KATIA (03/14)

Sa petite chatte ornée d’un ticket de métro. Je soufflais dessus pour la voir frissonner de plaisir. Quand mes lèvres furent à portée, je lâchais sa robe qui me recouvrit aussitôt pour me saisir de ses bonnes fesses à pleines mains. Quel plaisir de goûter à cette petite chatte qui n’avait jamais joui, aux dires de son mari. Elle devint très vite excessivement excitée. D’elle-même, elle posa ses mains sur ma tête pour accompagner mes coups de langue. Elle explosa très rapidement dans ma bouche, libérant un flot continu de bonne cyprine odorante et sucrée. Elle avait posé ses mains sur le meuble derrière elle pour mieux s’offrir à mes caresses buccales. Dans la semi-pénombre où j’étais, j’aperçus les petits nœuds qui permettaient à sa mini culotte de tenir en place. Je les défis pour pouvoir lui ôter son dernier rempart. Je remontais ses collants, tout en léchant la mouille qui restait sur ses cuisses. Je remettais son vêtement en place. Mais j’apercevais encore sa petite chatte à travers le tissu fin. Avisant une paire de ciseaux sur le plan de travail, j’eus une idée folle. Les ciseaux en main, je demandais à Katia de relever sa robe une nouvelle fois. Inquiète, elle s’exécuta malgré tout. Avec d’infinies précautions, je découpais dans le renfort du collant, offrant maintenant une vue claire et nette sur sa jolie fente. Je reposais les ciseaux sur le plan de travail et, j’embrassais à pleine bouche ma nouvelle soumise, promenant ma main dans le compas de ses cuisses.

Katia se laissait complément manipuler, tripoter. Mieux, elle écartait les deux jambes pour s’offrir au maximum. Une main entre ses cuisses, l’autre sur sa poitrine. Elle était avide de mes caresses. Mais serait-elle prête à aller plus loin encore ? Je dézippais sa robe et dénudais ses épaules. Ses jambes écartées empêchèrent la robe de tomber au sol. Je finissais par dégrafer son soutif pour enfin pouvoir admirer ses seins magnifiques. Une main sur l’un de ses seins, ma bouche sur l’autre, j’étais au paradis. Et Katia commençait à sentir un nouvel orgasme prêt à la submerger de nouveau.  Jamais elle n’avait joui ainsi, aussi fort, deux fois de suite. Et juste avec des caresses mammaires. Ça aussi, c’était une première. La sentant à la limite de replonger dans les nimbes du plaisir, je positionnais un doigt inquisiteur tout près de son anus. Elle se tordait pour tenter d’éviter cette caresse mais finalement, elle s’excitait toute seule. Son petit trou palpitait de plus en plus, s’ouvrant imperceptiblement. Un mouvement un peu plus appuyé et elle aspira la première phalange. Cette simple pénétration bénigne déclencha immédiatement son orgasme. Fulgurant, puissant et ravageur. S’abandonnant totalement, elle laissa mon doigt s’enfoncer inexorablement dans son cul.

Elle jouissait comme une collégienne qui découvrait pour la première fois les plaisirs interdits. Elle allait et venait sur mon doigt, s’enculant toute seule, se livrant entièrement à mes caresses. Roland, alerté par ses gémissements, observait discrètement, sans qu’elle ne s’en doute. J’ignore comment elle aurait réagi si elle l’avait vu à ce moment précis. Je la laissais récupérer doucement avant de lui remonter sa robe, sans soutif. Je la voulais disponible, offerte. Maintenant remise de ses émotions, elle s’excusa, les yeux toujours baissés, mais elle devait continuer à préparer le repas.

« Mais j’étais justement venue te proposer mon aide. Avant ce petit intermède.  »

Là, je la vis rougir, honteuse de s’être laissée manipuler.

« N’aies surtout jamais honte de faire ce qui te plait, de faire ce qui peux te rendre heureuse et comblée. Oses me dire que tu n’as pas aimé.  »

« Oh non. C’était tellement … Fort. Mais il ne faut pas recommencer. Si mon mari nous avait surprises … Je n’ose même pas imaginer.  »

« Moi, je suis certaine qu’il aurait apprécié, et qu’il nous aurait rejointes.  »

« Bien. Dis-moi comment je peux t’aider maintenant. Pour la cuisine, je précise.  »

Elle piqua à nouveau un fard en baissant les yeux. Je lui relevais le menton et posais une tendre bise sur chacune de ses joues. Et elle se remit à son travail. Je l’aidais comme je pouvais et, chaque fois que possible, je la frôlais, la caressais, et elle se laissait faire. Petite biche apeurée qui n’osait plus dire non, même quand je glissais ma main sous sa robe pour caresser sa fente toujours humide. Finalement, le repas fut bientôt prêt, il restait juste la cuisson. Elle me demanda de rejoindre Roland dans son bureau afin qu’il n’y passe pas la soirée et qu’il oublie son invitée. Il me remercia pour tout ce que je faisais pour lui, pour son couple. Je lui expliquais que je n’avais encore rien fait de spécial pour lui, mais je trouvais que sa femme était excessivement réceptive. Et donc, tout était permis. On retourna au salon pour boire l’apéro et c’est là que Katia vint nous chercher pour passer à table. Évidemment, Roland avait remarqué qu’elle avait retiré son soutif, et cela n’était pas pour lui déplaire. Bien au contraire. Depuis le temps qu’il essayait de la débrider !!! En quelques heures, j’avais réussi ce qu’il n’avait pas pu lui faire faire depuis de nombreuses années.

Le repas se passa merveilleusement bien. Même Katia essayait de plaisanter, attitude qui semblait surprendre son mari. Elle se levait parfois pour ôter les assiettes, ou pour servir le plat. À chaque fois, elle se plaçait près de moi et ma main remontait sous sa robe. Elle se livrait totalement, écartant les jambes pour mieux s’offrir à mes caresses. Finalement, Katia nous servit le dessert, un simple feuilleté glacé. Genre « Viennetta », pour ne pas faire de pub. Je me levais, à la surprise de tous et, en montrant le plat à dessert, je dis à Roland.

« Pour le dessert, la maison vous propose ce magnifique feuilleté …  »

Et, en me plaçant derrière Katia.

« Ou bien, une soupe de clitoris, agrémentée de votre cyprine préférée.  » Ajoutais-je en soulevant le devant de la robe.

Katia était restée immobile, incapable de réagir. Au fond, c’est sans doute ce qu’elle attendait depuis le début du repas. Se voir offrir de nouveau, mais à son époux cette fois.

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