurs. Et ce, depuis l’âge de 12 ans. Et ce n’était nullement une corvée pour elle, elle adorait s’occuper des enfants. Elle en aurait bien fait son métier mais les études, en socio-médical, étaient bien trop difficiles pour elle. C’était aussi pour cela qu’elle avait accepté cette place d’apprentie, loin de chez elle. En voyant Fanny évoluer dans sa cuisine, dans son environnement, une idée me traversa la tête. Enfin, disons que, pour être exacte, que j’y pensais depuis hier soir. Petit à petit, les différentes briques se mettaient à leur place et j’avais pratiquement réussi à éliminer tous les inconvénients, avant même qu’ils n’apparaissent. Il ne me restait plus qu’à en parler à Fanny. Et à Joël. Mais lui, je savais qu’il dirait oui, immédiatement. Sans savoir ce que j’avais prévu exactement. Je souhaitais organiser une rencontre entre Jérôme et Ingrid, chez Fanny et Joël. Ils se connaissaient déjà un peu et je savais bien qu’ils apprécieraient tous de mieux se connaître. Préparer le repas, je pouvais le faire avec Fanny et j’en serais très heureuse. Le plus gros problème était de faire garder les enfants des deux couples et je connaissais la personne idéale pour cette mission. Quand j’en parlais à Fanny, elle ne put faire aucune objection, tout était prévu et bien ficelé. Par acquis de conscience, elle demanda à son mari qui fut immédiatement emballé par l’idée. Pour Jérôme, je savais que ce serait exactement pareil. Il ne restait plus qu’à convaincre Ingrid. Je suis allée voir Marie-Rose pour lui demander si elle était libre pour le soir même. Elle n’avait heureusement rien de programmé. Je l’emmenais aussitôt voir Ingrid et je lui présentais mon projet, sachant que tous avaient accepté. Elle finit par dire oui en voyant sa fille, Lisa, se jeter dans les bras de Marie-Rose.
Je retournais auprès de Fanny pour lui dire que tout était OK et j’en ai profité pour emmener Justine jusqu’à la gare, afin qu’elle prenne son train. Elle était un peu triste de partir en me laissant une partie de son travail. Elle craignait surtout que je ne sois plus là, à son retour dans une semaine. Je lui promis que l’on se reverrait très très vite. Avant de quitter la voiture, elle m’embrassa tendrement sur la bouche en posant sa main sur ma cuisse. Je la fis remonter immédiatement jusqu’en haut de mes cuisses ouvertes pour lui laisser un aperçu de tout ce que nous ferons ensemble, quand elle reviendra. En quittant la gare, je reçus un appel de Denis, le papa d’Ingrid, que j’avais rencontré très récemment. Il voulait évidemment me revoir et continuer ce que l’on avait commencé. Je lui demandais de me rappeler la semaine suivante, que je serais plus disponible pour lui, à condition qu’il trouve une bonne raison de venir à Angers. Pour sa femme. Il m’affirma qu’il avait déjà une idée en tête et que cela irait pour lui.
Je suis rentrée à la boulangerie après avoir acheté tout ce qu’il fallait pour le dîner. L’après-midi, direction la plage. Marie-Rose nous accompagnait, à ma demande. Fanny et Ingrid étaient pleinement rassurées en la voyant jouer avec leurs enfants. Céliane aussi était avec eux mais c’est à d’autres jeux qu’elle pensait en se frottant à la baby-sitter. Comme nous l’avions fait à la piscine, Ingrid et moi nous sommes occupées du corps de Fanny, pour lui éviter les coups de soleil. Ingrid semblait prendre énormément de plaisir à passer de la crème sur ce corps qui lui était offert. Toujours sans mon haut de maillot, j’allais me baigner en entraînant derrière moi une Marie-Rose très contente. Céliane nous avait suivies de près et, dès que ce fut possible, elle baissa les bretelles du maillot une pièce de Marie-Rose. Elle n’essaya même pas de se défendre et, lorsqu’elle prit son sein en bouche, elle ferma simplement les yeux. J’avais déjà glissé ma main à l’intérieur de son maillot, sur le côté, et je la doigtais habilement. Nous avons dû cesser car Renan, le grand fils de Fanny, s’approchait de nous. Marie-Rose tenta de remettre son maillot mais je lui demandais de rester ainsi. Il était un peu plus jeune que Céliane mais il avait déjà le diable au corps. Je le voyais à la façon dont il regardait Marie-Rose.